bonjour
quelqu'un sait il quelle quantité de lumière artificielle a été rajoutée réélement dans les scènes à la bougie de barry lindon. Je cherche un maximum d'info technique sur ces scènes. Merci de citer vos sources si c'est possible.

merci

J'ai toujours lu et entendu que lors de ces scènes, il n'y avait AUCUNE lumière artificielle. C'était une exigence de la part de kubrick, et étant donné sa personnalité et le fait qu'il s'est creusé les méninges pendant des mois et des mois pour y parvenir, je serais extrêmement surpris qu'il ait rajouté de la lumière artificielle...

En effet, il n'y a aucune lumière artificielle dans Barry Lyndon (avec des Y partout). Cela n'empêche pas certaines scènes d'être assez peu crédibles : ainsi la chaumière de la paysanne allemande qui accueille Redmond déserteur compte trop de chandelles, mais c'était là un minimum pour impressionner la pellicule, malré la performance de l'objectif utilisé. Cela dit, je peux pardonner beaucoup à Kubrick !

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Ad augusta per angusta
"Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être..." Goethe

d'où tenez vous ça, n'est ce pas une légende ? Même si elle est partagé par un grand nombre.

Je le tire de tout ce que j'ai pu lire sur Kubrick, notamment le livre incontournable de Michel Ciment et la biographie par John Baxter.

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Ad augusta per angusta
"Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être..." Goethe

Pareil pour moi. Les livres de Michel Ciment et de John Baxter étant sans aucun doute les meilleures références.



Ce n'est pas une légende car il existe des témoignages et notamment celui de Kubrick. Et puis on peut s'en rendre compte en visionnant le film...
Il n' y avait aucune lumière artificielle dans ces scènes à la bougie. Et même dans les scènes d'intérieur de jour, les ajouts de lumières artificielles étaient placées à l'extérieur, et traversaient, en plus des fenêtres, un filtre transparent.

merci

Je confirme ce qui a été dit par Noacyl et Fabien et je le tire du documentaire "A life in pictures" qui fut vendu à l'époque dans un coffret Stanley Kubrick avec la majorité de ses succès.

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"La culture de la pomme de terre est un témoin géographique de la découverte de l'Amérique, comme celle de la betterave est une conséquence du Blocus continental"
* L.-E. Halkin