JOSEPH75 a écrit :
Je peux vous poser une question amicalement ?
Voici la question: est-ce que vous avez trop picolé aujourd'hui ?
Haha. Je ne sais pas si c'est moi que vous interrogiez, mais sinon je vous rassure, ça va plutôt bien.
Je trouve simplement que vous êtes très tranchant dans vos argumentations, ce qui n'est pas un mal, après tout. Mais vous êtes également très peu clair : on ne sait pas trop où vous voulez en venir, et c'est difficile de porter la contradiction sur des bases saines. Vous louvoyez pas mal, quand même.
Et quand vous affirmez, péremptoire, que pour être historien, il faut connaitre la statistique, les mathématiques, la cartographie, les langues mortes, et "le reste, c'est de la frime" (vous l'avez écrit, cela), on a tout de suite envie de vous répondre que :
- Non, de nombreux bons historiens n'ont que des connaissances très limitées en mathématiques statistiques et en cartographie. Que beaucoup ne lisent pas les langues mortes. Que certains ne parlent même pas couramment anglais (ce qui peut pour le coup être un vrai problème, je suis d'accord avec vous).
- Que vous oubliez d'autres sciences, bien plus importantes que celles que vous citez, et qui devraient pour le coup faire partie du bagage de l'historien : des bases en linguistique, en sociologie, en ethnologie, en archéologie. Sans parler des sciences auxiliaires de l'histoire, de la géographie à la paléographie, en passant par la diplomatique. Et pour le coup, beaucoup d'historiens professionnels ont des bases, au moins élémentaires, dans ces diverses sciences sociales ou sciences auxiliaires.