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Message Publié : 24 Août 2007 8:25 
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Napoléon est-il un météore dont le destin extraordinaire a traversé les siècles ou demeure-t-il le passeur du monde moderne, celui qui a terminé la Révolution en France tout en contribuant à la diffuser dans le monde ?
Comment aborder une pareille existence ? Passionné depuis toujours par l'époque et le personnage, j'ai préféré observer l'envers du décor en privilégiant l'analyse de la chute plutôt que la "gloire de l'Empire". Car, bien qu'ébloui par le soleil d'Austerlitz, je pressentais qu'il ne s'agissait que d'un "soleil noir".
Pour comprendre la chute, il faut partir du sommet, et plus précisément disséquer la décennie triomphale qui relie le point de départ de Lodi à l'apogée de Tilsit. Et ses deux choix majeurs accomplis au zénith de la gloire : l'hérédité rétablie avec le sacre de 1804 ; le pari de la conquête avec le Blocus continental fin 1806.
Ce livre remanié sans cesse depuis 2002, se nourrit d'une conviction fortifiée par l'expérience personnelle de la solitude du pouvoir, de sa fragilité, de son immense complexité, enfin de son caractère foncièrement tragique, appuyé sur les ressorts de la peur et du rêve.

D de V.

Dominique de Villepin a notamment publié, en 2001, Les Cents-Jours, qui a reçu le Prix des Ambassadeurs et le Grand Prix de la Fondation Napoléon.

La Chute ou l'Empire impossible qui emmènera le lecteur d'Erfurt à Fontainebleau, paraîtra au début de 2008.

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Message Publié : 29 Oct 2007 8:32 
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Pas encore en librairie mais déjà source de polémiques, l'imposant Livre noir de la Révolution Française (900 pages), publié aux éditions du Cerf (en plein raidissement dogmatique depuis quelques temps, notamment avec le renvoi d'Heinz Wismann) par les très conservateurs Pierre Chaunu, Jean Tulard, Emmanuel Leroy-Ladurie, Jean Sévillia, Jean-Christian Petitfils et quelques autres compères promet de faire parler de lui dans les mois qui viennent.

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Message Publié : 03 Nov 2007 9:12 
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Pourquoi la Révolution des Droits de l’homme a-t-elle débouché sur la Terreur ?
Florin Aftalion donne une nouvelle réponse à cette question qui hante les historiens depuis plus de deux siècles.
Dans un récit vivant et fouillé de la Révolution française, il met en évidence l’enchaînement de crises fiscales et monétaires qui ont conduit de l’Ancien régime à Thermidor. Le premier rôle y est tenu par les assignats. Censés faciliter la réalisation des biens du clergé, ils ont fini par devenir l’unique ressource du Trésor. Mais leur prolifération, en entraînant la chute de leur valeur, a provoqué une terrible crise des subsistances. Ceux qui en furent les victimes, ne comprenant pas la cause réelle de leurs souffrances, l’attribuèrent aux agissements des aristocrates que seul l’échafaud semblait en mesure d’empêcher de nuire.
Pour étayer sa démonstration Florin Aftalion a augmenté son texte d’extraits de discours, de débats parlementaires, d’articles de journaux et de mémoires de l’époque.

Florin Aftalion est professeur émérite à l’École Supérieure des Sciences Économiques et Commerciales. Il a également enseigné aux universités de New York, Tel-Aviv et Northwestern. Ses nombreuses publications vont de l’économie monétaire à la finance et à l’histoire contemporaine.

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Message Publié : 04 Déc 2007 17:09 
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Grégoire de Tours
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J'aimerais avoir votre avis sur ces 2 ouvrages recemment parus sur Louis XVII : "Louis XVII ou le secret du roi" et "contre enquête sur l'Affaire Louis XVII" de Hugues Trousset. Merci d'avance

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Message Publié : 22 Fév 2008 19:28 
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Bonsoir a tous,

Je viens vous demandez quelques conseils de lecture concernant la RF, je ne suis pas historien, ni étudiant (je demande l'indulgence pour mes fautes).

je me suis passionné pour l'histoire il y a 2 ans, et la Rf tout particulièrement.

J'ai commencé par quelques titres que je vous-cites ci dessous.

La république jacobine de R.Dupuy.
Thermidor la chute de Robespierre de F.Brunel.
Le dictionnaire de la RF de soboul et celle de tulard,fierro et fayard(bof pour cette dernière)
Le Danton de Bluche, le Robespierre de Mathiez et ceux de Talleyrand par Orieux et celui de Waresquiel.
Et d'autres sur Mirabeau, Collot-dherbois,fouché et d'autres dont je ne me souviens pas a l'instant.

Après ces quelques lectures le personnage qui pour moi incarne la RF est Robespierre bien sûr je trouve "honteuses" les lois du 22 prairial 1794 mais Robespierre reste pour moi le grand personnage de la RF , bien sûr je ne suis qu'un "vulgaire" amateur mais j'espère pouvoir grâce a la lecture de divers livres sur la Rf la connaître un peu mieux (je pense me procurer les livres de F.Furet) pour pouvoir avoir une vision assez large de cette période.

J'aimerai si vous en avez le temps et l'envie me conseiller quelques lectures de cette période, peu importe l'orientation "politique" je ferais le tri :wink: .

En tout cas bravo aux nombreux intervenants car ils sont très agréables a lire .

Bonne soirée.


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Message Publié : 22 Fév 2008 19:44 
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Philippe de Commines
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Inscription : 05 Jan 2008 16:29
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J'avais beaucoup apprécié le très intelligent "Penser la Révolution Française" de François Furet.

http://www.amazon.fr/Penser-R%C3%A9volu ... 814&sr=1-1

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Ce court essai de l'historien François Furet a bouleversé l'historiographie de la Révolution française. S'élevant contre l'interprétation "jacobine" de l'événement, longtemps dominante, l'historien propose une interprétation qui repose sur l'autonomie du politique par rapport au social. Dans le cadre d'une histoire conceptuelle du politique, le processus révolutionnaire est envisagé comme une dynamique politique et idéologique autonome, indépendante des intérêts de classe. Dans sa polémique contre l'historiographie sociale et marxisante, l'historien fait appel aux historiens du XIXe siècle, en s'appuyant sur les œuvres de Tocqueville et de Cochin. La Révolution française est alors interprétée à la fois comme le produit de l'Ancien Régime et comme l'avènement de notre civilisation. En travaillant sur la symbolique et l'idéologie révolutionnaires, Furet participe du basculement de l'historiographie française de l'économique et du social vers le politique et le culturel. --Hervé Mazurel


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Message Publié : 22 Fév 2008 21:17 
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Grégoire de Tours
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Thighlas a écrit :
Je possède les quatre premiers tomes édités en 1976 de "LES HOMMES DE LA LIBERTE" de Claude Manceron, couvrant la période de 1774 à 1787, une manière originale d'aborder la pré-Révolution.
Quatre autres tomes devaient suivre couvrant la période révolutionnaire.
Que ce soit en librairie ou dans les bouquineries, je n'ai pas pu me procurer ces livres.
Sont-ils parus? si oui, Puis-je encore me les procurer?
Je suis demandeur d'infos à ce sujet.


Seuls 5 tomes ont paru, à partir de 1976.

-Les vingt ans du roi (1774-1778)
-Le vent d'Amérique (1778-1782)
-Le bon plaisir (1782-1785)
-La Révolution qui lève (1785-1787)
-Le sang de la Bastille (1787-1789)

On les trouve encore relativement aisément chez les bouquinistes.

Un "Album des Hommes de la Liberté" a également été édité. Celui-là, hélas, je ne l'ai pas encore déniché. :(


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Message Publié : 05 Avr 2008 16:07 
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Ce volume, consacré à l'histoire de l'Europe napoléonienne, décrit en plus d'une centaine de cartes les différents phénomènes politiques, sociaux, économiques et culturels qui caractérisent les années 1799-1815 pendant lesquelles le visage de la France et de l'Europe a été profondément bouleversé. Au delà des aventures militaires et des images d'Epinal sur le « geste » de Napoléon Bonaparte, cet ouvrage entend attirer l'attention sur les transformations majeures d'une période où la volonté de « finir la Révolution » se juxtapose à l'entreprise ambitieuse de fonder une nouvelle civilisation. A la croisée des échelles et des approches et en accordant une large place aux espaces non-français de l'Empire, les auteurs ont voulu mettre à distance certaines catégories d'interprétation, pour mieux comprendre les dynamiques à l'œuvre dans cette construction impériale. Après une présentation des étapes progressives de la constitution de ce vaste espace politique, on découvre les différents éléments qui l'organisent : réseaux de communication, institutions administratives, pédagogiques ou religieuses. On s'intéresse également aux diverses relations mises en place entre les différents espaces et aux formes de résistances qui peuvent émerger contre un pouvoir personnel qui ne cesse de se renforcer. Une chronologie détaillée, une bibliographie, un glossaire et un index complètent cette histoire de l'Europe napoléonienne pour en faire un outil de travail et un ouvrage de référence original.

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Message Publié : 06 Avr 2008 9:05 
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Le 18 Brumaire est le commencement et la fin d'une histoire ; il marque l'accession au pouvoir de Bonaparte et l'épilogue provisoire d'une Révolution française qui n'en finit pas de s'achever. Depuis 1789, elle a parcouru tout le cycle des formes politiques connues pour s'enliser dans une impasse dont elle ne sait plus comment sortir : la République, souillée par la Terreur, est devenue impossible; la monarchie, synonyme de contre-révolution, l'est autant. C'est donc au général corse, devenu un héros national sur les champs de bataille, qu'il revient de l'en sortir : fils de la Révolution, il en incarne la gloire militaire sans avoir à en assumer les excès ; né à la périphérie du royaume, il a assez de proximité avec ses compatriotes pour comprendre les passions révolutionnaires et assez de distance pour ne pas y succomber. Lui seul paraît capable de réconcilier les deux peuples et les deux histoires que la Révolution a séparés. Mais pour comprendre la réussite de son coup d'audace, dont ce livre restitue le cours haletant, c'est le régime du Directoire, ses incuries et son échec, que l'auteur interroge aussi à frais nouveaux. Brumaire est un vrai coup d'État, mais singulier : sans violence ou presque, sans victimes, sans proscrits, entouré d'un consentement tel qu'il sera longtemps considéré comme une élection que les circonstances avaient privée des formes légales. Et même s'il inaugure un régime plutôt éphémère, l'irruption de Bonaparte dans l'histoire révolutionnaire imprimera durablement sa marque sur notre légendaire national et l'esprit de nos institutions.

Biographie de l'auteur
Patrice Gueniffey, directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, est l'auteur notamment de Le Nombre et la raison. La Révolution française et les élections (1993) et de La Politique de la Terreur (2000).

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Message Publié : 08 Mai 2008 7:39 
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Grégoire de Tours
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:arrow: Les politiques de la Terreur (1793-1794), sous la direction de Michel Biard (Presses universitaires de Rennes / Société des études robespierristes, 2008 - 23 €)

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Présentation de l'éditeur :

Près de vingt ans après le Bicentenaire de la Révolution française, l'intérêt des historiens pour ce moment majeur de notre histoire nationale ne faiblit pas, loin s'en faut, ce que ne cessent de prouver les nouvelles recherches ouvertes. Tout au plus peut-on observer qu'un certain nombre de polémiques se sont atténuées, même si leurs objets demeurent. Parmi ceux-ci, la Terreur, temps fort de la Révolution, a bien sûr été sujette à des interprétations historiographiques souvent conflictuelles, ainsi qu'à des définitions opposées, tant à propos de sa nature et de ses logiques que pour son cadre chronologique.

Les Actes de ce colloque, tenu à l'Université de Rouen en janvier 2007, entendent évoquer un "temps" de la Terreur compris dans sa version la plus usuelle, c'est-à-dire s'ouvrant en 1793 (avec des prémices dès le printemps) et s'achevant dans l'été 1794 pour laisser place à d'autres violences politiques, parfois appuyées sur des rouages identiques mais désormais utilisés à d'autres fins. S'ouvrant largement à des travaux récents ou en cours, le livre tiré de ce colloque propose une réflexion collective non pas sur "la politique de la Terreur", comme on a pu l'écrire, mais sur "les politiques" mises en œoeuvre au "temps de la Terreur".
En effet, loin d'évoquer cette période par le seul usage de la répression et des violences, ou bien d'en faire une sorte d'épisode politique décontextualisé et perçu comme consubstantiel à la Révolution, voire à toute révolution, cette rencontre a porté sur quatre thèmes successifs (les rouages de la Terreur; violences et justice; institutions et politiques économiques, politiques sociales; vie culturelle et religieuse) destinés à nous faire mieux comprendre les réalités multiformes de ce moment chronologique précis et fondamental de la Révolution française.
De ces réalités, où le poids de la guerre, sous toutes ses formes, joue bien sûr un rôle décisif, la toile représentant un "élève de l'Ecole de Mars" - créée en l'an II dans la capitale pour former les futurs cadres citoyens de l'armée républicaine - est une illustration toute symbolique, où se côtoient le genre académique et deux objets essentiels de la "régénération" chère aux hommes de l'an II : le bonnet phrygien et le glaive.



Michel Biard, qui a dirigé cet ouvrage, est agrégé d'Histoire, docteur de l'Université Paris et professeur d'Histoire moderne à l'Université de Rouen. Il a récemment publié Missionnaires de la République. Les représentants du peuple en mission (1793-1795) (Editions du CTHS ; 2002) et Les lilliputiens de la centralisation. Des intendants aux préfets : les hésitations d'un "modèle français" (Champ Vallon, 2007).


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Message Publié : 25 Mai 2008 13:19 
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Parution directement en poche d'une brillante étude inédite de B. Baczko:

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Présentation de l'éditeur:
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Historiquement, bouleversement révolutionnaire et invention démocratique sont conjointement au principe d'une prodigieuse mutation politique et sociale. Cependant, les crises et les convulsions révolutionnaires, notamment les « journées » où le peuple se lève en masse, mettent à rude épreuve les institutions représentatives. C'est que la Révolution se situe dans un temps court et vise des objectifs immenses et absolus – instaurer la liberté et l'égalité – alors que les institutions démocratiques opèrent dans la durée et poursuivent des objectifs limités : instaurer l'État de droit et l'égalité devant la loi.
Dans son imaginaire, la Révolution s'assure la maîtrise de l'histoire ; dans les réalités, elle s'inscrit dans un temps qui la dépasse et qui lui échappe. Installée dans un éternel présent, elle mène le procès sans appel des principes, symboles et valeurs d'un régime qu'elle fait définitivement sombrer dans le passé. Elle brise surtout la vie collective et les destins individuels.
Car l'histoire met à rude épreuve le projet révolutionnaire de s'émanciper de l'emprise du temps. Le passé dont il a décrété l'abolition ne veut guère passer et la Révolution est condamnée à négocier avec lui maints compromis : symbole de la rupture, elle renoue le fil du temps ; figure et matrice de l'universel, elle reste, au plus profond d'elle-même, singulièrement française ; portée vers l'avenir,elle ne cesse de solliciter le passé national.
Bronislaw Baczko suit le déploiement des passions et des espoirs révolutionnaires de 1789 jusqu'à l'avènement de Bonaparte, « un Washington manqué ».


Je signale également que le dernier numéro du Débat publie un bel article de P. Guennifey sur "Les Napoléons de F. Furet" dont on peut lire une première version sur internet:

http://www.laviedesidees.fr/Les-Napoleo ... Furet.html

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Message Publié : 29 Mai 2008 17:02 
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Certains ont peut-être déjà lu certains de mes ouvrages. Le dernier sort la semaine prochaine :

http://phidelorme.blog.lu/

Il traite du destin des 4 enfants de Louis XVI et Marie-Antoinette, jusqu'à la fin de la Révolution. L'un de ses intérêts repose sur la publication d'archives inédites, en particulier concernant le premier dauphin, Louis-Joseph, mort en 1789, et sa petite soeur Sophie, morte à 11 mois en 1787, sur laquelle n'existait, à ma connaissance, aucune étude.

Bien entendu, je suis disposé à répondre à telle ou telle de vos questions à ce sujet. En évitant l'éternelle rengaine sur "Louis-XVII-n'est-pas-mort-au-Temple-d'ailleurs-je-connais-(suis)-son-descendant-direct". Pour les amateurs, ils trouveront d'ailleurs dans le livre des précisions aussi utiles qu'inédites sur la "question" du coeur de Louis XVII. Mais je n'en parlerai pas ici.

Philippe DELORME


Pièces jointes :
n1266789573_12819_1859.jpg
n1266789573_12819_1859.jpg [ 71.9 Kio | Consulté 19542 fois ]
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Message Publié : 11 Juil 2008 11:19 
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Hérodote
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Inscription : 08 Juil 2008 18:28
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Bonjour,

Que pensez-vous du titre " le Consulat et l'Empire, 1799-1815" de Jean-Paul Bertaud ?
Qu'apporte-t-il par rapport aux écrits de Jean Tulard ?

Merci.


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Message Publié : 04 Août 2008 13:43 
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Philippe de Commines
Philippe de Commines
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Inscription : 23 Avr 2008 9:32
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A paraître chez Fayard : http://www.fayard.fr/livre/fayard-15803 ... hette.html

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Le passé change parce que nous changeons


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Message Publié : 29 Août 2008 21:18 
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Préfets, Conseil d’État, Légion d’honneur, Gardes champêtres,Trésor public, Dépôt d’étalons, Palmes académiques, Grand maréchal du palais, Napoléon a modernisé ou créé de toutes pièces les institutions et structures administratives de notre pays. Si l’Empire a suscité de nombreux dictionnaires, aucun n’est exclusivement consacré aux institutions de l’État napoléonien . aucun ouvrage ne donne les informations nécessaires à la connaissance des entités politiques, administratives ou de cour. À travers près de 800 entrées, Quand Napoléon inventait la France comble cette lacune. Accessible et simple d’utilisation, ce dictionnaire nous invite à une redécouverte originale de nos institutions, un parcours inédit dans les coulisses du pouvoir napoléonien. Il est complété des neuf principaux textes constitutionnels, de cartes et de tableaux.

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