nonodu09 a écrit :
une seule et unique nation occidentale a compris l'interet de l'archer, qui peux se montrer bien plus devastateur que la cavalerie : LES ANGLAIS.
Rappellez vous comment nos ennemis intimes avaient taillés en pièce la cavalerie française qui etaient l'une des plus puissantes cavalerie de choc du Monde.
Pour moi le salut de l'Europe contre les mongols serait été l'Angletterre : en effet, le longbow anglais dispose d'une redoutable portée, la puissance de penetration de ces flèches pouvant traverser des armures metalliques à une distance d'environ 60 mètres, les cavaliers mongols disposait d'une portée efficace de leurs arcs à environ 60 mètres, à cette distance les archers anglais anglais auraient put tirer à bout portant et tailler en pièce les archers de cavalerie.
les archers anglais etaient capable de tirer sur des cibles en mouvement et ils pouvaient egalement decocher 10 flèches à la minute, il ya même une legende sur l'archer anglais qui dit que si vou vou trouvez sous sa portée, il vous decochera 5 ou 6 flèches avant même que la 1ere est atteint sa cible.
Ce sujet serait mieux placé dans "Histoire Militaire".
Et je ne suis pas convaincu du raisonnement : un archer qui tire 10 flèches à la minute ne vise pas. Le tir d'archer est meurtrier contre des fantassins ou des cavaliers lourds, mais pas contre des cavaliers légers qui bougent en ordre lâche.
Surtout, les Mongols ont toujours gagné face aux autres par leur mobilité opérationnelle : ils attaquent et pillent là où on ne les attend pas. Face à d'autres armées, ils simulent la fuite pour forcer l'autre à bouger. Face à des archers à pied, ils n'auraient certainement pas insisté, et se seraient certainement tenu hors de portée en attendant que les autres se déplacent.
nonodu9 a écrit :
mais il ne fait pas abstraction du comportement des armées mongols dans les villes et villages conquises, un comportement des plus animals
Je vois mal des animaux détruire des villes en massacrant la population.
Maintenant, il faut voir que ces scènes de massacre sont une constante de l'histoire militaire (les Hébreux appelaient cela la
herem, et la pratiquaient), surtout quand l'histoire est écrite par les vaincus. De plus, les Mongols sont conscients de l'impact psychologique de leurs actions. Se montrer impitoyable envers une ville qui se défend est le meilleur moyen d'obtenir la reddition d'une dizaine d'autres sans coup férir.