duc de Raguse a écrit :
Une question : votre pseudo fait-il écho au journal socialiste allemand du début du XXème siècle ?
Si je voulais passer pour le latiniste distingué que je ne suis pas, je vous répondrais
Plus sonat quam valet. Il serait extrêmement hasardeux de tirer une quelconque conclusion de mon pseudo, puisque je n'ai aucune sympathie particulière pour la social-démocratie, pas plus sous le IIe Reich qu'aujourd'hui.
Crillon a écrit :
Petite remarque annexe Vorwärts: je serais curieux de connaître l'avatar que vous allez (je suppose) choisir...
Comme il n'y a heureusement aucune règle imposant que l'avatar soit en rapport avec le pseudo, je penchais initialement pour un portrait du général Lee. Mais l'expérience a prouvé que ça rendait très mal en 100 x 100 pixels. J'ai donc adopté le drapeau que vous pouvez admirer en ce moment.
Florian a écrit :
Ils ne trouvent dans ce livre rien d'autre que ce qu'ils ont toujours pensé. Quant à ceux qui sont censés être les propagateurs de ce "politiquement correct", je doute qu'ils aient acheté le livre et encore plus qu'ils soient convaincus.
Rien à redire à ça, c'est la réflexion que je me suis faite hier, peu après avoir envoyé mon message. Encore qu'à la limite le livre puisse s'adresser à des sympathisants de droite peu au fait des questions historiques...
Florian a écrit :
Vous occultez le fait que ce livre est un livre partisan et donc qu'il s'adresse à un public trié sur le volet, déjà tout acquis à ses thèses.
Que le livre soit partisan, je ne le conteste pas. Ça n'implique pas pour autant des erreurs, seulement une sélection des faits allant dans le sens de sa thèse. On peut très bien expliquer les omissions par deux raisons :
- d'une part, l'ambition de l'auteur n'était pas d'écrire une histoire universelle complète;
- d'autre part, on peut penser qu'il n'a pas éprouvé le besoin de répéter ce qu'on peut déjà lire et entendre partout.
Je crois que vous prêtez à l'auteur des ambitions démesurées : nulle part il ne prétend réécrire l'histoire. Il s'agit seulement de revenir sur des erreurs ou des omissions transmises depuis tellement longtemps ou avec tant d'insistance qu'elles sont devenues une sorte d'histoire officielle. Rien de plus.