Mais également car ils ne portaient pas de fusils. Les officiers anglais apprirent vite à arracher les paraments de manche et prendre un fusil pour les assauts.

intéressante la définition d'outrance : employé dans le contexte de "mettre hors de combat", exprime une idée d'opiniatreté sans répit, jusqu'à l'élimination de l'adversaire.

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… il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer…

Pourquoi pas mais la définition reste flou puisque si on arrête l'offensive sans avoir "éliminer l'adversaire", doit-on la qualifier d'offensive à outrance ou non ?
Cela voudrait dire qu'une offensive qui ne serait pas victorieuse ne serait pas outrancière mais l'inverse oui ?
A partir de quel moment on considère une offensive d'opiniatre ?

Pour ma part je pense que l'offensive à outrance reste une idéologie qui est presque impossible à vérifier en pratique. Elle se base sur le fait que le gain stratégique est supérieur aux pertes occasionnées.

je pense que l'on amener une question de rythme: Outrance signifierait une succession d'offensives pour atteindre l'objectif, aun rythme intense, sans tenir compte des pertes, sans marquer de pause, ou seulement le temps de rameuter son monde, sans se donner le temps de réfléchir, de débrieffer dirait on aujourd'hui. il y a probablement une notion de rythme.

je pense que l'on amener une question de rythme: Outrance signifierait une succession d'offensives pour atteindre l'objectif, aun rythme intense, sans tenir compte des pertes, sans marquer de pause, ou seulement le temps de rameuter son monde, sans se donner le temps de réfléchir, de débrieffer dirait on aujourd'hui. il y a probablement une notion de rythme.