Pas un long discours, mais une poignée de mots tirée d’une lettre que l’on dit écrite par Bernier le 15 février 1800 :
« Le Premier Consul est un homme extraordinaire, qui sent parfaitement que tous les sacrifices faits par les Vendéens ne peuvent être condamnés à la stérilité. Quand je lui raconte la piété et les traits de courage dont plus d'une fois j'ai été le témoin, sa figure s'anime ; on croirait qu'il est jaloux de ces soldats qu'il n'a pas commandés ; il m'a dit plus d'une fois : "Je serais fier d'être Vendéen" »
C’est bôôô.