Le 27 août 1830 le Prince de Condé Louis Henri Joseph de Bourbon est retrouvé mort, pendu. Est-ce un meurtre déguisé en suicide ? Le prince avait perdu trois doigt à une main et ne pouvait plus utiliser son bras gauche. Comment aurait-il pu se suicider et pour quelles raisons ? Certains accusent sa maîtresse Sophie Dawes d'avoir assassiner le duc de Bourbon. Que pensez-vous de tout ça ?

Peut être une pendaison érotique qui a mal tourné. Cette version là me plaît bien

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)

Bonsoir,



C'est la version que je connais aussi, il s'est pendu à l'espagnolette d'une fenêtre il me semble.

Cordialement.

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ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura pas de survivant (A. Allais)

Voici ce que donne Patrick Van Kerrebrouck dans la Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France :

Le Prince a été retrouvé attaché (plutôt que suspendu) par deux cravates en soie au bouton de l'espagnolette d'une fenêtre peu élevée au-dessus-du sol, les jambes repliées sous lui, ses genoux touchant presque terre.

Sur la mort, les preuves physiques et morales de l'impossibilité du suicide, le prince étant presqu'infirme d'un bras, voir par exemple Albert de Calvimont, Le dernier des Condé (Paris, 1832, p323-375), ou le comte A.R. de Villemur, Notice historique sur la vie et la mort de son altesse royale le prince de Condé, etc.

Je vous donnerai d'autres sources, citées par cet auteur, si vous le jugez intéressant.

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Il n'est pas sur notre sol une chose qui soit plus utile que ces sublimes monuments qui ne servent à rien (Emile Mâle).

On pourrait aussi évoquer une sombre histoire d'héritage où le duc d'orléans, soucieux de ne pas laisser filer l'immense fortune des Condé, que le prince avait légué au duc d'Aumale, avait fini par faire assasiner le prince, peut-être avec la complicité de Sophie Dawes. Cette mort restera sans doute un mystère.

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«Chaque homme a deux pays, le sien et la France» (Benjamin Franklin).

Un livre est paru il y a quelques années sur la mort du dernier prince de Condé aux éditions Perrin. Ne l'ayant pas lu, j'ignore la thèse sur laquelle se fonde son auteur : suicide ou fantaisie sexuelle du denier des Condé ayant mal tourné ?

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Dominique Poulin

J'avais lu (je ne sais dans quel livre) que c'était pour guérir son impuissance quil avait eu recours à la strangulation . C'est un fait connu, les pendus ont une forte érection. Dans ce cas la strangulation aurait duré trop longtemps. Heureusement , à présent nous avons le Vi agra

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "