Bon je ne dirai pas ce que je pense de la conception nouvelle de la prescription pénale mais je vous signale cet article du nouvel obs
http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/ ... urgit.htmlÉvidemment les soupçons s'orientent naturellement vers l'entourage de Chirac ...qui n'est plus en moyen de se défendre . Et Pasqua et Foccard sont morts
J'ai trouve ces commentaires sur le net
Sinistre. Foccart et Pasqua ne sont plus là pour rendre des comptes, Chirac est gâteux et intouchable. Pourtant, qui avait intérêt à empêcher Robert Boulin d’être nommé Premier ministre ? Le chef du RPR, fragilisé par son résultat très décevant aux européennes de juin 1979 (16 % des voix). La nomination d’un gaulliste à Matignon l’aurait marginalisé pour longtemps.
Foccart était un ami de Robert Boulin et le pire ennemi du même Foccart dans le milieu gaulliste était Pasqua (depuis que Foccart l’avait viré du SAC en juin 1968) et l’antagonisme entre eux a duré jusqu’à la mort de Foccart.
En outre, Foccart ne s’était pas encore réconcilié avec Chirac (il ne le fera qu’en 1981, même s’il a gommé dans ses mémoires, publiés à tort de son vivant, son hostilité à Chirac de 1974 à 1981).
Une constante dans cette affaire est que le mot SAC revient incessamment, mais on n’oublie qu’il y avait le SAC de Foccart, national, et des SAC dissidents, créés par Pasqua dans quelques départements. L’ouvrage de Lecavelier et Ferrand “Aux ordres du SAC” publié en 1982, porte exlusivement sur ces entités pasquaiennes et en montre bien le caractère mafieux.
La mort criminelle est difficile à nier, d’autant que dès le départ il y a eu panique au sein du pouvoir ce qui a conduit à intoxiquer immédiatement le directeur des affaires criminelles et des grâces d’Alain Pierrefitte, Raoul Béteille, a qui on présenta des photos du corps arrangées mais jamais les vraies photos qu’il n’a eu entre les mains qu’en 1995. La communication de Béteille fut donc d’une parfaite bonne foi, mais totalement erronée.
https://www.les-crises.fr/affaire-rober ... ume-stoll/