N'était ce pas pendant l'encerclement de la poche de falaise? Mais impossible de me souvenir du lieu...

C'est un petit village entouré de champs et de bois

Chambois !

la main à Théodare, bien sûr.

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Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu. (Chamfort)

Bravo Théodare

Je n'ai pas beaucoup d'idée sur le moment mais je vous propose ceci:

Quelle est la signification de cette caricature?



Et de celle ci au message relativement proche...?

2 personnages : Hitler, c'est évident. L'autre : Hidenburg ?

La seconde image ne serait-elle pas une allusion à la limitation des armements concernant l'armée allemande depuis le traité de Versailles ?
Le conducteur de la voiture de Hitler semble être Himmler.

La seconde image me semble faire allusion aux simulacres qu'utilisait la Reichswehr pour imiter des armes interdites par le traité de Versailles.

Dans la première image, serait ce Goering (visage sur le piano ) qui serait le vrai chef de l Etat alors que Hitler ne serait qu'un pianiste bouffon ?

Hindenburg? Non absolument pas.

Non, ici ce n'est pas vraiment un simulacre, même si il y a de la parodie dans l'air. C'est plus tardif.

Il ne s'agit pas de Goering mais vous vous rapprochez ...
Regardez bien certains détails du piano, cela pourrait vous donner un indice sur le type de musique que Hitler joue...

Himmler oui, mais pas de rapport avec le traitée de Versailles, c'est beaucoup plus tardif. Que semble être en train de faire cette armée...?

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Serait-ce le visage de Mussolini sur le piano ?
Après la balade d'Adolf en Italie, le temps est à mettre son orgueil dans sa poche mais, de retour : attention, on va mettre les bouchées doubles pour montrer que l'on peut égaler et puis dépasser ?
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Je dirais que Hitler n'a absolument aucune connaissance militaire. Il pianote au hasard sur le piano des ses unités (les médailles), et mobilise n'importe comment une armée qui n'a ni queue ni tête.

Bon, je n'y crois pas trop, car le moins que l'on puisse dire, c'est que malgré la pensée chaotique de Hitler, l'armée allemande est indubitablement organisée.
Mais dans le cadre d'une propagande, peut-être?

Une caricature de la Blitzkrieg ? mais je ne vois pas d'avions...pour le piano, le rythme que suppose la Blitzkrieg en URSS (Barbatossa)

Hitler et Himmler là ,il ya pas de doute, pour le visage sur le pinao un Maréchal soviétique (je reste dans ma ligne d'idée) ?

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«Κρέσσον πάντα θαρσέοντα ἥμισυ τῶν δεινῶν πάσκειν μᾶλλον ἢ πᾶν χρῆμα προδειμαίνοντα μηδαμὰ μηδὲν ποιέειν»
Xerxès, in Hérodote,

«L'Empereur n'avait pas à redouter qu'on ignorât qu'il régnait, il tenait plus encore à ce qu'on sût qu'il gouvernait[...].»
Émile Ollivier, l'Empire libéral.

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Dans ce cas (le piano représente un maréchal russe), un Hitler qui n'arrive plus à embrasser le clavier -trop grand- et qui joue au hasard en s'épuisant.
Pour l'autre image on dirait une armée de bric et de broc mais les co-voitureurs traversent sans montrer un once d'étonnement, comme s'ils étaient là encore complètement à "côté".
La musique pourrait être "Le Crépuscule des Dieux".
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Mussolini, oui! La "ballade" n'a pas lieu en Italie mais on se rapproche...

Ce ne sont pas des médailles mais il s'agit bien de croix à la place des touches du piano; Et dans quel lieu peut on voir autant de croix...?
Il y a au moins un moment où, au yeux des français, la wehrmacht a pu sembler moins pompeuse que d'ordinaire... mais quand?

Une caricature inverse de la blitzkrieg plutôt. N'oublions pas que la majeure partie de l'armée allemande est toujours restée doté de chevaux ou de véhicules de capture, voir même de vélos réquisitionné en cas de... en cas de quoi d'ailleur...

le défilé cocasse, avec Himmler pour chauffeur et une cavalcade anarchique de la Wehrmacht, pourrait faire référence à l'Anschluss.
On s'est beaucoup gaussé, à l'ouest, des nombreuses pannes subies par des véhicules et même des chars de l'armée en route pour Vienne. (Moquerie bien prétentieuse, surtout en 38)

Mussolini avait en 1934 massé des troupes sur le Brenner pour décourager toute tentative d'Hitler. Mais en 38 il laissa faire sans réticence, ce qui lui valu les remerciements d'Hitler : "Duce, jamais je n'oublierai cela."

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