En 1917, la révolution éclate en Russie, les bolcheviks de Lénine s'emparent du pouvoir . Comme souvent dans les révolutions, la guerre civile éclate, celle-ci se déroule entre les armées rouges formées par Trotski et les armées blanches anti-révolutionnaire . Après plusieurs mois de guerre civile, les russes blanc sont battu par les rouges . La Russie sera au donc au pouvoir des rouges , cependant Lénine ne veut pas s'arrêter là, selon lui la révolution rouge doit déferler sur l'Europe, il attaque d'abord la Finlande mais échoue devant la belle défense du général Finlandais Mannerheim ( victoire des Finlandais à Tempere en 1918), une offensive russe est alors dirigée sur les Pays Baltes en 1919, elle échoue également . Cependant Lénine ne dit pas son dernier mot, il réunit ses meilleurs troupes sous le commandement de ses meilleurs lieutenants et envisage de foncer sur la Pologne, l'écraser et ensuite proclamer la république soviétique polonaise, mais Lénine ne veut point s'arrêter là, à près tout Berlin ancienne capitale de la monarchie Prussienne et maintenant capitale de l'Allemagne vaincue, est bien sur toute proche de la Pologne, après une victoire sur la Pologne, pourquoi pas envahir une Allemagne battue, affaibli par le traite de Versailles, une Allemagne incapable de se défendre . Le plan de Lénine est ingénieux, si le communisme envahit la Pologne et l'Allemagne, c'est Paris qui peut être menacé, puis ensuite l'Italie ! La guerre est déclarée entre la Pologne et la Russie, nous sommes en 1920 .

Le destin de l'Europe va donc se jouer en Pologne, mais les généraux polonais ont-ils assez d'expérience pour combattre les russes ? A vrai dire pas vraiment . Cependant les polonais payent d'audace , l'armée Polonaise envahit l'Ukraine et remporte d'abord un petit succès sur une armée russe, s'ensuit la prise de Kiev, mais les russes ne tardent pas à contre-attaquer et repoussent les polonais jusqu'à la frontière Ukrainienne . Lénine sent que la victoire est proche, il rapporte : " La révolution mondiale passera sur le cadavre de la Pologne ! " Lénine est tellement sur de la victoire qu"il a déjà organisé le " futur gouvernement soviétique de Pologne et d"Allemagne ".

Du côté de l'état major Polonais, le doute s'est installé, les revers subis en Ukraine ne prévoit rien de bon . La Pologne décide alors de se tourner vers les vainqueurs de 14-18, les généraux Français . Foch, Pétain, Franchet d'Esperey, Joffre, Weygand sont, il est incontestable, les bourreaux de la Prusse Impériale, la France passe un peu pour la protectrice des petites nations . La France accepte d'aider les Polonais, il faut avant tout protéger l'Europe de l'invasion communiste . Une mission Française est donc organisée en Pologne, c'est Weygand qui est envoyé pour secourir l'Europe, nous allons voir que c'est bien le général Français, ancien chef d'état major du maréchal Foch, qui va mettre en place la stratégie qui va permettre d'écraser les armées russes de Lénine .

Le général russe Tchoukhatchevski, général intelligent et audacieux, fonce sur Varsovie, il pense notamment aux victoires du général Bonaparte en Italie et en Pologne, le général russe rêve de recommencer l'aventure et de libérer l'Europe du capitalisme . La bataille de Varsovie ( appelée également le miracle de la Vistule), se déroule sur un front immense de 350 km . Quatre armée rouge affrontent cinq armées Polonaises ( beaucoup moins bien équipées) . Du côté Polonais, tout le monde s'affole, malgré la présence de Weygand, tout les politiciens voient déjà les soviets défiler sur la capitale . Weygand se contrefiche de ses " looseurs ", calmement, il organise le plan d'attaque qui va permettre de repousser les russes, en réalité c'est le général polonais Pilsudki qui commande, mais il a été reconnu que le plan stratégique a bien été formé par le général Français . C'est alors que le 6 août un plan de bataille est arrêté sur les conseils pressants du général Weygand qui en laisse habilement le bénéfice au maréchal polonais, mais veille étroitement à son exécution . Weygand a connaissance du mouvement des armées rouges du front sud en direction de Lvov . Il comprend qu'il n'a provisoirement rien à redouter de ce côté . Il peut donc démunir le sud pour se constituer une réserve de contre-attaque . C'est sa première intuition remarquable .

Weygand voit également que la contre offensive doit être amarrée solidement sur la défense de Varsovie, ce que l'on appellera en terme imagé le " camp retranché " de Varsovie . Tâche écrasante à laquelle il apportera toute sa science de la défense, aidé et relayé par les officiers français qui veilleront à l'efficacité de l'artillerie et à l'organisation des plans de feu, n'hésitant pas à prendre directement les choses en main . L'idée de ce " camp retranché " sera la deuxième forte intuition de Weygand .

Appuyée sur cette réserve et sur cette résistance, la contre offensive Polonaise comprend deux opérations . La première incombe au " camp retranché de Varsovie " qui fixera le général russe . Elle est confiée au général Polonais Sikorski et à sa 5eme armée .

La seconde, dite de rupture, sera menée par les réserves constituées de sept divisions d'infanterie et une brigade de cavalerie . Ce groupement d'attaque, commandé en personne par le maréchal Pilsudski, s'élancera droit au nord pour tomber sur le flanc dégarni du général russe .

Le rôle des conseillers militaire Français pour la mise en oeuvre pratique de ces opérations est essentiel . " A Raszymin, les 14 et 15 août, à Nowo-Minsk, le 17, des officiers Français, en gants blancs, la cravache à la main, marchaient avec les premières lignes polonaises afin d'exalter le moral des troupes "

Dès le 15 août, les résultat commencent à se faire sentir . Bénéficiant d'une surprise totale, la contre-offensive décisive enfonce la gauche des russes affaiblie de Toukhatchevski, le contraignant à une retraite qui se transforme bientôt en déroute . Les Polonais n'ont pas à redouter une intervention du général russe Boudienny, qui, malgré les ordres reçues, cherche un succès personnel pour le compte de Staline à Lvov .

Dans leur défaite, les russes abandonnent 66 000 prisonniers, 231 canons, plus de 1000 mitrailleuses . Toute la 4eme armée soviétique est détruite et ses débris se réfugient en Prusse-Orientale sous la protection allemande . Des 22 divisions soviétiques, il n'en échappe que 12, momentanément hors de combattre en raison des pertes subies . Ces résultats spectaculaire rappellent un peu les résultats que les généraux Français ( Foch, Pétain, Mangin, Degoutte) à la tête des poilus, avaient obtenu par la seconde victoire de la Marne ( 100 000 allemands prisonniers, 500 canons et 3300 mitrailleuses allemandes capturées) en 1918 .

En douze jours, le général russe Toukhanatcheski venait de perdre tout le bénéfice de sa victoire en Ukraine . Il est contraint de céder tout le terrain conquis, en abandonant un très grand nombre d'hommes et une grande qualité de matériel de guerre . Son front culbuté, il doit fuir avec ses troupes débandées pour chercher refuge de l'autre côté du Niémen et du Bourg . Tous les plans de conquête du gouvernement soviétique se sont effondrés . Lénine se voit contraint de proposer la paix qui établira des frontières communes favorables jusqu'à la revanche de 1939 obtenue grâce au pacte germano-soviétique .

Au cours de cette guerre, les Polonais se sont battus tout seuls contre l'armée rouge ( hormis l'aide des conseillers militaires Français et du matériel débarqué à Dantzig) et ils ont vaincu, démontrant par le jugement des armes leur droit à l'existence et imposant des frontières que jamais les soviets ne leur auraient concédées sans y être contraints .

Tout le plan de la bataille fut conçu par le général Français Weygand, le rôle déterminant de celui-ci à été clairement établi par l'étude des archives du service historique de l'armée, dont les concluions ont été présentées par les colonels Le Goyet et Constantini lors du colloque sur la guerre Polono-Soviétique en 1973 .

En écrasant les russes, Weygand a tout simplement enrayé l'invasion russe en Europe centrale, en cas de défaite, les russes auraient donc défiler sur Varsovie, puis sur Berlin ( armée allemande affaiblie par le traité de Versailles en 1919, incapable de se défendre), puis la révolution aurai bien gagné toute l'Europe de l'Ouest, en ce qui concerne la France, celle-ci possédant encore la meilleure armée du monde ( chars Renault, aviations, soldats expérimentés par la guerre de 14-18 ), elle aurait fini par triompher .

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Bien qu’on ait du cœur à l’ouvrage, l’Art est long et le Temps est court.

Charles Baudelaire

Sans vouloir diminuer le mérite de Weygand, ni celui des Polonais, d'ailleurs, il faut dire que les troupes soviétiques étaient composées d'un "ramassis" de valeur inégale. La victoire de Varsovie, la contre-attaque de Piduski, tout cela a été décisif, reconnaissons-le.

Mais, en cas de défaite, je doute que les Russes aient pu pénéter très loin en Allemagne. Voir les combats des corps-francs en Courlande et le conflit bref entre les Polonais et les Allemands à propos de la Silésie.

L'armée allemande avait encore de beaux restes et elle se serait reconstituée instantanément pour s'opposer aux Russes. cela dit, la victoire de Weygand nous a évité de devoir composer avec les Allemands!

Succès sans lendemain, puisque quelques années plus tard, la France s'inclinera purement et simplement devant les arbitrages assez scandaleux des Américains et des Anglais en faveur de l'Allemagne...

Il ne faut pas oublier que le courant communiste était trés fort en Allemagne à cette époque et que les Russes auraeint pu entrainer une Révolution Bolchevique Allemande ! L'invasion serait devenu "libération" et cela aurait pu mettre le feu à l'Europe !
Il est interressant de noter que les Russes arriveront à leur fin aprés la seconde guerre mondiale ( annexion de la Pologne et d'une partie de l'Allemagne) !

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

Cela est sur, la revolution russe de 1917 se rependit comme une tache d'huile sur toute l'europe.

Les spartakistes en ont profité pour installer des gouvernement provisoire à Munich

Un des officiers de cette mission française était le commandant de Gaulle.


... que de Gaulle connaissait aussi : le capitaine de Gaulle et le lieutenant Tchoukhatchevski (il n'était alors que lieutenant...) avaient fait connaissance 3 ans plus tôt en Allemagne, au fort d'Ingolstadt, où ils étaient emprisonnés.

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Je me permet de douter de l'action de Weygand qui ne parlant pas un mot de polonais arrive comme un cheveux sur la soupe et gagne tel deus ex machina la bataille.
Le profit de cette bataille est a mettre au profit de Pilsudski.
Il organise le repli de ses divisions dans le style de la marne et constitue une masse de maneuvre, le plan adopté existait déjà lors des combats de 1830-31.
Le crédit des français
-Nomination de Haller et Sikorski.
-Installation du camp retranché de Radzymin.
-Amélioration dans le transmition des ordres.
-Aide matériel importante.

La bataille a été crédité à Weygand dans un but politique car le favori des français étatit Dmowski, et en otant le crédit de laa victoire à Pilsudski on l'affaiblissait politiquement.

De plus les rouges étaient a bout de course, et n'aurait pas pu égratigner les allemands avec qui ils avaient d'ailleurs déjà passé des accords.

Les français en gants blanc c'est du grand guignol d'Epinal

Il est cependant triste que la Pologne et la France n'aient pas continué sur leur lancée.
Le général Wrangel (Russes Blancs) souhaitait une alliance militaire pour une action concertée contre les bolchevics. Il ne fut pas suivi.

Les polonais repoussent les soviétiques jusqu'aux limites ethnographiques polonaises, et essaient de se réaproprier leur frontière originale d'avant le partage de 1772.
Eux aussi sont a bout de course, et se sont éloigner dangeureusement de leurs centres de ravitaillements, les effectifs engagées sont faibles (non pas faute d'hommes mais faute d'équipement), et les espaces sont si immenses que celui qui se positionne sur une position fixe peut à tout moment être débordé sur les flancs et être obligé de retraiter jusqu'au fleuv suivant. De plus les bolchéviques se réorganisent et reconcentrent de nouvelles troupes, ils leur faut finir les blancs avant de se reconcentrer sur la Pologne.
Les français n'apportent aucune aide supplémentaire à la Pologne. Les russes blancs ne reconaissent pas l'existence de la Pologne et veulent la réduire après avoir battu les bolchéviques, alors pourquoi les polonais les aideraient ils.
La défaite soviétique, oblige le pouvoir bolchévique à faire le socialisme dans un seul pays et a concevoir une industrie militaire pour se défendre contre tout le monde. Les théories racistes allemandes ont pour objet de d'anéantir les juifs puis les sous hommes dont les polonais. Sans le formidable outil militaire soviétique de 1941-45, les polonais auraient pu disparaitre. Leur victoire de 1920 les a sauvé doublement.

Je suis tout à fait d'accord que les lauriers de la victoire revienne à Pilsudski, ce grand chef d'état Polonais. Le Miracle de la Vistule aux portes de Varsovie à sauvé l'Europe de l'ouest du déferlement Communiste et de l'Armée Rouge. L'Armée Polonaise s'est très bien battu pour une nouvelle Armée constitué par un pays qui est revenu indépendant après la Première Guerre Mondiale.

Des lignes polonaises de défense ont été créées avant les ponts de Varsovie. Les Bolchéviques ont commencé l'assaut de Varsovie le 13 août. Ils ont rompu les fortifications dans les régions de Kraszew et Wiktorów. Le soir ils ont conquis Radzymin. Pendant les deux jours suivants, des luttes sanglantes se sont emparées de la ville. Elle passait quatre fois de mains en mains. Le 14 août de lourds combats se sont déroulés à l'assaut d'Ossów, où est mort l'aumônier héroïque de la Légion Académique, le prêtre commandant Ignacy Skorupka et de Wólka Radzymińska, où fut tué le capitaine Stefan Pogonowski. La percée dans la deuxième ligne de défense polonaise dans la région de Wólka Radzymińska était le moment le plus tragique de la bataille. Les armées Bolchéviques se sont trouvées à peine à 15 kilomètres de Varsovie. Finalement la conquête de Radzymin au soir le 15 août, et la contre-attaque côté de Wieprz a permis la victoire Polonaise.




Salutations

Attention le fait d'utiliser le terme miracle de la Vistule est une attaque contre Pilsudski, car celui ci l'appelle la bataille de Varsovie, le fait de faire réference à un miracle tend à dire que la victoire est due à la divine providence et non pas à la tactique de Joseph Pilsudski.

Dans les contributeurs à cette victoire, il ne faut pas oublier non plus, le général Sikorski qui sous les ordres de Haller empêche les rouges de finaliser leur mouvement tournant et de prendre la capitale à revers. Bataille de la 5ème armée sous Modlin et le Wkra.

Citons au passage que la tactique de cavalerie des rouges fut principalement à l'origine des percées réalisées et de la retraite rapide des polonais, au sud Boudienny et la Konarmia et au nord Gay-Kahn.

On peut à mon avis comparer cette bataille et celle de la Marne, défense elastique, retraite en replaçant ses unités, arret sur une position, contre attaque et mouvement d'aile, Pilsudski avait étudié la bataille de la marne du cotée allemand et du coté français.

C'est sans doute anecdotique, et à n'en pas douter ça n'apporte rien à la discussion, mais je tiens néanmoins à vous apprendre que mon grand-père s'engagea, à l'âge de 20 ans, dans l'armée de Pilsudski face à la menace bolchevique. Je ne l'ai appris que récemment. Je connaissais surtout la suite de son histoire.
En 1939, déjà âgé, il s'engagea à nouveau dans l'armée polonaise. Avec la victoire allemande, il fut transféré sur le front français (le gouvernement polonais s'installant à Angers). Fait prisonnier pendant la Campagne de France, il parvint à s'évader par la Suisse, traversa avec son groupe les Balkans, et entra en contact avec les Britanniques (je ne sais pas à quel moment exactement). Il devint alors sergent instructeur en Angleterre.
A la fin de la guerre, sa fidélité au gouvernement polonais en exil à Londres fit de lui un indésirable aux yeux des communistes. Il s'installa alors en France ; mon père y naquit en 1951...
J'espère un jour en savoir plus sur l'histoire de mon grand-père (mort en 1977, et que je n'ai donc jamais connu) : où combattit-il pendant la campagne de France ? Quand s'évada-t-il ? Comment rentra-t-il en contact avec les Britanniques ? En soi, elle est comparable à des milliers d'autres, mais je comprends mieux en l'approchant ce qu'entendent certains quand ils parlent d'une histoire "charnelle".

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Ad augusta per angusta
"Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être..." Goethe

Je désirerais faire une modification d'importance au premier message lancé par C. Douville : dans la guerre soviéto-polonaise de 1920, c'est le gouvernement de la Pologne qui, venant de recouvrer son indépendance, ouvrit les hostilités dans le but de reconquérir l'Ukraine occidentale et l'ouest de la Biélorussie, que les Polonais considéraient comme faisant partie de leur"héritage historique", bien que du point de vue ethnique, aucune de ces deux régions ne fût polonaise.
Les troupes soviétiques se trouvaient au début du conflit dans une situation apparemment désespérée, puis ensuite cette guerre fut fertile en revirements spectaculaires.
Vlad

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"Adieu la vie, adieu l'amour,
Adieu à toutes les femmes...."
Extrait de "La Chanson de Craonne"

Tout à fait d'accord, s'il y à eut miracle sur la Vistlue, cela n'est dû qu'à l'irresponsabilité des généraux bolcheviques ( d'ailleurs Toutachevski perira lors des purges staliniennes des années 30 ).
Si un général de la trempe de Joukouv avait été là....( il était déjà officier) je crains que de miracle sur la Vistule, ont ai eut une ruée russe de la Vistule.
Quand aux allemands je partage l'opinion de ceux qui pensent que l'armée impériale aurait fait le poids devant une éventuel invasion rouge de l'allemagne.
C'est plus la Pologne qui aurait souffert que l'allemagne si les Bolchéviques avaient gagner à Varsovie.

Disons que toukhatchevski a été freiné un moment par Staline qui désirait un succès sur Lemberg (Lvov) je crois.
Ce maréchal obtint par la suite une très grande popularité et Staline voyait en lui un rival potentiel, aussi le fit-il liquider, comme Kirov par exemple, entre autres.
Vlad

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"Adieu la vie, adieu l'amour,
Adieu à toutes les femmes...."
Extrait de "La Chanson de Craonne"

Historiquement, ces régions avaient été polonaises. En ce qui concerne l'Ukraine occidentale et l'ouest de la Biélorussie, il y avait encore une forte minorité polonaise... Majoritaires à mesure que l'on se rapprochait de la fameuse ligne Curzon !