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Message Publié : 09 Août 2015 18:48 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 02 Nov 2006 21:00
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Bonjour à tous,
je lance un débat (qui j'espère ne sera pas stérile et inutile): La nomination des maréchaux d'Empire, basé sur l'amitié, la politique ou l'idée que ce faisait Napoleon du général, mais peu sur leur qualités militaires est-elle une des causes internes des futures désatres impériaux et de la fin de l'Empire?
Il est indéniable, à mon humble avis, que l'empereur préféra toujours avoir des maréchaux simples éxécutants de ses ordres (brillants dans ce domaine cela lui suffisait) car il dirigerait toujours la principal champs de guerre d'une coalition.Mais il n'a pas pris en compte le fait d'avoir plusieurs champs d'opérations et donc d'avoir des maréchaux capables de mener des armées indépendantes.Jusqu'en 1807 pas de soucis (sauf Masséna commandera une armée independante en Italie et Naples en 1805-06) mais avec la guerre d'Espagne, et les coalitions succéssives (1809-1815) très vite les capacités médiocres de nombreux maréchaux se sont révélés au grand jour:Ney, Murat, Oudinot etc...la bravoure et le courage ne suffisaient plus.......
Qu'en pensez vous?


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Message Publié : 09 Août 2015 19:00 
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Bonsoir,

Ce n'est pas forcément inexact sur le fond, mais qui l'Empereur aurait-il pu distinguer qu'il ne l'a pas fait ?
Moreau sans doute. Les raisons en sont certes politiques, mais terriblement logiques et évidentes.
Pour les autres, c'est soit qu'ils n'avaient jamais été dotés d'un commandement autonome (Lecourbe) ou qu'ils n'en avaient pas été dignes (Schérer), soit que la mort les a saisis avant de pouvoir accéder au maréchalat (et là ils sont très nombreux : Kléber, Desaix, Joubert par exemple, sans même parler d'un Hoche).

Ceux qui ont manqué à l'Empereur en 1813-1815 sont plutôt les morts que ceux qu'il n'a pas élevé à cette dignité (comme Lannes, ou un Gudin qui aurait largement mérité le bâton).
On peut aussi se demander pourquoi certains fidèles parmi les plus solides n'ont pas été ainsi récompensés : Friant par exemple.

CNE EMB

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"Sicut Aquila"/"Ils s'instruisent pour vaincre"/"Par l'exemple, le coeur et la raison"/"Labor Omnia Vincit"/"Ensemble en paix comme au combat"/"Si Vis Pacem Para Bellum"/"Passe toujours !"


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Message Publié : 09 Août 2015 21:02 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 02 Nov 2006 21:00
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Merci pour votre réponse ;)
je suis en grande partie d'accord avec vous.Toutefois, des generaux comme Molitor, Grenier ou Lecourbe ont quand même dès 1804 un pédigré largement supérieur à un Ney ou Mortier (que j'apprécie tout particulièrement) ou un Bessières (qui fut général de brigade et de division en période de paix et qui lui n'a absolument rien prouvé dans le commandement d'une brigade ou d'une division en temps de guerre.Marmont dira durement mais justement "Si Bessières a été fait maréchal tout le monde peut l'être!").Je peux même rajouter Suchet et Saint-Cyr qui le seront plus tard.
In dependemment de cela, cette dignité n'a pas aidé pour garder l'esprit patriotique et l'élan (le petit plus) que certains avaient sous la République...


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Message Publié : 09 Août 2015 21:13 
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Inscription : 20 Déc 2008 14:01
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Vous pointez un autre aspect qui me paraît déterminant dans ces nominations : Bessières est un "italien", un fidèle de la première heure du général Bonaparte ; Molitor, Grenier et Lecourbe sont des "allemands", qui ont brillé, mais pas sous les yeux du nouvel empereur, et qui sont suspects de sympathie envers son rival Moreau.

Mais je ne sais pas si faire de ces généraux des maréchaux auraient modifié la donne en 1813-1815. Même s'ils n'ont pas été faits maréchaux, ils ont combattu jusqu'au bout pour l'Empire, avec dévouement et compétence.
Qui plus est, en 1815, Napoléon s'appuie aussi sur des "hommes nouveaux" : Rapp, Drouet d'Erlon, Gérard, Vandamme prirent le commandement d'un corps d'armée.

CNE EMB

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Message Publié : 09 Août 2015 21:19 
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Pierre de L'Estoile
Pierre de L'Estoile

Inscription : 13 Mars 2010 20:44
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Lecourbe était un Républicain patenté et n'a jamais courtisé Napoléon
EDIT Vandamme était déjà âgé en 1815 et son mauvais caractère l'a empêché d'accéder au Baton

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il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer


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Message Publié : 09 Août 2015 21:23 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 07 Sep 2008 15:55
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La lecture cet été du livre de Lentz sur le grand consulat m'a ouvert les yeux sur un point généralement tenu sous silence : Napoléon devait compter avec certains phénomènes quasiment politiques au sein de l'armée. Il y avait des clans (les fidèles de Moreau par exemple), des idéologies (les jacobins, les républicains modérés, ...) et des situations sociales (les ci-devant officiers du Roi ou les fils du peuple par exemple) et Napoleon évitait autant que possible d'user de la répression pour ne pas créer un sentiment d'opposition dans l'armée. Il distribuait donc les bâtons selon plusieurs critères pas exclusivement militaires...exemple bien connu : Lefebvre n'est pas un génie mais est sorti du peuple et absolument fidèle à Bonaparte (il a du jouer un rôle le 18 brumaire). Il sera non seulement maréchal mais aussi le premier duc d'empire (dès 1807).

Deux chiffres illustrent cela : 18 maréchaux nommés en 1804 alors qu'il n'y a que sept corps d'armée.

Ensuite il y a d'autres distinctions honorifiques pour les généraux comme les inspecteurs généraux et colonels généraux

Exemples :
Colonel général des chasseurs à cheval
1er février 1805 - 31 juillet 1809 : Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont
31 juillet 1809 - 22 avril 1814 : Emmanuel de Grouchy

Colonel général des dragons
6 juin 1804 - 6 janvier 1813 : Louis Baraguey d'Hilliers
14 janvier 1813 - 29 juillet 1813 : Étienne Marie Antoine Champion de Nansouty

Colonel général des hussards
6 juillet 1804 - 29 juillet 1813 : Jean Andoche Junot

Colonel général des cuirassiers
6 juillet 1804 - 5 décembre 1812 : Laurent de Gouvion Saint-Cyr


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Message Publié : 09 Août 2015 21:26 
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Pierre de L'Estoile
Pierre de L'Estoile

Inscription : 13 Mars 2010 20:44
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bien vu
je pense que les nominations de 1804 ont été savamment pesées entre tous les clans dont vous parlez
Exemple parmi d'autres, sauf erreur, Ney ne s'est jamais battu en présence de Napoléon jusque là

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il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer


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Message Publié : 09 Août 2015 21:30 
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Inscription : 20 Déc 2008 14:01
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Aigle a écrit :
La lecture cet été du livre de Lentz sur le grand consulat m'a ouvert les yeux sur un point généralement tenu sous silence : Napoléon devait compter avec certains phénomènes quasiment politiques au sein de l'armée. Il y avait des clans (les fidèles de Moreau par exemple), des idéologies (les jacobins, les républicains modérés, ...) et des situations sociales (les ci-devant officiers du Roi ou les fils du peuple par exemple) et Napoleon évitait autant que possible d'user de la répression pour ne pas créer un sentiment d'opposition dans l'armée. Il distribuait donc les bâtons selon plusieurs critères pas exclusivement militaires...exemple bien connu : Lefebvre n'est pas un génie mais est sorti du peuple et absolument fidèle à Bonaparte (il a du jouer un rôle le 18 brumaire). Il sera non seulement maréchal mais aussi le premier duc d'empire (dès 1807).

Deux chiffres illustrent cela : 18 maréchaux nommés en 1804 alors qu'il n'y a que sept corps d'armée.

Ensuite il y a d'autres distinctions honorifiques pour les généraux comme les inspecteurs généraux et colonels généraux


Entièrement d'accord avec ce point de vue, bien sûr.

CNE EMB

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Message Publié : 09 Août 2015 21:48 
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Thucydide
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pour l'histoire des clans je suis d'accord et d'ailleurs il est interessant de constater que si le chiffre est volontairement équilibré en 1804 (7 de chaque côté), par la suite l'armée d'Allemagne l'emportera sur celle d'Italie non?
Il est clair en tout cas que de grosses défaites auraient pû être évités en 1813 (Dennewitz and co) par un meilleur choix de l'empereur sur ses maréchaux (Ney, Oudinot, McDonald se montrant en dessous de tout).Dès generaux Grenier, Molitor, Dessaix, Gérard (qui commandait déjà un corps d'armée) auraient été beaucoup plus capables que beaucoup de grands chefs napoleonien.En 1804, l'histoire des clans est juste mais âprès est-ce vraiment le cas?


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Message Publié : 09 Août 2015 21:53 
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Thucydide
Thucydide

Inscription : 02 Nov 2006 21:00
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CNE_EMB a écrit :
Vous pointez un autre aspect qui me paraît déterminant dans ces nominations : Bessières est un "italien", un fidèle de la première heure du général Bonaparte ; Molitor, Grenier et Lecourbe sont des "allemands", qui ont brillé, mais pas sous les yeux du nouvel empereur, et qui sont suspects de sympathie envers son rival Moreau.

Mais je ne sais pas si faire de ces généraux des maréchaux auraient modifié la donne en 1813-1815. Même s'ils n'ont pas été faits maréchaux, ils ont combattu jusqu'au bout pour l'Empire, avec dévouement et compétence.
Qui plus est, en 1815, Napoléon s'appuie aussi sur des "hommes nouveaux" : Rapp, Drouet d'Erlon, Gérard, Vandamme prirent le commandement d'un corps d'armée.

CNE EMB

c'est vrai.Par contre l'empereur ne les emploira pas à leur juste valeur où alors sur des champs de batailles secondaire...Vandamme eut de beaux commandements mais son caractère l'empêcha d'avoir le bâton, Molitor fut utilisé en Dalmatie et en Hollande 8-| alors qu'il était considéré comme un des plus grands tacticiens de l'Empire (et Napoleon le savait) etc...


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Message Publié : 09 Août 2015 21:55 
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Thucydide
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Inscription : 02 Nov 2006 21:00
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Je tiens à préciser aussi que l'on peut être un second simple executant mais être un excellent second capable de prendre des décisions et des initiatives vitales et juste pour gagner une guerre ou une bataille..;et dans le choix de Napoleon ça a été loin d'être le cas! :wink:


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Message Publié : 10 Août 2015 0:07 
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Mmmh. Je pense que l'explication est plus complexe que cela. Napoléon n'a pas promu des nuls pour promouvoir des nuls. C'est aussi que 1) les qualités démontrées par certains avant 1804 ont disparu ou se sont atténuées en 1814 ; 2) l'ennemi est devenu bien plus coriace, et il ne suffit pas d'avoir du panache ou de la bravoure pour gagner des batailles.

Au contraire, le jeu des promotions successives montrent que l'Empereur essaie de récompenser et de promouvoir les méritants :
- Victor en 1807 ;
- Macdonald, Marmont et Oudinot en 1809 ;
- Suchet en 1811 ;
- Gouvion Saint-Cyr en 1812.
Sans compter Poniatowski en 1813 et Grouchy en 1815, mais pour d'autres raisons.

Las (en 1814) ! Augereau a choisi la retraite, Brune est en disgrâce, Jourdan est discrédité, Bernadotte a viré de bord, Lannes et Bessières sont morts (aux côtés de je ne sais combien d'excellents divisionnaires, tels que Gudin), Kellermann est incapable d'assumer un commandement, tout comme Pérignon et Sérurier. Les autres sont usés par leurs campagnes incessantes.
Ca ne laisse que ce qui reste pour combattre sur au moins quatre théâtres d'opérations distincts : la France, l'Allemagne (Davout est à Hambourg), le sud-est et le sud-ouest. Des maréchaux ou des généraux compétents capables de commander une armée de manière autonome contre un ennemi supérieur et disposant de la force morale liée aux succès enchaînés depuis plusieurs mois, il n'y en avait pas tant que ça mais y en a-t-il jamais eu qui auraient su conjurer le sort ?

CNE EMB

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Message Publié : 12 Août 2015 19:15 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 16 Déc 2006 15:45
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Une petite question d'un total béotien en la matière, mais je me souviens que dans les mémoires du général Baron de Marbot, celui-ci explique que Napoléon tenait à ce que les messages soient transmis par des officiers (sous-officier?), afin qu'ils puissent apporter en plus du message leur avis sur les forces ennemies, l'état du terrain, ...

Or Marbot explique que ce système a eut pour conséquence la perte d'un nombre conséquent d'officiers, notamment durant la guerre de partisan en Espagne, ces officiers se déplaçant seul en territoire ennemis.

Peut-on considérer que ces pertes ont eut un impact sur la "base d'officiers disponible" pour les promotions, ainsi les futures maréchaux de Waterloo seraient morts au cours des campagnes précédentes, suite à leur plus grande vulnérabilité ?

Et question annexe, mais un peu éloigné du sujet, cela aurait-il aussi put avoir un impacte sur la qualité de l'encadrement des armées françaises ?


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Message Publié : 12 Août 2015 19:24 
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Marbot parle bien d'officiers, ceux rattachés à un état-major. Ce sont généralement de jeunes officiers, des lieutenants ou capitaines. Comme depuis 1800 il faut normalement plus de quinze ans pour passer du grade de lieutenant à celui de général de brigade (encore plus à la dignité de maréchal d'empire !), je doute que ceci puisse expliquer cela.

Cela a pu avoir une incidence sur l'encadrement dans les dernières années de l'empire. Pour reprendre l'exemple de Marbot, il est officier d'ordonnance d'Augereau alors qu'il est lieutenant en 1805, capitaine en 1807. Il sert ensuite dans les états-majors des maréchaux Lannes et Masséna. Puis il a une progression de carrière météoritique : il est colonel et chef de corps d'un régiment de cavalerie en 1812 !
Si sa carrière est caractéristique (c'est un conditionnel), cela signifierait que tous ses camarades tués dans ce rôle d'estafettes entre 1805 et 1812 n'ont pas pu commander un régiment en 1812, et pourquoi pas une brigade en 1813-1815. Donc qu'ils ont manqué lors des campagnes critiques d'Allemagne, de France et de Belgique.

Mais ça me paraît douteux, j'ai quand même l'impression que Marbot est plutôt du genre fulgurant.

Si vous souhaitez savoir quelles pertes ont eu des incidences très lourdes, ce sont celles des chevaux en 1812. La capacité de l'armée française à se fournir en chevaux de remonte était épuisée, et elle a dû combattre avec des moyens très dégradés (une cavalerie mal montée et insuffisamment nombreuse) entre 1813 et 1815. Eh oui, un cheval bon de guerre, ça prend quelques années à dresser.

CNE EMB

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Message Publié : 12 Août 2015 21:06 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 16 Déc 2006 15:45
Message(s) : 490
Merci pour ces précisions.

Je m'était basé sur la vitesse de l'avancement de carrière de Marbot (vu qu'en plus dans ses mémoires il se plaint de ne pas avoir été avancé assez vite/souvent :mrgreen: ), mais effectivement si c'est un cas à part, cela invalide mon idée.


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