bina bang a écrit :
C'est assez curieux puisque on ne les cite qu'à peine dans les évènements et même ici il passe complétement au second plan.
Je n'étais plus un gamin mais il semble que la fascination des armes dépasse de loin celle de l'empathie.
On a un peu oublié nos journaux TV qui, en effet, évoquaient surtout les otages.
On évite aussi de trop s'expliquer certaines lignes de wiki
wikipedia a écrit :
9 août 1990 : L'Irak ferme ses frontières, bloquant dans le pays près de 10 000 ressortissants de pays occidentaux.
Sans trop d'intérêt.
Citer :
Début de la présence française sur le terrain pour des missions de contrôle de l'embargo et de soutien militaire aux Émirats arabes unis. Le porte-avions Clemenceau, transformé en porte-hélicoptères de combat, avec 1 800 soldats à son bord, quitte le port de Toulon pour le port de Djibouti.
Intérêt +++++++++++
Citer :
10 août 1990 : sommet de la Ligue arabe au Caire ; l'Irak y est condamné, mais à une faible majorité. La Ligue approuve l'envoi de troupes arabes (égyptiennes, syriennes et marocaines) ainsi que le déploiement des Américains. Pour les remercier, les États-Unis envoient James Baker à Damas pour laver le président syrien Hafez el-Assad de toute accusation de terrorisme et lui laisser imposer sa paix au Liban, et annule la dette que l'Égypte a envers eux.
Pourquoi tant de remerciements venant des USA si la cause est juste... De plus remerciements + cadeaux : j'ignore comment le Liban a apprécié.
Beaucoup moins intéressant... et puis c'est pénible, ceci oblige à revoir sa copie concernant tous ces conflits, revoir l'avant, bien avant, recenser les intérêts de tous, vraiment tous etc. Compter, c'est plus facile : il y en a tant à l'aller, tant au retour (hommes, chars etc.) and the winner is et le tout en deux temps, trois mouvements, sans s'inquiéter pourquoi certainis pays ont voté, d'autre pas. Quels intérêts risquaient d'être impactés, quelle(s) "puissance(s)" se positionnait ouvertement, pourquoi ? Bref, quels étaient les véritables enjeux puisque l'on a "... no position..." et no inquiétude concernant les ressortissants étrangers, visiblement.