Je viens de terminer "Le rêve Botticelli" de Sophie Chauveau qui suivait "La passion Lippi" du même auteur.
Dans un commentaire sur un site de peinture, la vérité historique de ce premier volume est mise en doute. J'aimerais avoir des commentaires sur la vérité historique du deuxième. L'auteur annonce une biblographie impressionnante qui laisserait entendre un certain sérieux tout de même. Avez-vous lu ces romans et qu'en pensez-vous? ( Je parle de la réalité historique bien sûr!)
Voici le lien ou vous pourrez lire le commentaire peu amène qui suit l'article:
http://www.duvaleix.com/journaldespeint ... _breve=110

Bonjour, pour Lippi le fait qu'il se soit enfui avec une nonne ( Lucrezia) est tout à fait réelle tout comme le fait qu'il est fait passé les peintre du staut d'artisans à celui d'artiste, je n'ai pas les référence en tête mais ayant beaucoup lu sur ce peintre ( et sur Botticelli également) je peux voous confirmer que la plus grande partie de ce qui est dit dans le livre ets vrai. La partie romancé est plus du côté des sentiment des personnages. Pour les tableaux j'avoue avoir vu pour la premiere un tableau de Fra Diamenta il y a 5 jours cela a confirmé qu'il avait bien peint avec Fra Lippi ( il suffit de voir le coup de pinceau). La relation de Pipo et de Botticelli est avérée vraie ( d'ailleurs allez voir le St Sébastien de Botticelli pour voir à quoi ressamblait Pipo).

J'avoue m'être posée les même questions en lisant la trilogies de S.Chauveau donc j'ai fait mes petites recherches et j'ai également fureté au Louvre afin de voir la plupart des tableaux cités dans les bouquins. Et du coup je suis d'accord avec Lippi Fran Angelico abuse du doré.

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http://missyklovesart.unblog.fr/

Sur Lippi, il aurait fallu aller voir l'exposition qui leur était consacrée récemment au musée du Luxembourg! Elle était très bien faite!

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."

Je n'ai pas lu le livre en question, mais réagis juste à quelques phrases :

On ne peut pas dater la passage d'un statut artisanal à un statut artiste précisément, ni le rattacher à un artiste, serait-ce F. Lippi. C'est un mouvement lent, qui trouve son origine dès le XIIIe-XIVe siècle (cf. les deux ouvrages d'Erlande-Brandenburg sur ce sujet, D'Or, de pierre et de feu, Le sacre de l'artiste) et n'aboutit finalement qu'au XVIIIe siècle (première mention du mot artiste dans son acception actuelle : 1751.). Nathalie Heinich a particulièrement étudié ce phénomène, s'il vous intéresse.


Diamante (et no Diamenta ) a en effet été l'un des principaux assistants de F. Lippi, ce qui pose de nombreux problèmes pour l'attribution de ses oeuvres.


Ah ! Horreur, Malheur, pot de beurre ! Pauvre Fra Angelico, qui permet aux artistes de se libérer du fond d'or, qui le premier (ou presque) remplace la tradition byzantine du fond d'or par ce bleu immatériel et magnifique du couronnement de la Vierge du Louvre ! Bon, d'accord, c'est pas partout pareil, mais c'est pô sa faute si les commanditaires voulaient ça. Et puis zut, c'est magnifique et pis c'est tout.

Sorry pour Diamente c'est une faute de frappe. Pour le reste Ok

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Je suis d'accord avec toi. Les commanditaire savait ce qu'il voulait et comment il le voulait. Ce n'est pas la faute du peintre s'il voulait de l'or partout!

[HS: J'adore ton "Ah ! Horreur, Malheur, pot de beurre !"]