Je n'ai pas bien compris l'objet du délire
!
Pardon, je voulais désamorcer.....
Concernant les premiers chrétiens, ce que je peux penser à l'aune de mes maigres connaissances c'est que la vie de jésus a laissé dans la perpléxité bon nombre de pauvres âmes cherchant desespérement une nouvelle forme de foi.
Une foi qui promet l'au delà.
Là où la religion chrétienne vient à l'encontre de la religion civique romaine, c'est qu'elle refuse de sacrifier aux dieux qui fondent la cité.
Chez les romains, la civilisation est le fruit d'une pax deorum, d'un équilibre de la volonté des dieux et des hommes. Et cela s'honore par de multiples actes envers de mulituples figures.
Le monothéisme chrétien a cela de différent avec Mithra et les autres religion à mystère qu'il faut couper avec le pagnanisme romain.
mais pour compliquer la chose, la forme de la cité reste le cadre idéal de l'exercice de la religion nouvelle. Le christianisme organisé par Paul (je crois, à cette heure je ne vérifie plus), se calque sur les institutions roamines.
On est donc face à un paradoxe. Une religion qui pour la première fois s'oppose ouvertement à Rome en ne sacrifiant pas à ses idoles (pourtant également manifestation de fidélité d'où le problème), et qui se calque sur ses institutions pour créer sa structure (diocèse etc).