l'arianisme n'est connu que par ses détracteurs
On a donc tendance à en dire n'importe quoi. Echappe à cete remarque le bouquin de Rubenstein cité par Sthaler (si je me suis trompé pour le nom, outes mes excuses.
Alors, on reprend cela :
Citer :
En fait, c'est l'hérésie arienne, du nom de l'évêque Arius.
A cette époque là,
l'héresie, cela n'existe pas car personne ne revendique d'orthodoxie. Pour qu'une hérésie existe, il faut qu'une autre hérésie se déclare "orthodoxe" et se donne les moyens de lui taper sur le museau. Hérésie vient du mot grec qui désignait les écoles philosophiques grecques et cela signifie "choisir ce que l'on croit"
Si Arius avait été évêque, il n'aurait pas eu besoin de se faire aider par des évêques qui, s'ils avaoent des préoccupations politiques le laissaient choir.
Citer :
Son point principal était la non-divinité du Christ,
Ben non. La divinité de Jésus (qui n'est pas équivalent du Christ, sauf profession de foi) c'est à Constantinople.
Il se demande quelle est la relation de Jésus avec son "père du Ciel" . Sa préocupation est du même ordre que celle de Philon ou de Jea avec leur Logos.
SI Jésus est créé, il ne peut être "consubtanciel au prère" et donc, ce n'est pas un dieu, comme le suggère Jean mais un être interlédiaire, un "grand Ange" (théorie appliqué dans le judaïsme du 2d temple à propos de la tendresse de Dieu) Il est donc très tradi surtout à Alexandrie, la patrie de Philon (qui parle de Memra quasiement jusqu'à l'hypostase)
Citer :
Sa doctrine, l'arianisme remet en fait en cause l'équivalence du père et du fils et donc la trinité.
Ben non. A l'époque d'Arius la trinité, ça n'existe pas. Cela n'existera qu'à Constantinople. Doctrine prise por le faire taire car ce type étit doté d'un charisme de poete et toutes les populations chantaient ses doctrines. Une pop-star de l'époque qui mettait en danger le pouvoir d'Athanase, le mal élu.
Citer :
Pour lui le fils et le saint esprit sont subordonnés au père
Sur l'esprit, il n'a rien dit.
Citer :
Dès lors il ouvre la voie à un polythéisme, dès lors qu'il parle de divinités à degrés variables.
Ce que disaient ses enemis. Toutefois, la doctrine des hyposatses équivalente ouvre la voie à un polythéisme, stricto sensu. En quelque sorte, ses accusateurs l'accusent de ce dont il aurait pu se prévaloir contre eux.
Cordilement