Je ne peux évaluer la thèse de cet universitaire, je ne suis pas un expert du sujet, il propose une approche intéressante mais je ne puis appréhender sa profondeur ou son originalité.
Quant à la séparation des deux sujets je fais allusion au débat, vif et parfois gratuit, à propos du livre de Sylvain Gouguenheim "Aristote au Mont Saint Michel" qui s'est fourvoyé dans des discussions sans fin sur la notion de racines.
Il me semble qu'il y a plusieurs champs à attacher à la question des racines grecques : celui du domaine du christianisme, par exemple quelles influences grecques dans la mise en place du dogme, et celui de l'histoire intellectuelle de l'Europe médiévale qui elle se pose la question de l'apport de la pensée grecque à une "civilisation" donnée.
Mon propos, fort maladroit, est de souligner que ce débat est vite oiseux si on ne distingue pas la diversité dans le temps et les modes de cette influence grecque.
PS : désolé pour les fautes de frappe et d'orthographe.
, ici une pensée émue pour une professeur de français qui m'a beaucoup (pas assez ?) tiré les oreilles.