L'aventure de l'aéropostale est l'une des plus belles pages du XXème siècle.

J'ai entendu dire que les pilotes étaient peu payés, tout simplement parce que cette activité aurait rapporté très peu d'argent, étant même déficitaire, et ne subsistant qu'avec l'aide de mécènes ou de l'état. Est-ce vrai ?

Je ne sais pas si l'activité était déficitaire mais les pilotes n'avaient pas l'air dans le besoin. C'est en tout cas ce qui semble ressortir des divers témoignages ou livres: hôtels, cabarets à la mode, champagne et fêtes...

Bonjour,



Dans la toute récente biographie de Goéring, on y voit que dans les années 20 être aviateur, surtout si on est un as de 14, c'est la classe! Goéring en Suède vivra très bien de son salaire et des rencontres féminines de la hautes société. Son job consistait a accompagner les riches du moment qui préféraient l'usage de l'avion pour sa rapidité, car comme dans presque tout, quand il y a une nouveauté, rien n'est démocratique en ce monde les meilleurs choses ont toujours un accès privilégié vers les privilégiés! En tout cas, dans les années 20 être aviateur était un moyen facile de côtoyer une population élitiste, et puis ils étaient pas nombreux les pilotes issus de la classe ouvrière ou paysanne.

K

Mmmmhhh ! l'Aéropostale, c'est plutôt après la 1ère guerre mondiale, c'est à dire l'Entre deux guerres. Ca n'a rien à faire dans le sous-forum Belle Epoque.

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C'est l'ambition qui perd les hommes. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône.

Mr Prudhomme