Pilsudski a écrit :
Je me permet de douter de l'action de Weygand qui ne parlant pas un mot de polonais arrive comme un cheveux sur la soupe et gagne tel deus ex machina la bataille.
Le profit de cette bataille est a mettre au profit de Pilsudski.
Il organise le repli de ses divisions dans le style de la marne et constitue une masse de maneuvre, le plan adopté existait déjà lors des combats de 1830-31.
Le crédit des français
-Nomination de Haller et Sikorski.
-Installation du camp retranché de Radzymin.
-Amélioration dans le transmition des ordres.
-Aide matériel importante.
La bataille a été crédité à Weygand dans un but politique car le favori des français étatit Dmowski, et en otant le crédit de laa victoire à Pilsudski on l'affaiblissait politiquement.
De plus les rouges étaient a bout de course, et n'aurait pas pu égratigner les allemands avec qui ils avaient d'ailleurs déjà passé des accords.
Les français en gants blanc c'est du grand guignol d'Epinal
Je ne suis pas loin de penser comme vous, je vois mal un génial officier d'état major Français arriver à Varsovie et reprendre en main une armée au bord de la déroute pour gagner des victoires "Napoléoniennes" quasiemment miraculeuses , cela fait un peu trop piéce de théatre de mauvaise qualité. D'autre part les Polonais sont loin d'être de joyeux amateurs. Même si la renaissance de la Pologne date de 1918 des Polonais de souche avaient fait carriére dans diverses armées et non des moindres:
Armée Austro hongroise
Armée Impériale Russe
Armée Impériale Allemande
Armée Haller, Formée de Polonais ralliés aux alliés.
Une partie du materiel provenait des dépots des anciennes armées Autrichiennes et Allemandes, même s'il fut renforcé par des apports venant de France.
Il suffit aussi d'étudier l'histoire militaire polonaise pour voir que la determination des Polonais n'est pas une légende, même si hélas parfois ils ont dû céder sous le nombre.
Il faut aussi se rappeler de l'histoire méconnue des combats de Silésie avec les corps francs allemands qui fut loin d'être une partie de plaisir pour les deux cotés.