Non vous avez raison Atlante, une méridienne est à la base un meuble.
Mais dans le cas de Versailles, c'en est devenu une pièce, abus de langage peut être . La fameuse pièce de la Méridienne.

Merci de cette précision, je l'ignorais.

Ahhhh, la méridienne de Marie-Antoinette !

Je ne suis jamais rentrée à l'intérieur ; elle est trop petite pour les groupes et on peut seulement l'admirer de la porte. Cette pièce est celle qui, pour moi, reflète le plus le goût extraordinaire de Marie-Antoinette (quoique le petit cabinet doré...)

Quelques images (un peu floues, désolée) :

Je suis frustré par rapport à cette pièce et au cabinet doré, les 2 pièces les plus représentatives de Marie-Antoinette à Versailles, car la dernière fois que je suis allé là-bas, l'accès n'était pas autorisé.
Il faut réserver à l'avance pour des visites guidées.

Ce sera pour la prochaine fois

Ben oui ! On n'a qu'à se donner tous rendez-vous !

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rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer

Ce serait une solution en effet! Et puis pas besoin de guide dans ce cas

Je n'ai jamais vu quiquonque accéder librement à ces pièces. Je les ai vues lors de visites conférences.

Je suis en train de lire le roman de Paul Belaiche-Daninos, Les soixante-seize jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie.

Un passage relate une entrevue houleuse entre François II et Fersen à Schönbrunn, au moment du transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie.
Le comte accuse violemment l'Empereur d'abandonner une nouvelle fois sa tante à son triste sort.
Les dialogues sont, je l'imagine bien, extrêmement romancés puisque Fersen en vient à outrager son interlocuteur.
Néanmoins, je me demande si l'un ou l'une d'entre-vous a connaissance de cette démarche enflammée de Fersen, ou s'il ne s'agit que d'une fiction au service de la trame romanesque de ce livre?

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Ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux...Avec délices!

Tout ce que je sais à sce sujet la nuit, la neige, c'est que Fersen a énormément traité et communiqué avec les puissances étrangères comme la Prusse, l'Angleterre, la Russie, l'Espagne et bien sûr l'Autriche encore plus intensément.
Marie-Antoinette n'avait aucune relation amicale avec son neveu François II qu'elle n'a jamais vu, et comme ce dernier n'a rien fait pour la sortir de ce pétrin, il n'est pas impossible que fersen s'en soit mélé, mais je n'ai rien lu concernant cette possible dispute...

Merci Chou d'amour.
Dommage.
Je trouvais que l'attitude de Fersen ne manquait pas de panache.
Quant aux propos tenus à l'Empereur, j'imagine qu'ils sont ceux que l'auteur aurait souhaité déclarer à sa place.

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Ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux...Avec délices!

ha mais il se peut que ce soit vrai et que l'auteur ne se trompe pas, mais c'est vrai que de tous les historiens dont j'ai lu les livres, auncun n'en a parlé.
Il est difficile de savoir si Fersen aurait osé élever le ton face à l'empereur d'Autriche...c'est vrai qu'il pouvait être impulsif, têtu, et quand il avait une idée derrière la tête il allait jusqu'au bout...mais en même temps il respectait le régime Autrichien...mystère

Voici un lien vers un site qui tente de recenser tous les guillotinés de la Révolution (âmes sensibles s'abstenir, il y a des fiches avec des détails, comme par exemple le massacre de la Princesse de Lamballe) :
http://les.guillotines.free.fr/index.htm

Houlà! La liste doit être longue

ha oui en effet elle est longue...
Concernant la princesse de Lamballe ça va encore ils ne sont pas trop attardés sur son massacre en lui même (heureusement cela dit). J'ai lu des livres qui détaillaient bien la méthodologie du massacre...immonde

Interminable liste en effet!
Ça fait froid dans...la nuque.
Glaçant.
En revanche, les autres rubriques de ce site ont l'air intéressantes (l'étude sur les régicides, les cartes de France etc...).

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