PhP a écrit :
de mémoire il y a beaucoup de témoignages de la fureur nationaliste parisienne - au moins depuis le règle de louis-Philippe ...voyez la question d'orient ou les funérailles de Napoléon
je crois que TOUS les députés ont voté la guerre (sauf Thiers).
La populace parisienne a molesté l'ambassadeur de Prusse (et pillé l'ambassade ??) - souvenir de vieilles lectures à préciser ... cette populace s'est conduite courageusement pndant le siège et sous la commune me semble-t-il.
en province, il y a eu ausi des violences contre de châtalains présumés royalistes et donc pacifistes.
C'est avec l'affaire dreyfus que la gauche est devenue antimilitariste en france - pas avant.
La France entière hurlait à la guerre.
Le peuple français nostalgique des "gloires de l'Empire", le Gouvernement et le Corps Législatif entrainé par le Duc de Gramont- Caderousse (ministre des Affaires Etrangères), l'Imlpératrice qui y voyait la chance de son fils (l'idée étant qu'après la victoire ceryaine, Napoléon III, malade, abdique en faveur de son fils).
Trois hommes seulement à ma connaissance était contre la guerre : Gambetta qui ne craignait rien tant qu'une victoire qui aurait conforté le régime impérial (c'est lui qui après le plébicite du mois de mai s'était écrié, désespéré " nous avons l'empire pour 100 ans), Tjiers qui redoutait une défaite et l'empereur lui même, qui se savait incpable de conduire le conflit et qui, par nature était révulsé par la guerre.