Et dans le même genre dans " la Grande Illusion " de Renoir, on voit très bien que les Allemands laissent passer tranquillement les colis à destination des prisonniers pour éviter de devoir les nourrir par eux-même. La corde devient de plus en plus raide vers la fin...

Sur la famine, pour les germanistes: http://192.68.214.70/blz/eup/03_07_themenheft/5.asp

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)

Concernant les pertes à verdun "équilibrées" entre assaillants et assaillis, il me semble que ce fut le cas lors des grandes offensives sur le front ouest quel que soit l'assaillant (Somme, Verdun, Keiserschlacht...) après 1915. Le défenseur subit de grosses pertes lors du/des bombardments initiaux (puis de tirs sur les renforts) arrivant, mais même peu de soldtas infligent ensuite de grosses pertes aux attaquants. sur la Somme comme à Verdun anglais et allemand ont été surpis que les débris d'unités puissent infliger de lourdes pertes là où ils pensaient ne trouver personne (aggravé sur la somme par les meilleures fortifications allemandes dans le "dur" et de "légers" soucis techniques avec les bombardements eux-mêmes.

Le blocus a été un éléments décisif qui a graduellement sapé les moyens allemands (et austro-hongrois). L'usure a été lente mais efficace.

Les bulgares ont permis d'"achever" la Serbie, évitant trois front à l'Autriche-Hongrie qui se trouvait en fait dès 1915 dans une situation stratégique bien pire que l'Allemagne : un adversaire "plus fort" à l'est, un adversaire pas loin d'être égal à l'ouest, et un verrou au sud.

Les turcs en tenant les détroits ont empéché le ravitailleemnt (en munitions par exemple) de la Russie. rien que ça en faisait un allié correct.

de toutes façons cette guerre ne peut se concevoir qu'en "Coalition" : imaginer un duel franco-allemand avec combat dans els vosges est assez illusoire. AH et allemagne et russie/France sont le scénario minimal, donc dans tus les cas guerre sur deuxx front pour l'allemagne. et si pas de passage en Belgique, même avec des français se lançant sur la ligne pour subir de lourdes oppertes en aout/septembre, même uavec un potentile industrile bien supérieur, je ne me risquerai pas à dire que l'allemagne se serait fait une percée plus facile : le terrain s'y prête moins (beaucoup de goulets d'étranglement) avec une armée française plus concentrée.