au cinéma, ce sont les gentils qui gagnent les bagarres, mais dans la vie quotidienne, ce n'est pas forcément le cas... (c'est ce que j'explique à mes enfants, un drame peut arriver très vite !)

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… il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer…

A ce titre on peut faire le distinguo entre bagarre et combat.

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> Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
( Jean Jaurès )

Ce n'est pas tout à fait exact. Dans de nombreux scenarii, les gentils commencent par perdre les premières bagarres. Mais ensuite, grâce à leurs grandeurs d'âmes, à leur force morale, ils gagnent la victoire finale.

Dans la vraie vie, la première bagarre peut être la dernière. Ou nous laisser tellement réduit qu'on ne peut mener de nouvelles bagarres.

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Une théorie n'est scientifique que si elle est réfutable.
Appelez-moi Charlie

Dans Les grandes gueules de Robert Enrico ( 1965), le héros gagne mais s'écroule et meure après avoir été félicité par ses amis .

Mais il ne faudrait pas non plus se méprendre sur l'intention d'un réalisateur. A aucun moment Christophe Gans n'a voulut faire un film historique en faisant Le Pacte des loups. Gans est un très grand fan de cinéma asiatique, il a même distribué en France de nombreux films hong-kongais dans les 90's. C'est ce qui ressort de ce film. Il a mis beaucoup d'ingrédient de films asiatiques, transposé dans un contexte français. C'est ainsi le cas avec le personnage de Mark Dacascos, acteur martial, et aussi lors du duel final où Vincent Cassel utilise une sorte d'épée-fouet qui est une arme qui apparaissait dans plusieurs films de hong kong des 70's. Ce n'est même plus une question d'anachronisme, c'est de l'imaginaire total. Pareil avec Vidocq dont rien que la photo et la manière dont il a été filmé montre qu'il n'offre qu'une vision fantasmé de l'époque historique, il n' ya pas de volonté de réalisme.

Il semble donc logique que dans ce genre de film les combats soient particulièrement chorégraphié dans un souci d'esthétisme et de grand spectacle. A titre personnel j'aime beaucoup, car je suis notamment un grand amateur de ciné de Hong Kong des 70's.

Pour les films de boxe, je conseillerais de L'ombre à la lumière avec Russel Crowe. Film ayant pour cadre la dépression des 30's, le film montre bien la dureté de cette époque et les combats sont assez réalistes, le héros n'ayant plus que ça pour faire vivre sa famille dans ce contexte difficile.