Et pourtant Aline sur ce point j'avais mis celà en troisième ou quatrième réponse.

Enfin en espèrant que vous ayez sauvé la moyenne, ou que vous compensiez par une autre épreuve.

Quand je relis ça, je me rends compte que vous aviez totalement raison, mais Monsieur de stenay avait dit que ce genre de propos n'était pas vraiment adapté au sujet, qu'il convenait mieux à un sujet sur els débuts de Venise. Et j'étais plutôt d'accord avec lui. Cependant, c'est évident que j'aurai du en parler dans mon paragraphe sur les raisons de la domination vénitienne.

J'espère aussi que j'auraui la moyenne, j'en suis pas convaincue mais je ne pense pas que j'aurai une note catastrophique. L'essentiel reste le partiel qui compte pour les 3/4 de la note finale.

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"Ce n'est pas de peur que je tremble, mais de froid."

Attention, j'avais seulement déconseillé de faire une problématique autour de ce point, sur lequel Obiwan suggérait d'insister. Mais il n'était pas exclu, dans mon esprit, d'y faire référence à un moment ou à un autre de l'exposé, si nécessaire.
Néanmoins, je reste convaincu qu'il n'était pas vraiment utile de parler de ce point autrement que brièvement en introduction, étant donné l'intitulé du sujet.

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Ad augusta per angusta
"Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être..." Goethe

Bonjour, je me suis nouvellement inscrite sur ce forum et ce sujet sur Venise a fortement attiré mon attention.

Les références citées sont excellentes mais il me semble que 2 points importants auraient également pu être abordés :

- les travaux d'Elisabeth Crouzet-Pavan sur la Sérénissime, qui aurait pu vous aider pour les recherches sur le site lui-même et le rapport pouvoir / organisation de l'espace urbain.

- en ce qui concerne la liaison Orient-Occident, il aurait peut-être également été intéressant d'évoquer Venise en tant que lieu essentiel de la diplomatie à l'époque moderne.

J'ai lu avec grand intérêt les réponses qui ont été données à votre question et je me suis permise de réagir même si votre exposé est passé.