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 Sujet du message : XIXème siècle
Message Publié : 18 Août 2005 13:44 
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Hérodote
Hérodote

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Pensez-vous que lire Balzac (Comédie humaine / années 1800 à 1850) puis Zola (Rougont Macquart / années 1860 à 1890) à la suite peut suffire à appréhender la société française et la vie quotidienne des Français au XIXème siècle ?

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Message Publié : 23 Avr 2006 21:20 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges

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Pensez-vous que lire Balzac (Comédie humaine / années 1800 à 1850) puis Zola (Rougont Macquart / années 1860 à 1890) à la suite peut suffire à appréhender la société française et la vie quotidienne des Français au XIXème siècle ?

Probablement pas : dans les deux cas, il ne s'agit que du point de vue (point d'observation) d'une seule personne. Pour obtenir un panorama doté de davantage de relief, il faudrait multiplier les angles d'approche... Même alors, le résultat de serait que partiel, donc partial et hypothétique. Au demeurant, qui pourrait jamais prétendre détenir une vue synthétique fidèle de quoi que ce soit? Nous en sommes toujours tous réduits à faire notre miel en ne récoltant que des bribes bien lacunaires... Ce constat n'a cependant rien de décourageant, au contraire! Simple rappel à un minimum de modestie...


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Message Publié : 23 Avr 2006 22:26 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

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J'adopterais un point de vue bien plus optimiste que YMD : Oui, lisez Balzac et Zola !! Leur description du monde et des hommes est des mieux documentée et informée, précise, fine, lucide !

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Celluy est saige, (...) qui ne congnoist ennemy que soy-mesmes et qui tient sa volunté et son propre conseil pour suspect. - Marguerite de Navarre


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Message Publié : 23 Avr 2006 23:02 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges

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J'adopterais un point de vue bien plus optimiste que YMD : Oui, lisez Balzac et Zola !! Leur description du monde et des hommes est des mieux documentée et informée, précise, fine, lucide !
Pensez-vous que lire Balzac (Comédie humaine / années 1800 à 1850) puis Zola (Rougont Macquart / années 1860 à 1890) à la suite peut suffire à appréhender la société française et la vie quotidienne des Français au XIXème siècle ?
Eminemment utile, certes, mais nullement "suffisant"!
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Ce constat n'a cependant rien de décourageant, au contraire!


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Message Publié : 24 Avr 2006 9:38 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

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mais nullement "suffisant"!

Qu'est ce qui est "suffisant" ? A coup sûr, quelqu'un qui aurait lu les oeuvres de Balzac et de Zola serait extraordinairement bien familiarisé avec le monde du XIXe siècle français.

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Message Publié : 24 Avr 2006 10:50 
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Fustel de Coulanges
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Qu'est ce qui est "suffisant" ? A coup sûr, quelqu'un qui aurait lu les oeuvres de Balzac et de Zola serait extraordinairement bien familiarisé avec le monde du XIXe siècle français.

Bien sûr, bien sûr... Ne perdons pas notre temps à peser des oeufs de mouches sur des balances de toile d'araignée! Nous n'allons pas passer le réveillon là-dessus! Lisons donc (entre autres... car on ne peut négliger Flaubert ou Maupassant, par exemple) Balzac et Zola, évidemment!


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Message Publié : 24 Avr 2006 11:53 
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La question revient à poser le problème des rapports entre le roman réaliste ou naturaliste et l’histoire, et je vais prendre l’exemple que vous citiez aussi de Zola.
Zola a une grande ambition
Citer :
Préface de La Fortune des Rougon (1871)
Historiquement, ils [les Rougon-Macquart] partent du peuple, ils s'irradient dans toute la société contemporaine, ils montent à toutes les situations, par cette impulsion essentiellement moderne que reçoivent les basses classes en marche à travers le corps social, et ils racontent ainsi le second empire, à l'aide de leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'État à la trahison de Sedan.


Mais justement racontent-ils leur époque ?
Zola amasse effectivement une documentation colossale, cherche l’objectivité, et même au-delà une méthode expérimentale : «le romancier est fait d'un observateur et d'un expérimentateur » (Zola, Roman expérimental).
Les références de la vie quotidienne sont donc scrupuleusement respectées (le Paris de Zola est topographiquement très exact), les évènements politiques et sociaux forment une trame qui scande le récit, tout cela est juste et sonne vrai. Le rythme même du récit, linéaire, participe de cette impression : pas de retour en arrière, pas de projection dans le futur. La troisième personne est un garant d’objectivité et de distantiation.

Mais les réserves sont nombreuses :
D’abord ce déterminisme clairement énoncé dans les principes et décelable par exemple dans l’extrait ci-dessus : « par cette impulsion essentiellement moderne que reçoivent les basses classes en marche à travers le corps social ». Il est très visible dans l’Assommoir, où le postulat est posé de l’alcoolisme héréditaire ou provoqué par l’environnement, que le romancier s’applique à vérifier en plaçant son personnage dans les conditions nécessaires pour vérifier sa théorie. Peut-on assimiler ce mécanisme à une construction historique ?
Ensuite, le temps romanesque n’est pas le temps de l’histoire : il transforme les histoires banales en destin, fausse donc la perspective et le temps historique n’est pas l’addition des destins individuels : la conclusion « ils racontent ainsi le second empire, à l'aide de leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'État à la trahison de Sedan. » me semble donc plutôt spécieuse.
Et puis Zola lui-même a bien du mal à rester dans le cadre strict du cahier des charges qu’il s’est fixé, en particulier dans le domaine sémantique : faites un relevé du lexique utilisé dans « la Curée, Chap. III : Zola accumule :
Les jugements de valeur : « les appétits lâchés », « l'impudence du triomphe », « une grande débauche », « le détraquement cérébral », « une ville folle de son or et de sa chair »
« Hyperbolise » (est-ce que ce mot existe, Mr Deshays ?) les adjectifs : « feu de joie colossal », « une grande débauche », « une alcôve colossale », « un grand râle ».
Utilise des métaphores anthropomorphiques pour des concepts : « le vice, venu de haut, coulait dans les ruisseaux », « le sommeil fiévreux de Paris ».

Entendons-nous bien : il n’est pas question de dénigrer le style ou l'oeuvre (j'aime beaucoup Zola), mais de constater qu’il n’a rien de scientifique et d’objectif, et qu’un historien ne l’utiliserait pas.
Zola comme Balzac, font donc pour moi oeuvre de romancier, construisent une réalité « opératoire » pour développer leur démonstration, mais leur oeuvre n’est pas selon moi de l’histoire. C’est d’ailleurs un naturaliste, Maupassant, qui reconnaît que l’objectivité et littérature sont incompatibles (Pierre et Jean, 1888).

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Tous les désespoirs sont permis


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Message Publié : 24 Avr 2006 12:54 
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Plutarque
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Deux commentaires.
On ne peut pas demander à des romans de devenir des ouvrages d'histoire.
Balzac, Zola et peut-être davantage Flaubert sont d'excellentes sources utilisées fréquemment et avec bonheur par les dix-neuvièmistes. On ne peut pas, plus outre, étudier bien des aspects du XIXe siècle français, sans faire appel à ses écrivains.
Zola m'embarrasse personnellement : je pense qu'une lecture historique de ses oeuvres est un exercice difficile, non seulement du fait du dogme naturaliste - cf. Plantin-Moretus - et de la limite floue avec le journalisme qu'il est parfois difficile à saisir dans ses romains, mais aussi à l'égard du regard entomologique qu'il pose sur l'espèce humaine. Flaubert est sûrement d'un meilleur secours et en particulier l'Education sentimentale.
Une oeuvre - entre l'histoire de la littérature et l'histoire sociale - m'avait beaucoup éclairé sur cette question. Je pense aux Ecrivains contre la Commune de Paul Lidsky qui m'avait à l'époque beaucoup marqué.
Enfin, une petite illustration flaubertienne, relative aux émeutes frumentaires de Buzançay, affaire importante en son temps (janvier 1847) et qui devait susciter un grand écho et en particulier dans le monde littéraire ( Les Blouses de Jules Vallès). Ainsi ponctuellement mention en est faite dans la bouche de Sénacal - personnage d'un jeune bohème qui s'affiche socialiste mais qui devait tiré sur les émeutiers en 1848. "Les convictions de Sénécal étaient plus désintéressées. Chaque soir, quand sa besogne était finie, il regagnait sa mansarde, et il cherchait dans les livres de quoi justifier ses rêves. Il avait annoté le Contrat social. Il se bourrait de la Revue indépendante. Il connaissait Mably, Morelley, Fourier, Saint-Simon, Comte, Cabet, Louis Blanc, la lourde charretée des écrivains socialistes, ceux qui réclament pour l'humanité le niveau des casernes, ceux qui voudraient la divertir dans un lupanar ou la plier sur un comptoir ; et, du mélange de tout cela, il s'était fait un idéal de démocratie vertueuse, ayant le double aspect d'une métairie et d'une filature, une sorte de Lacédémone américaine où l'individu n'existerait que pour servir la Société, plus omnipotente , absolue, infaillible et divine que les Grands Lamas et les Nabuchodonosors. Il n'avait pas un doute sur l'éventualité prochaine de cette conception ; et tout ce qu'il jugeait lui être hostile, Sénécal s'acharnait dessus, avec des raisonnements de géomètre et une bonne foi d'inquisiteur."
Lors d'un repas fastueux : "[...] la table disparaissait sous du gibier, des fruits, des choses extraordinaires. Ces attentions furent perdues pour Sénécal. Il commença par demander du pain de ménage (le plus ferme possible), et, à ce propos parla des meurtres de Buzançais et de la crise des subsistances. Rien de tout cela ne survenu si on protégeait mieux l'agriculture, si tout n'était pas livré à la concurrence, à l'anarchie, à la déplorable maxime du "laissez faire, laissez passer" ! Voilà comment se constituait la féodalité de l'argent pire que l'autre ! Mais qu'on prenne garde ! Le peuple, à la fin, se lassera, et pourrait faire payer ses souffrances aux détenteurs du capital, soit par des sanglantes proscriptions, ou par le pillage de leurs hôtels."

_________________
"... à cent lieues de la Bastille, à l'enseigne de la liberté."


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Message Publié : 24 Avr 2006 15:15 
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Fustel de Coulanges
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Localisation : Marseille
« Hyperbolise » (est-ce que ce mot existe, Mr Deshays ?) les adjectifs : « feu de joie colossal », « une grande débauche », « une alcôve colossale », « un grand râle ».
Oui, "hyperboliser" existe (ou plutôt "a existé" car le Robert, Dictionnaire historique de la langue française, précise que ce verbe intransitif signifiant "employer un style hyperbolique" (XVIe siècle) est sorti d'usage...). Le remettre en service me semble parfaitement légitime et pertinent (mais comme verbe intransitif toutefois!).
C'est gentil à vous de me poser la question... mais ne faites pas de moi un parangon (que je ne suis pas!) : entouré de dictionnaires, y compris au chevet de mon lit, je les consulte à tout bout de champ en lisant, en parlant, en regardant la télévision... Comme dit l'autre, je ne suis pas cultivé : je me cultive!


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Message Publié : 24 Avr 2006 17:01 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours

Inscription : 26 Juil 2005 18:43
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PLANTIN :

Citer :
La troisième personne est un garant d’objectivité et de distantiation.

1 - "distanciation"
2 - Non ... on peut parler à la troisième personne et être parfaitement subjectif (César ...).

Citer :
D’abord ce déterminisme clairement énoncé dans les principes et décelable par exemple dans l’extrait ci-dessus : « par cette impulsion essentiellement moderne que reçoivent les basses classes en marche à travers le corps social ». Il est très visible dans l’Assommoir, où le postulat est posé de l’alcoolisme héréditaire ou provoqué par l’environnement, que le romancier s’applique à vérifier en plaçant son personnage dans les conditions nécessaires pour vérifier sa théorie. Peut-on assimiler ce mécanisme à une construction historique ?

Histoire dans le sens d'enquête d'expérimentation de la pensée, oui !

Citer :
Ensuite, le temps romanesque n’est pas le temps de l’histoire : il transforme les histoires banales en destin,

C'est le but :
- du romantisme
- du réalisme
- du naturalisme
Il est donc en cela fidèle à ses revendications.

Citer :
fausse donc la perspective

Il ne vous reste qu'à faire la différence entre le "faux/exact" et le "vrai/mensonger" ...

Citer :
et le temps historique n’est pas l’addition des destins individuels :

Il faudrait pour cela que ces destins puissent "s'additionner" ...

Citer :
la conclusion « ils racontent ainsi le second empire, à l'aide de leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'État à la trahison de Sedan. » me semble donc plutôt spécieuse.

Vous êtes injuste : au contraire, la phrase résume bien le cadre que pose Zola à sa propre entreprise romanesque et littéraire.

Citer :
Et puis Zola lui-même a bien du mal à rester dans le cadre strict du cahier des charges qu’il s’est fixé,

Quel écrivain y est jamais resté ?

Citer :
en particulier dans le domaine sémantique :
faites un relevé du lexique utilisé dans « la Curée, Chap. III : Zola accumule :
Les jugements de valeur : « les appétits lâchés », « l'impudence du triomphe », « une grande débauche », « le détraquement cérébral », « une ville folle de son or et de sa chair »

Vous faites, je dirai, un contresens quant à ce que doit être la littérature, ou l'écriture naturaliste. Il ne s'agit pas de behaviorisme. Il ne s'agit pas d'affecter l'objectivité absolue, de s'effacer totalement derrière un langage qui serait fade, totalement creux. Si vous voulez de l'écriture sans "jugement de valeur", lisez par exemple Manhattan transfer, de Dos Passos. Mais ni Blazac, ni Flaubert, ni Maupassant, ni Zola ne banissent la caractérisation fine, les qualifications pittoresques, puissantes du réel, même si à vous, esprit du XXIe siècle, çà vous parait un "jugement de valeur". Si vous voulez du véritable "jugement de valeur", lisez les moralistes du XVIIe s. !

Citer :
« Hyperbolise » (est-ce que ce mot existe, Mr Deshays ?) les adjectifs : « feu de joie colossal », « une grande débauche », « une alcôve colossale », « un grand râle ».
Utilise des métaphores anthropomorphiques pour des concepts : « le vice, venu de haut, coulait dans les ruisseaux », « le sommeil fiévreux de Paris ».

Qu'est ce que cela a à voir avec une prétendue "subjectivité" ?????

Citer :
Entendons-nous bien : il n’est pas question de dénigrer le style ou l'oeuvre (j'aime beaucoup Zola), mais de constater qu’il n’a rien de scientifique et d’objectif, et qu’un historien ne l’utiliserait pas.

Vous vous faites de fausses idées et sur les intentions de Zola et sur l'oeuvre elle même.

Citer :
Zola comme Balzac, font donc pour moi oeuvre de romancier, construisent une réalité « opératoire » pour développer leur démonstration, mais leur oeuvre n’est pas selon moi de l’histoire.

Lisez Michelet ou Tocqueville (des "historiens"), vous n'y verrez pas plus de "l'Histoire", parce que vous jugerez en fonction de vos critères, qui n'étaient pas de mise pas à l'époque ...

Citer :
C’est d’ailleurs un naturaliste, Maupassant, qui reconnaît que l’objectivité et littérature sont incompatibles (Pierre et Jean, 1888).

Tout est relatif et rien n'est objectif quand il passe dans notre esprit. L'objectivité n'existe pas, sinon quand une machine imprime un journal, dans votre presse-agrume, dans votre ordinateur qui corrige vos fautes d'orthographe : là oui, vous trouverez de l'objectivité.
Mais dans l'esprit d'un homme, dans ses oeuvres, vous n'en trouverez jamais.

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Celluy est saige, (...) qui ne congnoist ennemy que soy-mesmes et qui tient sa volunté et son propre conseil pour suspect. - Marguerite de Navarre


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Message Publié : 24 Avr 2006 17:34 
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Inscription : 13 Mars 2006 10:38
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Localisation : Lorraine
Que de points d'exclamation !!!, de points de suspension... et de points d'interrogation ???
Votre art d'hyperboliser (allons-y c'est permis :D ) la ponctuation est très convaincant, je préfère m'incliner :lol:

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Message Publié : 24 Avr 2006 18:45 
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Fustel de Coulanges
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Inscription : 09 Août 2005 17:34
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Localisation : Marseille
Citer :
Votre art d'hyperboliser (allons-y c'est permis ) la ponctuation est très convaincant, je préfère m'incliner.

J'avoue que j'en abuse trop souvent... Parade pour camoufler mes lacunes abyssales?


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