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 Sujet du message : La famille de Hitler
Message Publié : 03 Fév 2004 6:53 
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Bonjour,


Savez-vous à quel âge sont morts les parents de Hitler. (Les années.)
Connaissez-vous l'idée politique de ceux-ci ? (Soutenaient-ils leur fils ?)
Etaient-ils aussi fou ?

Je parle des parents, même adoptifs, de Hitler. (Chez lesquels il a grandi, à Braunau-am-Inn.!


Merci !


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Message Publié : 03 Fév 2004 11:29 
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Son pere Aloïs Hitler(de son vrai nom SCHICKLGRUBER) est décédé en 1903; Klara sa mère est morte en 1908 ! Hitler adorait sa Mere et fut trés affecté par la mort de celle ci, par contre, son pere était extremement dur ! De ce que j'en sais, ses parents étaient des gens trés ordinaires et les idées politiques de leur fils sont apparu bien aprés leur mort ! :wink: ]

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.


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Message Publié : 07 Fév 2004 20:39 
Hypolite a tout à fait bien résumé.
Je peux vous donner une biographie des parents d'Hitler, surtout de son père:

Son père, Alois, est né en 1837. Il était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber et de son compagnon inconnu, qui a pu avoir été quelqu'un du voisinage ou un pauvre ouvrier d'usine a appelé Johann Georg Hiedler, un juif. C’est donc possible que le grand-père d’Hitler soit juif !
Maria Schicklgruber était employée en tant que cuisinière dans le ménage d'une famille juive riche appelée Frankenberger.
Adolf ne voulut jamais savoir qui était exactement son grand-père (peur de ses ascendances juives ?).
Il a su que, quand son père Alois avait environ cinq ans, Maria Anna Schicklgruber était mariée à Johann Georg Hiedler. Le mariage a duré cinq ans jusqu'à la mort naturelle de Johan.
En 1850, le jeune Alois en a eu assez de la vie de ferme et est parti pour la ville de Vienne pour trouver un métier. Il a travaillé en tant qu'apprenti chez un cordonnier puis plus tard enrôlé dans la fonction publique autrichienne, devenant un douanier. Il a travaillé dur comme fonctionnaire et est par la suite devenu surveillant. En 1875, il atteint le rang d’inspecteur auxiliaire supérieur, un grand accomplissement pour un ancien pauvre garçon de ferme avec peu d'enseignement conventionnel.
Alois avait toujours employé le dernier nom de sa mère, Schicklgruber, et s'est ainsi toujours fait appeler Alois Schicklgruber. Il n'a fait aucune tentative de cacher le fait qu'il était illégitime.
Mais après son succès dans la fonction publique, son oncle, fier, l'a convaincu de changer son dernier nom pour le remplacer par Hiedler. Cependant, quand il est venu l’heure d'écrire le nom sur la fiche d’état civil, il a été orthographié comme Hitler.
Et ainsi en 1876, à 39 ans, Alois Schicklgruber devient Alois Hitler.
En 1885, après de nombreuses affaires et 2 mariages à leurs termes, Alois Hitler, à 48 ans, se marie avec Klara Pölzl, 24 ans, enceinte, la petite fille d’Hiedler.

En raison du changement de nom, il obtint la permission spéciale de l'église catholique.
Les enfants du premier mariage d’Alois, Alois Junior et Angela, assistèrent au mariage et restèrent avec Alois et Klara après celui-ci.
Klara Pölzl donna naissance à 2 garçons et 1 fille, qui moururent imédiatement. Le 20 avril 1889, leur quatrième enfant, Adolf (surnommé Adi), naquit en bonne santé et fut baptisé dans le catholicisme. Alois avait 52 ans.
En 1893, sa mère lui donna un frère, Edmond et en 1896, une sœur, Paula.
Très tôt, la mère d’Adolf a craint de le perdre aussi et lui a prodigué beaucoup de soin et d'affection.
Son père avait consacré la majeure partie de sa vie au travail dans la fonction publique, augmentant sans cesse dans la hiérarchie de son métier. Il avait l’habitude de donner des ordres et a pris la même attitude avec ses enfants.
En 1895, Adolf rentra à l’école primaire.
La famille Hitler, vivant dans une petite ferme près de Linz, en Autriche, força ses enfants a faire des corvées de ferme, négligeant leur travail scolaire, chose normale pour l’époque.
La mère d’Hitler était alors plus préoccupée par son autre fils, Edmond, que par Adolf.
A partir de 1896, avec l’arrivée de Paula, la ferme Hitler était constituée de Adolf, Edmond, Paula, le demi-frère Alois Junior et la demi-sœur Angéla (surnommée Geli) en plus des deux parents.
Cette famille large semble avoir tapé sur les nerfs d’Alois, qui prit sa retraite après 40 ans de travail difficile.
Le garçon le plus âgé, Alois Junior, subit le mécontentement de son père, des mots durs et des battements occasionnels. Un an après, à 14 ans, Alois jr. en a eu assez de ce traitement et a quitté la maison, pour ne revoir jamais son père. Ce qui condamna Adolf, en 1897, prochain sur la liste, à subir le même traitement.
A ce moment là, la famille déménagea de la ferme pour le village de Lambach, en Autriche, à mi-chemin entre Linz et Salzburg.
En 1898, la famille redéménagea pour Leonding, près de Linz. Ils habitèrent une petite maison, avec un jardin, près d’un cimetière.
En 1899 arriva un drame à la maison Hitler : le petit frère d’Adolf, Edmond, mourut de la rougeole. Edmond fut enterré dans le cimetière près de la maison familiale et les voisins le voyaient, certaines nuits, assis près de la tombe de son frère, regardant les étoiles. Ce fut son premier choc avec la mort.
En 1900, Adolf sortait de l’école primaire et avait à choisir entre un lycée général ou technologique. Il rêvait de devenir artiste, donc aller au lycée général. Mais son père voulait que son fils exerçât la même profession que lui, dans la fonction publique. Ainsi, Adolf entrait en septembre 1900 dans le lycée technologique de Linz.
A la maison ; il y alors eut fréquemment des disputes entre Adolf et son père à propos du choix de la carrière future. Mais la tradition voulait que le père ait l’autorité et choisisse pour son fils. L’idée de devenir artiste semblait ridicule et Alois, borné comme il était, refusait d’entendre son fils. Ainsi commençât un combat amer entre les deux protagonistes.
Autre chose : l’Autriche était voisine de l’Allemagne et Hitler se considérait comme un Austro-Allemand. En opposition avec la monarchie Habsbourg, Hitler utilisait le salut allemand « Heil » et chantait les devises allemandes « Deutschland Uber Alles » au lieu de chanter les devises austro-hongroises.
Alois avait travaillé au service de l’empire austro-hongrois et exprimait sa loyauté envers les Habsbourg, ceci amenait de nouvelles disputes à la maison.
A Leonding, un samedi relativement froid, le 3 janvier 1903, décéda Alois Hitler, âgé de 65 ans. Il était sorti pour marcher et avait stoppé à son auberge favorite, s’était assis et avait demandé un verre de vin. Il s'effondra avant que le vin lui ait été apporté et mourut dans les minutes qui suivirent d'une hémorragie des poumons. Ce n’était pas la première fois qu’il avait à souffrir de ce mal.
Adolf cria et fut traumatisé quand il vit le corps de son père inerte. Les funérailles de son père dans la petite église de Leonding étaient très attendues.
Pour Adolf, il n'y aurait plus de mots durs et plus de disputes avec son père. Maintenant Hitler était exempt des mots sévères et de l'autorité paternelle.
En fait, Adolf était maintenant la tête masculine du ménage, une position d'importance en ces années.
Financièrement, son père avait laissé des fonds assez importants à sa famille
La mère de Hitler reçut la moitié de la pension mensuelle de son mari. Adolf, lui, reçut un peu plus d’argent chaque mois. La famille a également hérité de la maison de Leonding que le père avait personnellement payé.
A la suite de la mort d’Alois, Adolf est allé vivre dans une pension de garçons de Linz où il allait au lycée technique. Les week-ends, il retournait à la maison familiale.

Le 14 janvier 1907, la mère d'Adolf Hitler alla voir le médecin de famille au sujet d'une douleur au ventre, si douloureuse qu’elle n’arrivait plus à dormir. Le docteur, Edward Bloch, qui était juif, l’examina et trouva qu’elle avait un cancer de sein.
Adolf Hitler sanglota quand le docteur lui a dit qu'elle était gravement malade et qu’une opération immédiate était nécessaire. Quelques jours plus tard, Klara Hitler, 46 ans a été opérée et a eu un de ses seins enlevés. Mais l'opération était trop tardive. Sa maladie ravagea lentement son corps. Elle ne pouvait plus monter les escaliers de sa maison ; donc ils ont emménagé dans un appartement au rez-de-chaussée dans la banlieue à côté de Linz.
Hitler, malgré de nombreux échecs, persévérait à devenir artiste. En dépit de ses craintes au sujet de laisser sa mère seule, les ambitions artistiques de Hitler l'avaient conduit à se déplacer à Vienne pour ses études d’entrée à l’académie
Les problèmes commencèrent pour Hitler quand il échoua à l’examen d'entrée à l'académie.
Il quitta Vienne, désespéré, et retourna à la maison à sa mère, sans lui dire qu'il avait échoué l'examen.
Hitler consulta le DR. Bloch qui recommanda le traitement énergique pour sauver la vie de sa mère. Le douloureux traitement, cher, demandait d’appliquer des dosages d'iodoform, directement sur les ulcérations provoquées par le cancer. Hitler la surveillait constamment.
Son état a sérieusement empiré vers Noël. La mort était proche.
Au petit matin du 21 décembre, près des lumières rougeoyantes de l'arbre de Noël de la famille, elle mourut sans souffrances. Adolf fut traumatisé une seconde fois.
Le dr. Bloch arriva plus tard ce même jour pour signer le certificat de décès. Il a dit plus tard qu'il n'avait jamais vu quelqu’un surmonter aussi mal la mort de sa mère. C’est de là qu’est né l’antisémitisme d’Hitler.
Klara Hitler a été enterré un jour brumeux de décembre dans le cimetière de Leonding, à côté de son mari. Le cimetière contenait également son fils Edouard.
La veille de Noël, Hitler et ses soeurs payèrent les visites du DR. Bloch et réglèrent les factures médicales. Le docteur a réduit la facture de la famille, vu le nombre de visites qu'il avait faites à sa patiente. Adolf Hitler a exprimé sa gratitude profonde au docteur. "Je vous serai reconnaissant pour toujours" lui dit-il. (Totalement faux, puisqu’on sait ce qu’il fit ensuite aux gens de sa race)
Les deux parents étant morts, Hitler plaça de nouveau ses vues sur Vienne et l'académie d'art. Il quitta donc Leonding, seul héritage familial, en février 1908.

César


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Message Publié : 08 Fév 2004 0:04 
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Merci beaucoup pour cette biographie, César.
Mille excuse à Hypolite, je n'avais vu sa réponse.

Que sont devenus les soeurs de Hitler ?


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Message Publié : 08 Fév 2004 17:18 
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Localisation : Provinces illyriennes
Citer :
Le dr. Bloch arriva plus tard ce même jour pour signer le certificat de décès. Il a dit plus tard qu'il n'avait jamais vu quelqu’un surmonter aussi mal la mort de sa mère. C’est de là qu’est né l’antisémitisme d’Hitler.


Ce fait n'est absolument pas certain, ni prouvé. :roll:
Dans Mein Kampf, Hitler lui-même déclarait que son antisémitisme ne s'était pas "déclaré" avant qu'il arrive à Vienne.

duc de Raguse.

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Message Publié : 08 Fév 2004 18:02 
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En lisant ce texte je me suis fait exactement la même remarque... vous m'épargnez un copier-coller cher duc.

Votre exposé est très intéressant, César, mais dire que l'antisémitisme plonge ses racines dans cet épisode c'est un peu arbitraire... Non?

Keikoz

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Message Publié : 08 Fév 2004 18:51 
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Inscription : 02 Sep 2002 17:09
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Localisation : Nancy
duc de Raguse a écrit :
Dans Mein Kampf, Hitler lui-même déclarait que son antisémitisme ne s'était pas "déclaré" avant qu'il arrive à Vienne.

duc de Raguse.

Dans quel Tome / chapitre ?

Quelqu'un sait-il ce que sont devenues les soeurs de Hitler A. ?


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Message Publié : 09 Fév 2004 18:08 
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Localisation : Provinces illyriennes
A la page 82 de l'édition française de 1934. ( pas de tome...)

duc de Raguse.

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Message Publié : 09 Fév 2004 23:37 
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Entièrement d'accord avec vous pour ne pas juger sérieuse cette notion d'antisémitisme "déclenchée" par ce médecin. Cela me rappelle je ne sais plus quel article qui prétendait qu'Hitler avait choisi la croix gammée comme emblème parce qu'elle ornait une des chaires de l'église qu'il fréquentait petit... alors que certains corps-francs de 18-19 l'arboraient déjà sur leurs étendards...

Par contre il est regrettable que son père n'ait pas gardé le patronyme de sa mère... "Heil Schikleburger" n'aurait peut-être pas eu le même succès...

Pour terminer je vous félicite bien sur César pour la précision de votre exposé.

Amicalement


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Message Publié : 10 Fév 2004 17:50 
Excusez moi. Peut-être me suis-je mal exprimé.
Je pensais dire que l'histoire de ce médecin était peut-être à l'origine de son premier contact avec l'antisémitisme. Pas forcement qu'il était devenu antisémite sur-le-coup.
Je sais qu'Adolf Hitler en voudra éternellement à ce médecin (car il n'avait pas remarqué le cancer plus tôt) et je suppose qu'à son installation à Vienne, il rencontrera des gens de son âge qui avaient également des raisons plus ou moins fictives de ne pas aimer les Juifs. Ayant déjà un argument contre eux, il en trouvera d'autres (plus ou moins réels), et les développera jusqu'à la haine.
Mais je ne dis pas que ce fut son seul argument, ni que ce ne fut que sur celui-là qu'il se basera. Je dis juste que ce fut chronologiquement sa première raison de ne pas aimer les Juifs.

Comprenez-vous?

Bernard a écrit :
Merci beaucoup pour cette biographie, César.


De rien.

Citer :
Que sont devenus les soeurs de Hitler ?


Je vous dirais bientôt ça (je cherche encore une information). Pouvez-vous patienter un peu?

César


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Message Publié : 10 Fév 2004 17:56 
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Je comprends, cela dit quelque chose m'étonnes: je crois avoir lu quelque part sur ce forum même que précisément Hitler, malgré sa haine pour les Juifs, avaient permi à ce médecin de quitter l'Allemagne pour les efforts qu'il avait prodigué envers sa mère... Qu'en est-il?

Keikoz

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Message Publié : 10 Fév 2004 23:14 
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Inscription : 02 Sep 2002 17:09
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César a écrit :
Pouvez-vous patienter un peu?

Mais oui, bien sûr !

En ce qui concerne la haine des Juifs de Hitler, il faut se replonger dans le contexte de la crise de 29.
En effet, Hitler pouvait penser que la cause de la crise venait des "Juifs Américains, soutirant toute l'économie mondiale."
En les accusant de "voleurs," il gagnait les voix des chômeurs.
D'ailleurs, les chômeurs dûrent le remercier plus tard, car une fois le pouvoir acquis, Hitler leur fournit du travail en leur faisant construire des autoroutes ou fortifications, par exemple.


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Message Publié : 11 Fév 2004 0:14 
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Inscription : 21 Fév 2003 9:00
Message(s) : 687
Localisation : Paris
La crise de 29 peut expliquer l'ampleur prise par l'adhésion des Allemands au NSDAP, mais pas vraiment l'anti-sémitisme viscérale de Hitler, dès lors que ce thème est central dans sa "pensée" dès bien avant, me semble-t-il... Non?

Keikoz

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Message Publié : 11 Fév 2004 1:33 
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Inscription : 02 Sep 2002 17:09
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Localisation : Nancy
Quoi qu'il en soit, il utilisa la crise pour dénoncer les "Juifs Américains" et gagner des voix.
Cela renforça-donc sa cause.


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Message Publié : 11 Fév 2004 11:14 
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Inscription : 20 Juin 2003 22:56
Message(s) : 8172
Localisation : Provinces illyriennes
C'est un peu plus complexe que cela...
D'ailleurs, le sujet avait déjà été abordé :

http://www.passion-histoire.net/ ... c&start=30

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