Bonsoir à tous,

Le Digenis Akritas est le poème chevaleresque de l'empire Byzantin meme La Chanson de Roland en France et le Cid Campeador en Espagne.
Digenis né par deux souches, cette Byzantine de la part de mère et Arabe de la part de père.
La grande actualité de ce héros et de ses exploits il unit dans un ensemble symbolique beaucoup de cultures: il est contrairement à autres poèmes chevaleresques multi-ethnique, il se voit encore plus la diversité de la tradition byzantine.
Les exploits du héros se remuent dans la tradition orale des Tragudia Akritici entre autre dont jusqu'à les peu décennies on pouvait il y a trouver encore trace dans les vieux Grecs.
Qui fut à écrire il lui est impossible à se déclarer avec précision: l'âge fut sûrement ce comnena et on il puisa à l'aussi éthiopiques d'Eliodoro et le Leucippe et Clitofonte d'Achille Tatius, des grecs.
Notre héros a accédé en âge médiéval au rempart contre chrétien le proliférer de l'Islam et il se remue autour de probablement les frontières de l'empire le l'an mille, c'est-à-dire dans la splendeur des entreprises des empereurs/guerriers de Byzance.
Curiosité intéressante pourrait être l'étymologie du second nom du héros aussi: Akritas c'est-à-dire défendre les Akrai ou mieux la frontière à l'est de l'empire de fanfares de "irréguliers" ou mieux des brigands organisés (en italian ce sont nommes Apelati mais je n'ai trouvè pas la parole en français , perdonnez-moi la traduction).
Naturellement contexte réel historique-politique n'existe pas, comme pour toutes les autres lyriques dédiées à héros, et Digenis se trouve à combattre contre foires ou monstres aussi.
Il n'a pas domicile fixe, il combat surtout toujours pour idéologie en défendant les idéaux chevaleresques et souvent tout seul contre une multitude d'adversaires.
Le Poème fut retrouvé au Trebizonde en 1870 et divulgué cinq ans apres..

A bientot,

Enrico

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Sic Transit Gloria Mundi !
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A noter pour ceux que ça intéresse, un fabuleux receuil de poémes, "Diwan sur le prince d'Emgion" écrit par le poète suédois Gunnar Ekelöf (Ed. Gallimard).

Ce diwan est le 1er volume d'un cycle qui a pour base donc l'histoire du légendaire Digenis Akritas, ici appelé prince d'Emgion.

Ce prince s'est battu à Manzikert au côté de Romain Diogène. Lui aussi subira un sort similaire. Aveuglé dans les geoles à Constantinople, il retournera dans sa patrie.

C'est véritablement magnifique et sa poésie mériterait largement d'être plus connue! L'auteur féru d'orisentalisme (et notamment de Byzance) a eu une véritable révélation au cours d'une séance de spiritisme où il auraot appris être une sorte de réincarnation de ce prince d'Emgion!

A noter qu'il existe deux versions de l'Akrite. Une en grec, traduite par Paolo Odorico, directeur d'études à l'EHESS, et une en slave, traduite par Jean-Pierre Arrignon de l'université d'Arras, qui, malgré qu'il vieillisse assez mal, reste compétent pour toutes ces questions de linguistique slave (et russe).

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Victi, vincimus.