Il y en a qui le représentent avec moins que ça, quand même !

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Chateaubriand, au sujet de Bonaparte : un homme qui put faire "passer un abîme d'iniquités pour la profondeur du génie".

Allez, pour cette fois, vous avez gagné !


Bref tout ça, ne me dit pas, si il faut croire oui ou non à un participation de monsieur au complot du comte de Favras ? Qu'en pensez vous ?

Lui, pour sa part, a toujours nié (toute participation).
Certains pour autant n'ont pas hésité à utiliser l'expression Faux comme Monsieur suite à cette affaire ...

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Chateaubriand, au sujet de Bonaparte : un homme qui put faire "passer un abîme d'iniquités pour la profondeur du génie".

Ecce homo - Quelle chevelure!




Mais de qui tenait-il pour être si ambitieux et si sarcastique ce gros podagre : marie-Josèphe de saxe ou Louis le dauphin

Ou des gênes ambitieux, peut-être, ayant sauté quelques générations... Ah, ça... le goût du pouvoir... ça vous fout une vie en l'air ! Je sais... c'est l'épicurienne qui parle ici, surtout à 7h du mat, dans ce monde où l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt !

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rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer

J'y pensais justement, à l'arrière-arrière-arrière-grand-père... sauf que lui avait un peu plus de prestance et point de double-menton... Mazette, les gènes, quelle histoire !

Surtout qu'il y avait Artois, aussi, qui n'avait même pas hérité de l'embonpoint familial !

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rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer

Ce que l'affaire Favras, l'affaire du collier, l'affaire du Barry, etc. ont en commun, c'est qu'elles nous jettent aux yeux l'isolement dans lequel le pouvoir place l'être couronné. Ayez des ennuis, tout le monde vous abandonne! Ayez des privilèges et l'on vous jalouse! Jusqu'à oser l'impensable.

Il n'existe pas dans les petits appartements de Louis XVI à Versailles le pendant 'bourbon' du tableau que pu concocter le peintre Roslin pour Gustave III, là ou astucieusement mais dans l'esprit des Lumières cependant, le peintre réunit les 3 frères de la cour de Suède. Aucune et aucun des artistes si nombreux du règne n'ont eut cette commande.

Louis et Toinette étaient seuls au sein de leur cour noeud de vipères, de leur monde, de leur famille mauriacienne. Et ce n'est pas une question d'attitude ou de tempéramment: Marie Antoinette est pratiquement lubrique socialement et Louis XVI est 'un saint voué à'. Pourtant ils sont seuls. Peu après ce temps enjoué des diners de famille chez Marie-Joséphine, le pouvoir vient chercher les monarques et les ostracise.

A part Lamballe qui la suivait comme un caniche ( vous savez la famille de Savoie du temps...), la femme reine avant les Tuileries est assez seule. Élisabeth est à Montreuil ou ses voyeuses deviennent des prie-dieu et Polignac quitte avant la fin du chemin de croix! Il en est de même du roi. Louis est sans confident à part son confesseur. Ah! oui Gamin....Ce n'est pas Fredéric II, ni Catherine.

Chercher l'amour familial à la Cour de France, c'est la quête du sentiment fraternel au sein des partis politiques, ce que sont en bout de ligne, les familles règnantes du temps. . . Cela n'existe pas. Les précepteurs drapés de pourpre ou de violet chuchotent aux princes français dès le berceau, que leur letmotiv est de régner. La Cour a beau les travestir...ils sont fait pour être estimés et rêgner.

Quod principem deceat ut egregius habeatur Oncle Machiavel

Pouvoir, pouvoir... que de crimes sont commis en ton nom !

Le pouvoir attire les ambitieux. Et dès lors qu'il tombe entre les mains d'un souverain un peu plus faible que ses prédécesseurs, les conspirations, complots et campagnes de calomnies se déchaînent.

N'est-ce pas lui le marquis de Favras qui fut le dernier à avoir été décapité ?

Favras n'a-t-il pas été pendu ?

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Ce siècle avait deux ans ; Rome remplaçait Sparte
Déja Napoléon perçait sous Bonaparte
(Victor Hugo)

Si !

Il fut pendu ( vite fait, bien fait ) en février 1790 et la guillotine ne commença à fonctionner que deux ans plus tard, en avril 1792. ce fut un certain Pelletier, condamné de droit commun qui participa à l'inauguration : inutile rappeler qu'il n'avait pas demandé cet honneur !

Corlin de Coubron

Pourquoi a été t-il été pendu, n'est ce pas un noble ?

La décapitation des aristocrates était un privilège dû à leur rang... mais l'abolition des privilèges est entrée en vigueur dans la nuit du 4 au 5 août 1789. En 1790, De Favras était un citoyen comme un autre...

.... logique, je n'y avais pas pensé.

Il aurait pu au moins permettre à ce que tout à chacun ait l'honneur d'être décapité.
La pendaison rabaisse le noble, tandisque la décapitation aurait rehauss les roturiers