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Message Publié : 13 Mai 2007 17:14 
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Plutarque
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Par cours normal, je parle du cours tel qu'il s'est réellement passé. Dans l'exemple ce Salamine, le cours normal, c'est l'essor de la démocratie athénienne. Ce que je voulais dire, c'est que même si l'histoire aurait pu prendre un autre chemin à un moment donné, il n'est pas exclu qu'il y aurait pu y avoir un retour à la tournure qu'ont réellement pris les événements.

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Message Publié : 13 Mai 2007 17:37 
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Dans l'exemple ce Salamine, le cours normal, c'est l'essor de la démocratie athénienne. Ce que je voulais dire, c'est que même si l'histoire aurait pu prendre un autre chemin à un moment donné, il n'est pas exclu qu'il y aurait pu y avoir un retour à la tournure qu'ont réellement pris les événements.

C'est très braudélien tout ça: le temps de l'événement peut-il affecter durablement voir inéluctablement, les mouvements d'ensemble ?
Braudel, comme vous, me semble répondre par la négative, en renversant la causalité, par exemple dans Ecrits sur l'histoire, 1985:

"Les événements retentissants ne sont souvent que des instants, que des manifestations de ces larges destins et ne s'expliquent que par eux."

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Message Publié : 13 Mai 2007 18:25 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant

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Je trouve cela terrible comme jugement; car qui maîtrise ces larges destins ? Se dire que l'Histoire n'aurait pas pu suivre, dans ses grandes lignes, d'autre cours que celui qu'elle a suivi... en projetant sur l'avenir, c'est décourageant. Certes, ce n'est pas une vision historique que j'ai là. Mais il me semble que c'est une conséquence logique : il existe une tendance lourde, que nous la voyions ou pas, et tout ce que nous ferons aura la même résultante. :cry:


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Message Publié : 13 Mai 2007 19:13 
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C'est effectivement une vision pessimiste de l'histoire... je relisais tout à l'heure les textes du lien sur les "années Braudel" concernant l'épreuve d'ESD donné sur un autre fil; on y trouve cette citation de l'historien:
"L'histoire subie envahit notre monde; nous avons juste la tête hors de l'eau, et encore".
Il y a une certaine forme de déterminisme chez Braudel, pas seulement historique, mais aussi géographique.

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Message Publié : 13 Mai 2007 22:26 
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Jean-Pierre Vernant
Jean-Pierre Vernant

Inscription : 17 Oct 2003 19:37
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Que voulait-il dire par là ? Le constat que l'Histoire est subie ? Ou bien l'est-elle plus "qu'autrefois" quand les réseaux humains étaient plus rudimentaires, les populations plus faibles, ou bien qu'un après-midi de massacre entre quelques dizaines de milliers de mousquetaires suffisait à faire signer un traité ?
Il me semble que la perte totale de maîtrise est quelque chose de typique de notre époque. C'est d'ailleurs un des problèmes de la démocratie à mon avis, on attend d'un gouvernement élu qu'il ait un impact sur le quotidien dont il est incapable parce que trop de choses ne dépendent pas de lui. (Personne n'est mieux loti, d'ailleurs). Mais pour en rester à l'Histoire... est-elle subie par tous depuis toujours ?


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Message Publié : 13 Mai 2007 23:59 
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Plutarque
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Inscription : 16 Oct 2006 1:12
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Comme je l'ai dit, il faut une réponse de Normand. Peut-on prêter le flanc aux historiens qui s'enthousiasment des grands hommes, ceux qui ont fait l'histoire ? L'homme est-il capable de changer le monde à lui seul ? A l'inverse, ne sommes-nous que des êtres aliénés dans des structures, déterminées et déterminantes, de véritables prisons ? Là, ce n'est même plus affaire d'analyse érudite, c'est affaire de conviction et de philosophie personnelles. J'ai tendance à croire que le grand homme est entouré de mythe, qu'il est vêtu des offrandes chimériques dont on le décore, comme si chacun lui confiait son talent, de sorte à ce qu'il apparaisse comme le messie extirpant de la fange une foule moribonde. D'ici à ce que le mythe du grand homme soit une extension de la civilisation chrétienne, il n'y a qu'un pas que je ne franchis que par intuition. Le grand homme existe, certes, mais est-il si "grand" qu'on le dit ?

Je ne sais toujours pas si j'ai réussi à être clair dans mes précédents messages. Je suis à la fois évidemment d'accord pour dire que l'histoire aurait pu avoir un autre cours. L'événement est en cela un caillou qui peut infléchir la trajectoire d'une bille ou d'une roue de carrosse. Mais je crois à l'inverse que la nature du destin est d'être un vaste champ plat et non pas une succession de rails, où la décision de prendre telle direction coupe définitivement des autres rails (et donc destins possibles). Dans le train, si vous bifurquez vers Lille, vous n'irez pas à Strasbourg. L'histoire fonctionnerait plus selon la logique de l'autoroute : si vous ratez la sortie, il est toujours possible, plus tard, au prix d'un détour, de retrouver votre chemin.

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Message Publié : 10 Juin 2007 19:06 
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Hérodote
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Je suis loin de partager le déterminisme de l'Histoire évoqué plus haut. C'est un jeu un peu futile de refaire l'histoire avec des si, mais il montre bien de quel contingences est tributaire l'événement.
Hitler a été blessé à la tête lors de la Première guerre mondiale. Si le poilu français qui a tiré ce jour là avait mieux visé ou eut plus de chance, que ce serait-il passé ? Le courant national socialiste avait il un autre orateur capable de faire entrer en trances des foules ? Goebels avec son pied bot, Himmler ?
J.F. Kennedy était sur une vedette lance torpilles durant la Seconde guerre mondiale. Qui aurait Lee Harvey Oswald aurait-il abattu, s'il avait trouvé la mort dans le Pacifique ? Que ce serait-il passé s'il avait survécu à son attentat comme R. Reagan ou Jean-Paul II en 1981 ?
Le grand homme doit son rôle à la société qui la vu naître, aux structures, mais aussi à une conjonction d'événements qui crée une chance qu'il sait saisir, mieux qu'un autre.


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 Sujet du message : Des propos assez choquants ...
Message Publié : 06 Mai 2008 22:42 
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Hérodote
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Déplacé

Ce matin, une amie est allée demander conseil à un professeur de contemporaine à propos de son master l'an prochain .
Quand elle lui a annoncé qu'elle désirait travailler sur un sujet d'Histoire diplomatique ou d'histoire militaire, le prof lui a rétorqué, cachant à peine sa déception : " ah? Vous voulez faire de la sous-histoire ? ".
J'ai trouvé sur le coup ces propos plutôt choquants. Certains profs semblent continuer de penser qu'en général, l'histoire politique ne constitue que de l'"évenementiel" ( comme l'avait décrit les historiens de l'Ecole des Annales en somme ) .
Selon vous, peut-on réellement parler de sous-histoire en ce qui concerne l'histoire politique ( et ses branches : histoire diplomatique, polémologie, etc ... ) ?


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Message Publié : 07 Mai 2008 1:07 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges
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Bien sûr que non! Ce professeur... je ne veux même pas savoir de nom, mais je ne serai pas surpris qu'il s'agisse d'un de ces rares fossiles qui considèrent encore que l'histoire politique n'a plus d'intérêt depuis 100 ans au moins... :rool: Certains mériteraient de se faire rafraichir un peu les idées.

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Message Publié : 07 Mai 2008 7:45 
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Tite-Live
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Lafayette a écrit :
J'ai trouvé sur le coup ces propos plutôt choquants.


choquant est bien le mot, surtout de la part d'une personne ayant mission de former des historiens.
Il n'y a pas de sous ni de sur histoire. Tout est histoire et, selon les circonstances, ce sont les faits affectant tel domaine ou tel autre qui influent le plus sur le développement des communautés humaines; à certains moments, ce sont des événements diplomatiques, à d'autres c'est une décision sociale, à un troisième c'est un basculement brutal qui bouleverse les modes de vie au terme d'une longue maturation ou c'est une innovation technologique... L'histoire est un noeud qui ne tient que parce que tous les fils servent à le constituer tel qu'il est, un noeud subtil qui se défait totalement si vous retirez de l'écheveau un seul de ces fils ! ... comme le résultat d'un effet papillon en quelque sorte ! ;) :)


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Message Publié : 07 Mai 2008 15:33 
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Marc Bloch
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A propos de l'histoire-bataille, je pose une question de bonne foi sur ce que j'ai lu. On considérerait comme une grave erreur d'avoir introduit dans l'enseignement de l'histoire dès le secondaire l'esprit des Annales . Il parait que les élèves ne maitrisait plus aucune chronologie et faisait des confusions énormes quand elles n'étaient pas risibles. Vrai, faux :?:
J'ai un jour découvert en librairie un petit ouvrage qui avait pour but de solutionner ce problème , en donnant comme il le disaient des "balises du champ temporel".
Il y a suffisamment de profs d'histoire sur le forum pour me préciser s'il y a eu effectivement un problème et si on est partiellement retourné à un apprentissage de la chronologie , c'est à dire "l'histoire -bataille" :?:

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "


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Message Publié : 07 Mai 2008 16:24 
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Inscription : 07 Sep 2003 17:22
Message(s) : 363
Faget a écrit :
A propos de l'histoire-bataille, je pose une question de bonne foi sur ce que j'ai lu. On considérerait comme une grave erreur d'avoir introduit dans l'enseignement de l'histoire dès le secondaire l'esprit des Annales . Il parait que les élèves ne maitrisait plus aucune chronologie et faisait des confusions énormes quand elles n'étaient pas risibles. Vrai, faux :?:
J'ai un jour découvert en librairie un petit ouvrage qui avait pour but de solutionner ce problème , en donnant comme il le disaient des "balises du champ temporel".
Il y a suffisamment de profs d'histoire sur le forum pour me préciser s'il y a eu effectivement un problème et si on est partiellement retourné à un apprentissage de la chronologie , c'est à dire "l'histoire -bataille" :?:


:?: :?: Curieuse traduction ! POurquoi l'apprentissage de la chronologie serait elle synonyme de "l'histoire - bataille" ? Les batailles sont-elles les seuls événements susceptibles de définir une chronologie ?

Sinon, pour répondre à la question, je dirai d'abord qu'il vaut mieux écarter de la discussion tous les propos du genre tout ou rien ! Et ce pour une raison qui me paraît simple : la chronologie n'a jamais été totalement abandonnée mais force est de reconnaître qu'elle n'est pas bien maîtrisée par les élèves.

Plus précisément, je répondrai à la question en 3 points ! (allez, c'est un vieux tic professionnel qui ressort ! :) )
1- Oui, une certaine approche des programmes inspirée de l'école des Annales (parmi d'autres ?) a relégué la chronologie au second plan des apprentissages pendant quelques années, au point de nourrir une grande ignorance chez les élèves.
2- Non, la chronologie n'a jamais été totalement abandonnée ni supprimée des programmes et des cours.
3- Oui, elle retrouve depuis quelques années une place plus importante qu'elle n'en a eu.

Illustration (toujours en 3 points et pour cause !!! :) )
1- Oui, dans la mesure où les programmes ont voulu montrer que le développement des sociétés ne se limitait pas à une approche strictement "événementielle", que les coutumes, mentalités, croyances, l'économie, les révolutions technologiques méritaient une place plus importante que celle qui leur était affectées dans le passé. Des pauses dans les programmes furent ainsi instituées dans le déroulement événementiel pour attirer l'attention des élèves sur une révolution industrielle, des idées nouvelles, les équilibres sociaux à différentes époques, les arts...etc.
2- Non, car les programmes ont gardé leurs rythmes traditionnels fondés sur la chronologie : antiquité en 6è, moyen âge en 5è, temps modernes en 4è, monde contemporain en 3è (je simplifie un peu pour aller à l'essentiel) ; ce déroulement chronologique se retrouve au lycée de l'Antiquité en seconde à l'après 1945 en terminale. Le problème, en l'occurrence, est le manque de temps qui oblige à jouer à saute-mouton par dessus certains règnes, siècles ou périodes. La connaissance chronologique qui en ressort et, fatalement, une chronologie à trous !
3- Oui, la prise de conscience de ces "trous" a provoqué des réactions à tous les niveaux, depuis les enseignants jusqu'aux éditeurs en passant par les inspecteurs. Cela se traduit par des efforts importants pour tisser les liens entre les périodes phares des programmes. Les enseignants, en général, s'efforcent de replacer les sujets qu'ils traitent dans des "frises" chronologiques qu'ils élaborent ou distribuent aux élèves en adaptant l'exercice à leur public. Depuis quelques années, les manuels multiplient ce type de représentation ; voire des doubles pages insérées entre deux chapitres pour évoquer rapidement ce qui marque ces périodes intermédiaires qui ne pourront pas être développées faute de temps.


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Message Publié : 07 Mai 2008 16:36 
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Thucydide
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Inscription : 22 Avr 2008 16:31
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Faget a écrit :
de la chronologie , c'est à dire "l'histoire -bataille"


Je pense qu'il ne faut pas confondre les deux. La chronologie, aucun historien, même ceux des Annales, ne peuvent s'en passer: ce que ces historiens critiquaient c'était l'attention quasi unique aux "grands événements" c'est-à-dire les guerres, les batailles, les traités, bref "l'histoire traité-bataille" (je crois que c'est le terme exact). Connaître sa chronologie est fondamental; mais s'y limiter n'apprend pas grand chose... La chronologie oui ; mais pour en faire quelque chose, pour avoir les cadres temporels qui permettent de comprendre l'évolution des sociétés humaines. La chronologie pour la chronologie ne sert à rien (c'est une base). Et si la chronologie à apprendre ne comporte que les dates de ces "grands événements", on passe à côté de beaucoup de choses. Les Braudel et consorts voulaient aller plus loin, plus profondément dans l'étude du social et de la réalité humaine historique, affirmaient que le "moteur" ("les" plutôt...) de l'histoire ne se réduisait pas au politique et aux guerres. Difficile de dire le contraire!
A propos de l'histoire politique, le propos de ce prof est en effet assez bizarre. Mais il ne faut pas exagérer non plus l'idée - répandue par R. Rémond et ses disciples - que l'histoire politique a été martyrisée par les Annales et que le thème était marginal dans les années 1950-70: en témoignent les travaux d'historiens divers comme Furet ou Maurice Agulhon. L'histoire politique s'est beaucoup renouvelée il est vrai ces dernières années, mais il ne me semble pas que ce soit "l'école Sciences-Po" qui ait été la plus novatrice (centrée sur le XX° siècle, peu ouverte aux autres disciplines malgré tout, très franco-française)...
De plus, l'étude des guerres a également été renouvelée, par des historiens comme JJ Becker ou Stéphane Audoin-Rouzeau...qui se sert beaucoup des travaux d'anthropologie, et est en ce sens plus fidèle au projet annaliste qu'à Rémond... Comme quoi les approches, à mon sens, les plus novatrices sur le sujet ne viennent pas forcément de là où on pourrait les attendre!
Enfin, j'aimerais juste préciser que la notion d'événement a également changé de sens: en gros, un événement ne se limite pas aux faits, à l'"événementiel", mais prend en compte une réalité beaucoup plus large et étendue, notamment : la mémoire de cet événement, des témoins ou acteurs comme des « héritiers », avec tous les investissements et utilisations que cela suppose ; les représentations qui l'accompagnent qui ont aussi une histoire; l’historiographie, la façon dont les historiens ont rendu compte de celui-ci à travers le temps, l’ont construit, et l’ont parfois, eux-aussi, investi de passions ou de débats intellectuels, idéologiques, politiques, etc. Cette notion est beaucoup travaillée aujourd'hui mais il me semble qu'on en revient pas pour autant aux vieux travers de l'histoire événementielle ou "traité-bataille"... heureusement!


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Message Publié : 07 Mai 2008 16:41 
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Thucydide
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Inscription : 22 Avr 2008 16:31
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Oups :oops: Le message précédent a été posté pendant que j'écrivais le mien, désolé... je suis tout à fait d'accord avec vous Baudolino! et les propos du professeur sont sans doute plus clairs que les miens ;)


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Message Publié : 07 Mai 2008 16:58 
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Inscription : 07 Sep 2003 17:22
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Vallès a écrit :
Oups :oops: Le message précédent a été posté pendant que j'écrivais le mien, désolé... je suis tout à fait d'accord avec vous Baudolino! et les propos du professeur sont sans doute plus clairs que les miens ;)


mais votre approche complète bien la mienne et j'approuve ce que vous avez écris ! ;) :mrgreen:


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