Victoire-Adélaïde a écrit :
De plus, la marquise parait fort triste lorsqu'elle apprend que le roi rencontre des filles de joie. Cela ne colle pas vraiment avec la réalité quand on sait qu'elle ne partageait plus le lit du roi depuis longtemps, et qu'elle s'affairait à mettre sous les yeux du monarque des demoiselles choisies par ses soins.
...son escadron volant en somme...
L'esprit qu'on lui prête est une sorte d'esprit Mortemartque Françoise-Athénaïs de Montespan colportait avec sa vivacité dans les salons de la cour du grand Roi, alors qu'il s'agissait d'un esprit moins représentatif, ce me semble, mais plus actif pour la défense des Arts et Lettres...
Son rôle de mécène n'a pas été développé comme il aurait dû l'être pour révèler le vrai apport de la Marquise aux lumières...
Bien à vous.