Bonjour à tous

Pourrait-on quelle unité de dragon se trouvait à Libourne en 1866.

Merci d'avance

Le 15e régiment s'y trouvait à partir de 1871, si cela peut vous aider.

Le 15ème dragon est recréé en 1871, il ne pouvait donc pas être à Libourne en 1866.

http://www.ancestramil.fr/uploads/01_do ... 8_1945.pdf

En 1866, c'est le 6ème dragons

http://cavaliers.blindes.free.fr/villeg ... ourne.html

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)

ayant fait une partie de ma période militaire au Quartier Lamarque ,je confirme .Le nom du 6e RD (et du 2eme Lancier) sont gravés dans la pierre de l'ancien manège.

le Moniteur de l'Armée de mai 1866 indique l'inspection du 6e Dragons encore en garnison à Lunéville depôt à Toul tandis que le Libourne a le 8e Lanciers, donc changement de garnison dans la seconde partie de l'année 1866 certainement

rappelons encore une fois qu'avant la IIIe République les régiments changeaient tous les ans ou deux ans de garnison laissant ou non leur depôt dans telle ou telle ville,
je suis assez étonné par le fait que le 6e Dragons soit resté 5 ans dans la même garnison (1866-1871) ce qui semble remarquablement long pour la période et bien peu représentatif du nomadisme annuel ou biennal ou triennal de nos régiments avant 1873

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"A moi Auvergne"

Le changement a du se produire durant l'année 1866, puisque le 11ème chasseurs est indiqué pour 1865-1866.

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)

pourquoi ? était ce pour une raison militaire (endurcir les troupes, les couper des civils, les accoutumer aux mouvements ..) ou politique (faciliter l'emploi de la troupe en mission répressive en jouant sur l'absence de liens avec la population locale) ?
ces mouvements ne compliquaient ils pas le recrutement d'engagés volontaires ?

Bonjour,
je crois que vous avez tout à fait la réponse dans votre question , les "liens Armée-Nation" n'avaient pas grand chose à voir avec ceux qui s'établiront postérieurement sous d'autres époques...
Une trop forte sédentarité aurait conduit à tisser des liens avec les populations et ce rapprochement n'était pas du tout souhaité ni encouragé et ne favorise guère une vitalité du recrutement
Comme on le sait l'Armée Française payera cher ce nomadisme en 1870 avec des régiments ici et là non organisés en Divisions et des dépôts régimentaires parfois situés à 900km de leurs propres régiments au moment de la déclaration de guerre

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"A moi Auvergne"