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Sir Peter a écrit :
Il aurait été nécessaire d'être un cavalier totalement capable de maitriser un cheval au combat sans utiliser les mains,accaparées par le maniement de la fronde,on le faisait avec un arc certes mais les flèches offraient davantage de prise aux doigts et ils pouvaient en conserver une paire tenues en bouche par les dents...une balle de fronde était perdue ou avalée plus facilement,il me semble
Que tient-on par la bouche ?? j'ai pas bien compris.
Avec une fronde, on pourrait tenir les rênes avec la min gauche et la fronde avec la droite. Pour tirer à l'arc, à un moment donné, il faut nécessairement lâcher les rênes des deux mains. Mais ce n'est pas si grave, les chevaux étaient dressés à cet exercice.
ezio-auditore a écrit :
Une autre question, en quoi l'arbalète est-elle "meilleure" que l'arc ? Elle semble si longue pour envoyer un second carreau.
- Les arbalètes, celle que l'on bandait avec un mécanisme, étaient bcp plus puissantes qu'un arc.
- Avec une arbalète, on peut rester en visée autant de temps que nécessaire. en effet, une fois celle-ci bandée (en traction et prête à tirer) le mécanisme fait que l'arc de l'arbalète reste tout seul en tension.
Pour l'arc, c'est l'archer qui tient la tension par la force de son bras. Un arc puissant ne peut être tenu en tension de tir que quelques secondes.
Bien à vous.