Thomas duke a écrit :
Zola éprouve peut-être une certaine sympathie pour l'homme, mais s'il est hostile à son régime, il ne peut être entièrement favorable à son action politique.
Et bien il a écrit ceci a la fin de sa vie je n'aie pas encore pu retrouver d'où cette citation est tirée:
"J''avais grandi au roulement des foudres de Victor Hugo: Napoléon le Petit était pour moi un livre d'une vérité absolue...je le voyais l'œil terne, furtif, les traits pâlis, à travers cette rhétorique hennissante, écumante, géniale.
Mais j'en suis revenu depuis.
Car, au fait, le Napoléon III des Châtiments, c'est un ...croquemitaine sorti tout botté et tout éperonné de de l'imagination de Victor Hugo. Rien n'est mois ressemblant que ce portrait... sorte de statue de bronze et de boue élevée par le poète pour servir de cible à ses traits acérés, disons le mot, à ses crachats. Non l'Empereur: un brave homme, hanté de rêves généreux, incapable d'une action méchante, très sincère dans l'inébranlable conviction qui le porte à travers les évènements de sa vie qui est celle d'un homme prédestiné, à la mission absolument déterminée, inéluctable, l'héritier du nom de Napoléon et de ses destinées.." Émile Zola