En fait, je cherchais à engager le débat sur la différence de perception du pouvoir réel du roi absolu que l'on peut percevoir entre les analyses venant de F. Bluche par exemple et celles de D. Dessert.
Dans le second cas, Daniel Dessert exprime clairement que le roi n'a pas de pouvoir réel, le royaume étant aux mains d'un clan qui contrôle toute la finance, source essentielle d'entretine de la guerre quasi permanente au XVIIe siècle. Cela commence avec le caln Montmorency, puis Richelieu, puis Mazarin, puis Colbert , puis Pontchatrain...
Bien sûr, à côté de cela il y a une réflexion théorique sur le pouvoir, sa nature et son exercice, mais la réalité, imposée encore une fois par la nécessité de financer la guerre, est que ceux qui connaissent et contrôlent le système en sont les vrais dirigeants. Katia Béguin parle dans snon dernier (Financer la guerre...) d'information asymétrique qui permettait à des intermédiaires de faire bénéficier leurs clients de gain substantiels acr ils avaient accès à quelles rentes seraient payer qunad etc.. Le même système pour les clans ci-dessus, mais à une échelle cent fois supérieure.
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