Arturus Rex a écrit :
Citer :
En revanche, donner une phrase tronquée qui donne une vision déformée de la façon dont l'auteur présente Pacifico, cela me semble beaucoup plus grave
La différence entre vous et moi, cher Misanthrope, c'est que j'ai sous les yeux un texte que vous ne connaissez pas,
et que je ne l'ai pas tronqué : les trois points de suspension sont bien de Juliette Desjardins !!!
A quoi cela rimerait-il ?
Bon, je vous ai vexé en donnant des précisions que vous auriez dû mettre de vous-même. Je ne vais pas en faire un fromage, mille excuses pour m'être introduit dans un sujet qui n'appartient qu'à vous.
Mais je n'ai rien tronqué, je tiens un scan à la disposition du modérateur s'il le souhaite !
Je me permets de vous faire observer que vous n'avez donné aucune précision par rapport à mon message, il suffisait de le lire pour reconstituer la référence que j'aurais trouvé lourd de donner alors que tout mon message tendait précisément à cette présentation bibliographique. Bien entendu, quand j'utilise le travail des autres, je donne les références bibliographiques en bonne et due forme, mais là ce serait une simple répétition.
Quand je parlais de présentation tronquée je ne parlais pas spécialement des points de suspensions, mais du fait qu'au total votre choix de citation donne une idée totalement fausse de ce qui ressort de l'ensemble du travail de Juliette Desjardins. Je reconnais cependant que plutôt que tronquée, j'aurais du dire "sortie de son contexte" J'avoue ne pas avoir l'article dont vous parlez, mais j'ai en revanche dans ma bibliothèque les deux Hecatelegium et c'est d'après ces textes et la présentation qu'en fait Juliette Desjardins que je peux vous dire que Pacifico ne se limite à témoigner des horreurs de la guerre et du désarroi du Quattrocento mais qu'il célèbre aussi le plaisir et le savoir.