J'ai bien fait de me lever, je me doutais que quelque chose de beau m'attendais.... Cette épitaphe est vraiment riche. Elle me fait un peu penser à la chanson de Brel "Les Vieux" : "...Les Vieux ne meurent pas, ils s'endorment un jour et dorment trop longtemps..."
Je vais sérieusement penser à la mienne : on est jamais mieux servi que par soi-même...

Celle-ci, j'en apprécie particulièrement la "chute". J'adore l'humour décalé en rapport avec la mort. Bref, encore deux copié/collé pour mon dossier "Best sentences".
Merci encore, c'était vraiment intéressant et merci de vous être investie dans ces recherches qui ne sont que du bonheur.

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Merci Thersite pour les références car là, pour la poésie, je vais craquer...

Je n'ai pas vu de maquette et ne suis pas allée sur le net mais je vais me pencher sur ce bateau. Ceci me pose un problème en rapport avec Actium où la flotte égyptienne est trop lourde en manoeuvre et les bateau d'Agrippa, plus bas et donc plus équilibrés au niveau du tirant d'eau se sont montrés plus "véloces".
Je vais donc étudier le "5" puisque niveau combat, c'est la référence.
Merci pour tout à tout deux !

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

J'ai déjà lu cela, mais je suis incapable d'y mettre un nom. De qui est-ce ? Merci d'avance

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Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)

Antoine avait mis en chantier de très gros navires, de 6 à 10 rangs, qu'on n'avait plus vu depuis deux siècles : ce sont eux les gros navires lents, d'autant plus qu'il manquait dramatiquement de marins, et a fait l'erreur d'incendier les navires égyptiens pour transférer les équipages sur ses énormes coques romaines vides, sans parvenir pour autant à combler les trous. Résultat, les équipages expérimentés manœuvraient des navires qu'ils ne connaissaient pas, pour la première fois ; un vrai gâchis... Lorsqu'Antoine se décide à la fuite, il quitte son navire amiral, un décère, une "10", pour se transborder dans une pentère et peut ainsi prendre la poudre d'escampette tranquillos...

Sans vérifier, je dirais soit Sakespeare soit Bernard Shaw, mais bizarre ça ne sent pas la traduction... à vérifier donc...

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«Κρέσσον πάντα θαρσέοντα ἥμισυ τῶν δεινῶν πάσκειν μᾶλλον ἢ πᾶν χρῆμα προδειμαίνοντα μηδαμὰ μηδὲν ποιέειν»
Xerxès, in Hérodote,

L'Empereur n'avait pas à redouter qu'on ignorât qu'il régnait, il tenait plus encore à ce qu'on sût qu'il gouvernait[...].
Émile Ollivier, l'Empire libéral.

Puisque la bibliograpie c'st un peu ma marotte, voila un ouvrage assez récent sur les Cléopâtres, toutes les Cléopâtres et pas seulement celles d'Egypte...

J. WHITEHORN, Cleopatras, Londres, 1994 (en anglais)


Apparemment la citation du poème ce n'est pas Shakespear, je l'ai déjà lue moi aussi mais je ne sais plus où...

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«Κρέσσον πάντα θαρσέοντα ἥμισυ τῶν δεινῶν πάσκειν μᾶλλον ἢ πᾶν χρῆμα προδειμαίνοντα μηδαμὰ μηδὲν ποιέειν»
Xerxès, in Hérodote,

L'Empereur n'avait pas à redouter qu'on ignorât qu'il régnait, il tenait plus encore à ce qu'on sût qu'il gouvernait[...].
Émile Ollivier, l'Empire libéral.

Gaete normalement c'est à vous de lancer les prochaines questions mais comme j'ai cru comprendre que ne connaissiez rien (plus maintenant c'est vrai ), j me permets de reposer un peit quizz tout simple vous allez voir...


Destiné à la fois à la guerre et au commerce, je fus finalement offert a Ptolémée III, 1° que suis-je, 2° par qui ai-je été donné, 3°et qui m'a conçu ?


Voila, bonne nuit...

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«Κρέσσον πάντα θαρσέοντα ἥμισυ τῶν δεινῶν πάσκειν μᾶλλον ἢ πᾶν χρῆμα προδειμαίνοντα μηδαμὰ μηδὲν ποιέειν»
Xerxès, in Hérodote,

L'Empereur n'avait pas à redouter qu'on ignorât qu'il régnait, il tenait plus encore à ce qu'on sût qu'il gouvernait[...].
Émile Ollivier, l'Empire libéral.

J'ai déjà lu cela, mais je suis incapable d'y mettre un nom. De qui est-ce ? Merci d'avance[/quote]

C'est magnifique et de José Maria de Hérédia qui faisait les fameuses dictées dans les salons de l'impératrice Eugénie.
Beaucoup de ses poèmes sont inspirés de la mythologie. Ils sont délicieux mais celui-ci a ma préférence car tout est suggéré et la chute est superbe : le dernier vers du sonnet est vraiment "parlant" (passion, obsession et déjà la terrible angoisse d'une fin inévitable)...
Merci à vous de me l'avoir demandé car ceci m'a permis de le lire à nouveau et d'être tout autant bouleversée...

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Bonsoir Thersite,
Je souhaiterais avoir votre avis sur ce "gâchis" et j'aimerais en quelque mots que vous me parliez de Marc Antoine. Non pas celui que l'on connait à travers les mêmes extraits mais votre avis sur la capacité du "tacticien" et le jugement d'un homme sur un autre, de plus vous avez évidement l'approche et les connaissances.
Quels furent, pour vous, les meilleurs seconds ou "généraux (?)" de Marc-Antoine et qui choisit Actium ?
Pourquoi pas un affrontement sur "terre" ? Dans le cas d'un affrontement terrestre, Marc-Antoine aurait-il pu vaincre ou était-ce vraiment la fin ?
Merci grandement de vos réponses.

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Je ne suis pas qualifié pour donner un avis ; je connais les sources, mais ne les ai jamais travaillé ni comparé, le Ier siècle n'est pas trop ma tasse de thé... Il existe plusieurs sujets du Marc Antoine sur le forum romain (sur lesquels d'ailleurs je n'ai pas participé), je t'y renvoie. Et pour le bras droit, je te bascule sur Informations sur Publius Canidius, son principal adjoint, qui militairement assurait (Antoine tchatche beaucoup, mais derrière, il n'y a pas grand chose, ses campagnes finissent toutes en désastre quand il commande...) et est en grande partie à l'origine du rassemblement et de l'organisation de la flotte et de l'armée antonine, qu'Antoine récupère à chaque fois de ses mains. A l'un le boulot, à l'autre la gloire...

Grand merci Thersite.

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Je donne la réponse à cette question : il s'agit encore d'un navire, désolé... Hiéron II de Syracuse (265-215) fait construire la Syrakosia un navire d'une capacité et d'un agencement intérieur exceptionnels, conçu par Archimède. J'ai trouvé sur un site allemand quu'il faisait 55 mètres de long. Bateau de guerre, doté d'un pont de combat, d'une catapulte et de tours, la Sunakosia est également un bateau de commerce et peut contenir des quantités impressionnantes de grains et d'amphores;il pouvait transporter 60.000 mesures de grains, 10.000 jarres de poissons en saumure, 20.000 talents * de laines et autant de marchandises. c'est aussi une résidence flottante, comprenant un gymnase, une bibliothèque et un sanctuaire consacré à Aphrodite. Ce navire ne peut être accueilli dans les ports méditerranéens car son tirant d'eau est trop important. Hiéron finit par l'offrir à Ptolémée. Le Syrakosia est renommé Atlantis.

Deux liens en plus de ma source de départ (Pascale Ballet, Vie quotidienne à Alexandrie 331-30 avt. J.-C., p.77-78)

Site allemand sur Archimède

Site en aglais citant le passage d'Athénée de Cyrène

et puis un lien vers gallica: désolé c'est la seule traduction que j'ai trouvée, sur le site remacle.org je n'ai pas trouvé le livre V... l'ouvrage date du XVIIe siècle
Quinze livres d'Athénée


Sur l'auteur et l'oeuvre : Les Deipnosophistes sont une série de conversations tenues lors d'un dîner fictif que l'ouvrage place à Rome , au début du IIIe siècle : avant la mort d'un personnage décrit comme « Galien » (soit en 199 pour le Galien historique) et après la mort d'« Ulpien » (cf. ci-dessus). L'ouvrage comprend quinze livres au cours desquels Athénée, le narrateur, raconte à un interlocuteur nommé Timocrate les conversations du fameux dîner. Timocrate lui-même ne s'exprime qu'à une seul e reprise, au début du livre I, mais Athénée s'adresse à lui au début et à la fin de la plupart des quinze livres.(Source Wikipedia)

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«Κρέσσον πάντα θαρσέοντα ἥμισυ τῶν δεινῶν πάσκειν μᾶλλον ἢ πᾶν χρῆμα προδειμαίνοντα μηδαμὰ μηδὲν ποιέειν»
Xerxès, in Hérodote,

L'Empereur n'avait pas à redouter qu'on ignorât qu'il régnait, il tenait plus encore à ce qu'on sût qu'il gouvernait[...].
Émile Ollivier, l'Empire libéral.

Vous êtes dépourvus de coeur... car je vais craquer pour cette époque ! ! ! Et ne faisant jamais les choses à moitié, je vois ce qui m'attends...
Il me faut, sans tarder lire les échanges entre Timocrate et Athénée sinon je vais entrer dans une période de "grande frustration". En plus des déisophistes... Quant aux bateaux et à la mer, c'est mon univers donc les problèmes de tirant d'eau me sont plaisir... Je me mens en disant que je "vais" craquer ! Je suis fichue, je craque... Je me doutais que ce quizz me serait fatal...
Merci à vous mais il y a du travail en perspective...

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)