Skipp a écrit :
Il n'y a aucune trace d'un tel tsunami... et aucune explication scientifique pour l'expliquer d'ailleurs.
Des traces existent. Relisez Velikovsky. Durant tout le dix neuvième siècle, jusqu'avant la seconde guerre mondiale, on prenait ça assez au sérieux et l'hypothèse d'une manifestation hydraulique d'ampleur colossale était évoquée. Les tentatives d'explications scientifiques n'ont pas manqué : j'en ai cité quelques unes. Puis il faut bien dire qu'on s'est lassé, que trop de bêtises ont été écrites, et qu'il n'y a rien de tel pour faire fuir des scientifiques que de noyer un sujet sous un fatras d'hypothèses stupides parce que violant des lois scientifiques plus ou moins élémentaires.
Skipp a écrit :
L'on retrouve le mythe du déluge partout autour de la planète. Il ne faut pas y voir autre chose que la peur de la fin du monde et/ou des explications aux trouvailles de coquillages en pleine montagne ou loin des plages.
Bien sur que la peur de la fin du monde existe. Sinon, un célèbre couturier aurait il vendu des dizaines de milliers d'exemplaires de sa prose en annonçant la chute de la station Mir sur Paris ? Les coquillages... Amalgame commode : les fossiles loin des plages, les numulithes, etc... Bien sur... Comment expliquez vous, par exemple, les squelettes entiers de baleine perchés à quelques centaines de mètres d'altitude dans des dépots quaternaires récents ? Les amas de cadavres d'animaux terrestres trouvé dans le grand nord (Alaska, Nelle Zemble...) ?
Skipp a écrit :
Les polynésiens ont toujours été confrontés à la mer, et parfois au tsunami, il ne leur a pas fallu longtemps pour imaginer qu'un jour la Terre ai pu être complètement submergée. Lorsque l'on habite une île cela doit être l'une des craintes qui ressort de notre imagination.
Velikovsky et Capart montrent qu'il s'agit d'archétypes universels, non liés à la situation insulaire de leur l'origine.