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 Sujet du message : La phalange espagnole
Message Publié : 09 Déc 2005 23:28 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 09 Déc 2005 23:18
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Bonsoir a toutes et a tous.
Je recherche des informations concernant la phalange espagnole, notamment ses orientations sociales et economiques.
Merci a tous.


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Message Publié : 10 Déc 2005 21:42 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Inscription : 29 Juin 2004 23:25
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La phalange a été fondé par José Antonio Primo de Rivera, qui fut par la suite lâchement assassiné par les républicains.


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Message Publié : 10 Déc 2005 22:41 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 09 Déc 2005 23:18
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Franco se situant plus dans un modele conservateur,je voudrais savoir le cas de la phalange espagnol,surtout si celle ci est faciste,elle se situera a la gauche de Franco?


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Message Publié : 12 Déc 2005 15:09 
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Salluste
Salluste

Inscription : 29 Août 2005 16:18
Message(s) : 214
La Phalange était une organisation fasciste à l'inspiration du modèle Italien mais avec des spécificités Espagnoles.

Quand à la situer "à gauche" de Franco ... ca n'est pas évident .. plus "moderniste" comme l'étaient tous les partis fascistes à cette époque... certes ...

plus "sociale" peut être aussi dans la mesure ou Franco gérait une synthèse entre une Eglise et des mouvements Carlistes plus ancrés dans la paysannerie et une Phalange plus ancrée dans la population urbaine ... sans oublier l'Armée ...

on peut voir 3 phalanges :

- jusqu'à la mort de Primo : un parti fasciste naissant (0.7 % des voix aux élections avant la guerre civile)
- de cette mort à la fin de la guerre civile : un des partis du camp nationaliste .. sans chef prestigieux, ..étroitement tenu a l'oeil par Franco
- après la guerre civile : Via un véritable culte rendu a Primo, une fusion de la Phalange avec les partis Carlistes, la Phalange est vidée de son essence et devient un parti au service du gouvernement (alors qu'en en bonne logique totalitaire, ce dut être l inverse)


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Message Publié : 12 Déc 2005 19:11 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Inscription : 20 Mai 2003 15:53
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Localisation : N France / Paris / Seine
Personellement, je la vois plutôt a la droite de Franco :
- d'abord, on oublie qu'il y restait de la place : Franco n'est ni Hitler ni même Mussolini.
- ensuite : son principe théorique voyait une tres large prise en charge de l'individu dans des structures collectives : beaucoup plus proche de nazisme donc que de franquisme tel qu'il s'est appliqué. Pour moi : un bon surnom (je ne l'ai pas inventé : c'est courrant) c'est "national-syndicalisme" ...
bon, tout ceci est assez personnel ...

_________________
"Le droit du Prince nait du besoin du peuple." (Pierre BOUTANG)


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Message Publié : 14 Déc 2005 0:08 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Inscription : 03 Oct 2003 9:22
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Localisation : Toulouse
La Phalange se distingue en même temps par son opposition au libéralisme (et sera à ce titre combattu par les partis conservateurs de Droite avant 1936) mais également au matérialisme. Elle intègre aussi dans son programme une volonté de réforme agraire ("la terre à celui qui la travaille") que ne renierait pas certains partis de gauche... Bref un programme social assez progressiste également avec nationalisation des banques, valorisation des syndicats...

Il y a ensuite la philosophie d'inspiration Chrétienne avec une rhétorique martiale et nationale.

Il est interessant de noter qu'une fraction non négligeable de ses membres et cadres provenaient de formations anarchistes tels le CNT voire du PCE. Par contre sa direction sera proprement décapitée dès les premiers mois de la Guerre Civile (mort des 2/3 des membres du Conseil National et le remplacant de José Antonio sera condamné à mort en 1937 puis gracié par Franco !). Ce dernier récupérera une coquille" vidée de sa substance originelle et appliquera sa propre politique beaucoup plus conservatrice.

Amicalement
Crillon

_________________
"Vingo, vinco ... e riparti !"
Gabrielle d'Annunzio, en 1920, non loin de Fiume...


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Message Publié : 17 Mars 2006 19:23 
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Hérodote
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Inscription : 08 Mars 2006 18:00
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Localisation : Bruxelles (Belgique)
C’est vraiment surprenant qu’un forum d’histoire en langue française consacre une discussion a ce sujet de la Phalange de Jose Antonio, thème tabou s’il en est, même en Espagne ces derniers décennies. Joe Antonio il est certainement suffisamment connu du grand publique même hors de l’Espagne…ou du moins ce que l’on pensait car il ya une dizaine d’années furent publiés se papiers posthumes qui allaient donner naissance a une polémique autour d’un des écris alors divulgués faisant de ravages depuis même parmi ses plus ardents partisans. C’était son essai « Espagne, Germains contre Berbères » (« España germanos contra bereberes ») rédigé dans la prison d’Alicante en pleine guerre civile –Aout1936- quelques semaines donc à peine avant sa mort. Et il m’a semblé que les participants francophones de ces forums avaient tout l’intérêt à en faire connaissance. « Espagne: germains contre berbères » affiche déjà la couleur de par son tire, et sa clarté aveuglante. La guerre civile espagnole dans l’optique qui est celle de Jose Antonio dans celui que peut être considéré l’un des plus tardifs et à la fois peut-être le plus crucial de ses écrits, n’aurait été en effet que l’aboutissement d’un longue procès de décomposition de la nationalité espagnole sur la corde raide pour ainsi dire d’un danger permanent de dissolution ou décomposition pendant des siècles, et de par la faute d’une dichotomie foncière remontant aux origines de l’Histoire même d’Espagne, à savoir ce mélange originaire dont le peuple espagnol serait issu, d’un substrat aborigène, culturellement hispano romain, de racines ethniques ou ethnographiques majeure ment berbères et de l’autre coté une minorité germanique (les Visigoths) a qui Jose Antonio attribue un rôle historique créateur et dirigeante tout au long des siècles allant cristalliser dans les trois grandes entreprises historiques don l’Espagne aura été protagoniste première : la Reconquista (contre l’invasion arabe de l’Espagne) la Découverte et la Conquête du Nouveau Monde (l’Amérique espagnole) et la Contreforme théologique (et militaire) pendant les guerres de religion et dans les champs de bataille de l’Europe.

Et il m’a semblé en effet que cette formulation devrait lasser rêveur pour ne pas dire pantois à plus d’un français amateur d’Histoire ou simplement soucieux des devoir les plus élémentaires de mémoire pour ce qui est des origines historiques aussi bien des français comme des espagnols (ou vice-versa). Car l’essai de Jose Antonio -littérairement un bijou il faut bien le dire- rappelle de par trop le traité sur l’inégalité des races de Gobineau –si famigéré- et sa thèse sur la Révolution française comme quoi celle-ci n’aura été que le point de rupture d’une alliance historique millénaire entre les francs germains et la population gallo-romaine aborigène qui seule aurait permis la formation delà nation française jusqu’à la Révolution bien sur.

En Espagne néanmoins soixante ans après la fin de la guerre civile espagnole et malgré les prévisions pessimistes de Jose Antonio tel qu’il s’exprimait dans les derniers paharagraphes de son écrit cette alliance millénaire aura tenu et la fusion ou si l’on préfère le métissage aura survécu tous les dangers et menaces de dissolution dont la plus récente et la plus grave fut sans doute –dans cela Jose Antonio avait certainement tout a fait raison- l’éclosion si sanglante et meurtrière de la guerre civile espagnole. La polémique fait rage depuis c’est vrai mais au-delà de ses points ou de ses formulations les plus discutables et les plus discutés je crois que cet écrit de Jose Antonio se revêt d’une passionnante actualité les jours qui courent depuis les attentas du 11 Septembre….

Un chant poignant malgré ses tons plaintifs et ses prévisions pessimistes- a la vocation européenne de l’Espagne : ainsi je vois ce texte posthume de Jose Antonio Primo de Rivera signe de son sang a peine quelques semaine plus tard à peine. Sa conclusion chargé de dramatisme et d’intentionnalité prophétique ne cesse de résonner dans mes oreilles en tout cas depuis que j’appris son existence et son contenu il y une dizaine d’années et après de longues années de séjour déjà « en Europe » comme disent les Espagnols (je veux dire au-delà des Pyrénées).

Après avoir tracé façon géniale les lignes maîtresses de l’influence germano/gothique dans l’histoire espagnole et le poids de la dichotomie germano/berbère depuis le règne des Visigoths, mais surtout depuis la Révolution française tout au long du dix neuvième siècle et début du vingtième et au fil droit de son analyse l’analyse du conflit latent qui allait éclore ou faire explosion dans la guerre civil Jose Antonio se demande ce qui va se passer alors que l’Espagne et les Espagnols s’enfonçaient déjà depuis dans la guerre sans retour et dans l’affrontement fratricide: »Peut-être –dit il- Espagne va éclater en mille morceaux, de part et d’autre d’une nouvelle ligne frontalière qui dessinera à l’intérieur de la péninsule les vrais limites de l’Afrique. Peut-être l’Espagne va-t-elle s’africaniser à part entière. Il ne laisse pas de doute en tout cas que pour longtemps elle ne comptera plus en Europe. Et alors, nous qui pour une question de solidarité culturelle et même par une mystérieuse voix du sang nos sentons attachés au destin d’Europe, pourrons-nous «échanger notre patriotisme de souche (de estirpe) qui aime cette terre parce que nos ancêtres l’avaient gagné à eux pour lui donner de la forme, par un patriotisme du terroir (telurico) qui aime cette terre en tant que telle même si dans ces con confins se soit tû jusqu’au dernier écho du destin des nôtres, de nos ancêtres ? »

Voilà le morceau, chers amis français : le débat me semble ouvert et sur l’Histoire de l’Espagne (et de sa guerre civile) et sur le destin de l’Europe….

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Compagne fidèle que la Mémoire!


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 Sujet du message : C'est étonnant
Message Publié : 19 Mars 2006 12:36 
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Jean Froissart
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Localisation : Galaxie d'Andromède, Système solaire Zeta
Les Wiqisigoths et les Suèves qui sont venus en Espagne n'étaient qu'une infime minorité de quelques dizaines de milliers de personnes dans un pays peuplé de plusieurs millions d'habitants.
Ils ont du se méler aux populations locales (maraiges) et dans la partie occupée par les Arabes ont se demande comment ils ont maintenues.
Observe t-on dans les vieilles classes aristocratiques espagnoles des noms d'ascendance germanique ?

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"L'histoire me sera favorable car j'ai l'intention de l'écrire". Winston Churchill.


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 Sujet du message : Re: C'est étonnant
Message Publié : 19 Mars 2006 19:27 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 10 Fév 2006 8:59
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Romeo a écrit :
Les Wiqisigoths et les Suèves qui sont venus en Espagne n'étaient qu'une infime minorité de quelques dizaines de milliers de personnes dans un pays peuplé de plusieurs millions d'habitants.
Ils ont du se méler aux populations locales (maraiges) et dans la partie occupée par les Arabes ont se demande comment ils ont maintenues.
Observe t-on dans les vieilles classes aristocratiques espagnoles des noms d'ascendance germanique ?

Les Arabes étaient déjà-là ? Quand les Wisigoths, et les Suèves sont arrivés en Espagne au V siècle.


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 Sujet du message : Ouh là !
Message Publié : 19 Mars 2006 20:50 
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Jean Froissart
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Inscription : 28 Nov 2005 23:03
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Localisation : Galaxie d'Andromède, Système solaire Zeta
Désolé pour l'orthographe, (la fatigue).
Oui vous avez raison, les arabes sont arrivées en 711 bien après Wisigoths et Suèves.
Mais on se demande comment pendant des siècles l'élément germanique n'a pas été disolu dans l'immensité de l'Espagne.

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"L'histoire me sera favorable car j'ai l'intention de l'écrire". Winston Churchill.


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Message Publié : 21 Mars 2006 11:03 
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Hérodote
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Inscription : 08 Mars 2006 18:00
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Localisation : Bruxelles (Belgique)
Que les Visigoths fussent une minorité n’est un secret pour personne. Pas si infime quand même : des historiens avancent aujourd’hui des chiffres allant jusqu'à quatre cent mille, ce à quoi il faudrait ajouter d’autres composants comme les Suèves qui finirent par être assimilé dans le royaume de Tolède. De toute façon ce qui est irréfutable ce qu’ils formèrent dès le début la minorité dirigeante de la Monarchie espagnole des origines. Comme quelqu’un a dit, les Visigoths (los Godos) sont pour l’Espagne « del Siglo de Oro » ce que la Rome d’Auguste avait été pour la Renaissance italienne, et j’ajouterai volontiers ce que Jeanne d’Arc fut pour le royaume de France. L’intervenant ci-dessus soutient que l’élément visigot finit par être absorbé ou fusionné. Jose Antonio prétend le contraire, même au sens biologique ou sanguin du terme. Se trompa-t-il ? La chose est certainement discutable et les historiens en décans et en dehors ne se sont mis jusqu’ici entièrement d’accord. (Maurras, nationaliste français et antiallemand n’avait-il défini l’Espagne « cul de sac germanique en Europe» après sa visite en zone franquiste pendant la guerre civile ?…)

Que les lignes centrales de l’essai « Espagne : Germains contre berbères » (España : germanos contra bereberes ) de Jose Antonio Primo de Rivera ne manquaient pas d’éléments de crédibilité ou dans d’autres termes que la thèse germaniste décèle un fond de vérité par rapport à l’histoire de l’Espagne tel qu’il la défend je n’oserais pas le nier de toute façon ni m’inscrire en faux en quoi que ce soit contre lui et il me semble que sa mort tragique ne l’aura rendu que davantage crédible quel que soit le jugement ou l’analyse que chacun puisse faire de la guerre civile espagnole. Elle en aura fournis un puissant argument « a contrario » a mon avis face aux thèses « fusionnistes » telles que celle qui est ci-dessus défendue. Car la cible de la gauche belligérante telle qu’exprimée dans ses formulations historiques et idéologiques les plus emblématiques et représentatifs, a travers surtout de la propagande de guerre de la faction rouge/républicain pendant la guerre civile, était somme toute une caste (sic) dirigeante -ou si l’on préfère sa caricature- incarnée dans les vieilles institutions abhorrées, la Monarchie, l’Eglise, l’aristocratie (et l’Armée) dont les racines ne s’engouffraient pas moins dans la nuit des temps.

Un autre argument puissant dans ce sens le fournit sans aucun doute le polémique qui enflamme a l’heure actuelle la société espagnole se positionnant à toute hâte dans son entier autour du grand débat sur la guerre civile qui aura éclaté enfin au grand jour après des décennies de amnésie collective (de part et d’autre), comme quoi la guerre civile espagnole n’aura été une guerre civile comme toutes les autres, ou du moins pas seulement une guerre de fond ou nature idéologique –de la droite contre la gauche- comme on se plait encore la présenter, notamment en pays de francophonie.

Jose Antonio se laisse aller jusqu’a dire « qu‘en Espagne il y a deux peuples » et l’affirmation me le niera-t-il mon interlocuteur, est on ne peut plus lourde de sens…Préfiguration la guerre civile espagnole de « la guerre ethnique » tel qu’elle aura fait éclosion dans les Balkans cela fait une décennie? Les actuelles exacerbations séparatiste linguistique notamment en Catalogne et l’spectre (de balkanisation) qu’inévitablement l’accompagnent semblent donner raison hélas aux prophètes de calamités (comme le brave/papa/Jean –celui du concile Vatican deux- les appelait, dans un sens on ne pet plus belligérant et péjoratif) Cassandra par la voix d’un héro (assassiné) de la guerre civile espagnole? La chose hélas est tout sauf impensable aujourd’hui. Vents de guerre –de guerre civile, d’affrontement fratricide- dans l’Espagne de Jose Luis Zapatero, qui veut venger (à tout prix) son grand père militaire républicain exécuté au début de la guerre civile…

.Les Visigoths font partie certes de la Légende doré des espagnols mais comme quelqu’un aura dit aussi la légende n’est qu’une des formes (les plus hautes) de légitimité historique : Don Pelayo –premier monarque chrétien de la Reconquista- comme le rappelle Jose Antonio dans son essai- fut « hisse sur le pavois » (« alzado en triunfo sobre el paves ») dans la plus pure tradition des « Mannerbunde » des vieux Germains, et la chose sera restée ancrée -même en langue française- dans la Mémoire collective….

Amitiés sincères


ADDENDA. Si des noms germaniques figurent parmi ceux des membres de la Noblesse espagnole, n’en faisant partie je ne saurais pas le dire. Par la filière Habsbourg certainement. Mais la nomenclature germanique ou allemande n’aura pas manqué –de plus ou moins vieille souche- au sein de la société espagnole dans son entier. Mon nom de Krohn pour être franc –plusieurs générations déjà en Espagne depuis le dix neuvième siècle- ne commença me peser un peu lourd si l’on peut parler ainsi qu’à peine dans mes années d’univ, au tour de mai 68, et dans certains milieux politisés seulement…Auparavant, jamais de la vie, c’est vrai…

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