Monsieur,

Quand au sujet de base, je laisse les specialistes tolerants donner leur avis. J'avoue que je suis près à tout entendre et son contraire avec toute la curiosité requise.

Je crois que comme en 1814, le problème vient de l'union des coalisés entre eux. A l'inverse des premières coalision où la France avait put faire des paix séparés (je pense notament a 1795), en 1815 Napoleon avait face a lui l'ensemble de l'Europe coalisé, et je me demande si une victoire a Waterloo, n'aurait pas été une victoire a la pirus (comme celle de 1814). Je crois que la vrai difficulté est née de l'entrée en guerre de Murat contre l'Autriche, celle ci neutre l'empereur avait une chance, mais une fois rentrée dans la guerre.....

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"L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste"

Il semble qu'il y ait eu des chances de dissocier la coalition cette fois-ci.

La Russie d'Alexandre -aux dires de Mme Bertrand- n'était finalement pas prête à tout sacrifier au bonheur de revoir les Bourbons sur le trône...

L'Autriche avait d'abord prêté une oreille complaisante aux envoyés de Fouché qui proposaient une formule transactionnelle: abdication de Napoléon en faveur de son fils.

Seules, la Prusse et l'Angleterre étaient acharnées à la perte de Napoléon.
Leurs troupes ayant été rossées, il me semble que le tableau aurait moins noir qu'au début. Reportez-vous au lien en page 1 qui renvoie aux pages sur mon site...