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Le jeu de base se passe de -500 à -1 av. J.C
Les technique de Torchis et de Chaumes n'ont peut être pas évoluée entre les Gaulois et les carolingiens au niveau de l'apparence générale. Mais la maison gauloise est décaissée de 1 à 2 mètres par rapport au niveau du sol. Pour rentrer dans la pièce principale il faut descendre 4 à 5 marches. Et il y a un étage qui peut servir de grange.
Par contre attention le moulin à eau n'existait pas chez les Gaulois. Il y avait des esclaves pour faire tourner les roues.
L'implantation des villages est différentes, les gaulois occuppent des grosses agglomération de plusieurs centaine d'hectare en oppidum sur des plateaux alors que les populations carolingiennes se fragmente en villages plus petit et prés des cours d'eau (pour les moulins).
Les murs d'enceintes des oppidums était le plus souvent en pierre sur support terre armée de madrier. Voici la description du Murus gallicus par jules Cesar :
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« Tous les murs gaulois sont faits, en général, de la manière suivante. On pose sur le sol, sans interruption sur toute la longueur du mur, des poutres perpendiculaires à sa direction et séparées par des intervalles égaux de deux pieds. On les relie les unes aux autres dans l'œuvre, et on les recouvre d'une grande quantité de terre ; le parement est formé de grosses pierres encastrées dans les intervalles dont nous venons de parler. Ce premier rang solidement établi, on élève par-dessus un deuxième rang semblable, en conservant le même intervalle de deux pieds entre les poutres, sans que cependant pour cela elles touchent celles du rang inférieur, mais elles en sont séparées par un espace de deux pieds aussi, et chaque poutre est ainsi isolée de ses voisines par une pierre, ce qui la fixe solidement. On continue toujours de même jusqu'à ce que le mur ait atteint la hauteur voulue. Ce genre d'ouvrage offre un aspect varié qui n'est pas désagréable à l'œil, avec son alternance de poutres et de pierres, celles-ci n'en formant pas moins des lignes continues qui se coupent à angles droit ; il est, de plus, très pratique et parfaitement adapté à la défense des villes, car la pierre le défend du feu et le bois des ravages du bélier, celui-ci ne pouvant ni briser ni disjoindre une charpente où les pièces qui forment liaison à l'intérieur ont en général quarante pieds d'un seul tenant. »
. Chez les carolingiens (ainsi que chez les Belges) on utilise beaucoup des murs végétaux denses et épineux pour se protéger. César en parle à propos des Nerviens qui tressent des épineux pour les faire pousserr à l'horizontale pour géner la cavalerie adverse (une sorte de bocage vandéen avant la lettre).