En plus les moissons ont été faites - le terrain est parsemé de hautes meules de paille - il n'y a absolument rien pour se dissimuler. A cette époque, les officiers refusent encore de se coucher sous le feu : "Un officier français ne se couche pas ! " (ça leur passera, vu l'hécatombe)

Mais ce n'est pas le seul endroit où on se bat en plaine en 1914. Vu les secteurs concernés par l'invasion, c'est même assez fréquent. Il en sera de même pendant la course à la mer.

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Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)

Maurice Genevoix explique qu'il est considéré d'un oeil suspicieux par ses supérieurs pour avoir fait progresser ses hommes par des cheminements en lisière de champs et par bonds successifs au lieu de courir au milieu des champs.Honte à lui ! sa section a moins de pertes que les autres........

Le souci est que cela rend les attaques plus prévisibles... Une période dangereuse avec plus de risques d'attaques pour les défenseurs sera lorsque Le terrain doit être sec et lorsque le vent est tourné vers notre camp.


Les attaques à la "napoléoniennes" causeront d'innombrables morts...

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