coeur de lion a écrit :
quelqu'un a-t-il des informations précises sur la politique musulmane du IIIe reich?
Ce qui est sûr, c'est que Hitler vouait une réelle admiration pour l'islam et la civilisation musulmane.
Selon le général Degrelle " Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d'origine catholique et comme enfant avait chanté dans le chœur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l'Islam et sa civilisation. "
Degrelle affirme également qu'Hitler envoya en cadeau " à chacun des soixante milles volontaires musulmans de la Waffen SS une petite chaîne en or à laquelle était attachée un minuscule Coran. "
En novembre 1938, le journal allemand L'Univers écrit : " Les Autrichiens rendus au Reich doivent apprendre que dans leur nouvelle capitale, les sphères dirigeantes préfèrent la religion de Mahomet au christianisme et que cette religion voit croître le nombre de ses adhérents dans les registres officiels, tandis que la propagande en faveur de l'abandon des églises chrétiennes s'étend toujours plus. "
Propos de table de Hitler :
" Nous ne comprenons pas que les prêtres s’imaginent Dieu à la ressemblance d'un homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu'ils n'éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement ! "
Adolf Hitler, 1 août 1942
" Et cette fois nous éprouvons une violente sensation de colère à la pensée que des Allemands ont pu s'enliser dans des doctrines théologiques privées d'une quelconque profondeur quand sur la vaste terre il y en a d'autres, comme celle de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui à l'inquiétude religieuse offrent un aliment d'une bien autre valeur. "
Adolf Hitler, 5 juin 1942
" La civilisation a été un des éléments constitutifs de la puissance de l'Empire romain. La même chose se produisit en Espagne sous la domination des arabes. La civilisation y atteint un niveau rarement atteint. Une époque, indiscutablement, d'humanisme intégral, dans laquelle régna le plus pur esprit chevaleresque. L'intrusion du christianisme y a apporté le triomphe de la barbarie. L'esprit chevaleresque des Castillans est en effet un héritage des Arabes. "
" Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l'influence judaïque (et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide !), il aurait mieux valu que l'Islam triomphe. Cette religion récompense l'héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel… Animé d'un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme. "
Adolf Hitler, 18 août 1942
Dans son Testament politique, en février 1945, Hitler affirme que : " L'allié italien nous a mis des bâtons dans les roues presque partout. Par exemple il nous a empêché de conduire une politique révolutionnaire en Afrique du Nord, parce que nos amis musulmans soudain ont vu en nous les complices, volontaires ou involontaires, de leurs oppresseurs. Les souvenirs de la répression barbare à l'égard des Senoussis était toujours dans leur mémoire. Comme si ça ne suffisait pas, la prétention ridicule du Duce, d'être considéré comme « l'épée de l'Islam », était objet de moquerie. Ce titre, qui est dû à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'est fait attribuer par certaines tristes figures soudoyées ou terrorisées par lui. Nous avions la possibilité de faire une politique de longue haleine à l'égard de l'Islam ; elle a été gâchée, comme du reste beaucoup de chose, que nous avons dû abandonner en raison de notre fidélité à notre alliance avec l'Italie. "
Instructions données par Hitler, le 6 août 1943 : " On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leurs ont été assurés. J’ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte. "