rdchr a écrit :
je n'ai pas attaqué votre livre, mais les justifications que vous avez faites sur ce forum. J'ai précisé à plusieurs reprises que je n'avais pas lu le livre, et vous ai contredit sur un post précédent très précis concernant la soi-disant emprise du droit romain sur les provinces, qui n'est pas une réalité
Et je vous ai répondu là dessus, le reste ayant déjà été dit dans les pages précédentes. Je ne vais pas y revenir vingt fois, surtout auprès de gens qui ne vont pas lire ce que j'ai écrit. Vous avez même admis en commençant n'avoir même pas lu l'intégralité de ce qui a été dit sur ce fil de discussion.
Citer :
je n'ai fait ensuite que rebondir sur vos explications fournies sur ce forum seul, et n'ai pas commenté la substance globale de votre article ou de votre livre, même si l'association de "libéralisme" et de "socialisme" à la réalité romaine parait en soi totalement absurde.
Donc vous ne jugez pas la substance globale, mais cela ne vous empêche pas de glisser un petit avis sur lequel, par précaution de langage, vous pourrez expliquer que vous n'avez pas à argumenter. Habile.
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Par ailleurs, vous ne répondez pas sur les points qui vous déplaisent; vous revendiquez sur un ton un peu péremptoire un article dans la RHDFE
Je n'ai rien revendiqué sur un ton péremptoire. Le message dans lequel je l'ai signalé était extrêmement sobre et simplement pour lever le préjugé initial qui semblait être celui de tous mes contradicteurs, à savoir que je ne serais qu'un rigolo qui ne saurait absolument pas de quoi il parle. Je n'ai jamais dit que l'article et le livre étaient la même chose, simplement que l'article défendait, sur un point spécifique une vision des choses cohérente avec le livre. J'espérai que cela donnerait lieu à une discussion plus ouverte, mais c'est raté. Je ne vais donc pas m'attarder ici.
Ce qui a été péremptoire, c'est la réaction acrimonieuse de Pedro qui m'a accusé de venir me faire de la pub.
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mais lorsque l'on vous pose la question du sérieux de l'éditeur de votre livre, vous bottez en touche.
Mon éditeur n'est pas un éditeur universitaire, c'est un fait. C'est aussi un fait que cet ouvrage n'est pas le premier que je lui ai proposé et que sa publication s'est faite un peu par hasard. Mais je l'assume totalement et mon éditeur fait sérieusement son travail.
Mais de toute façon le livre lui-même n'est pas un ouvrage universitaire, c'est un essai (c'est marqué en première page). Quand je fais un travail universitaire, je le publie dans une revue universitaire.
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De même, je vous repose la question: pourquoi ne pas proposer votre ouvrage pour recension à la RHDFE, ou à d'autres revues d'histoire juridique de même réputation (Droits, Zeitschrift der Savigny-Stiftung, RIDA, Tijdschrift etc...)? Craignez vous d'être attaqué?
Je ne doute pas que je le serai. Néanmoins ce n'est pas pour cela que je ne propose pas cet ouvrage à la recension, mais parce qu'il n'obéit pas aux canons universitaires ; en particulier, j'y traite en conclusion d'un parallèle avec l'histoire américaine et la situation sociopolitique actuelle de ce pays. Ce n'est pas du tout le genre de démarche habituellement présente dans les ouvrages recensés dans les revues universitaires.