Bonsoir à tous,
Mes impression à propos de film.
Deux les reconstructions scéniques d'autre part de bonne valeur historique: les fortifications sur le Danube et le Forum, entre autre le plus grand en absolu jamais construit sur un set cinématographique.
L' histoire d'amour entre Livio, Stephen Boyd et la soeur de Commodo Lucilla, Sophia Loren est complètement hors de propos vu le sujet.
À front d'un bon Alec Guinness dans la partie du vieil empereur nous trouvons un Commodo/Plummer vu comme un Caligula ou un Néron, c'est-à-dire brutal, visqueux et franchement inacceptable du point de vue historique qui n'hésite pas à succéder au parent qui se trouve par contre à faire la partie du vieux bon brutalement et sage.
Naturellement en étant le mauvais du film faut inspirer dans le spectateur absolument le sens du dégoût et il nous réussit s'il ne se connaît pas au moins un peux l'histoire vraie.
Le succéder des actions temporales est assez véridique mais cela limite peut-être vraiment le film parce qu'il est difficile de se remuer dans le champ historique et en même temps du ficton.
D'autre chant aussi l'illustration personnifiée par James Mason, Timonide résulte être trop de pacifiste de manière universelle, dehors de l'historienne logique du moment, en outre si le protagoniste est un esclave qu'il se permet de critiquer tous et tout: une illustration de rhétorique de saint!
Les opérations de guerre et les batailles sont construites bien, contre les marcomanne barbares, les Parthes, mais à la longue ils ne gravent pas sur le film pas du tout, ils résultent être comme des documentaires insérés pour remplir la pellicule, beaux mais inutiles.
Exceptionnels pour contre les reprises dans le Forum, vraiment exceptionellei avec les scènes de masse péché que le tout soit abîmé par le duel final, ridicule, entre Boyd/Livio et Plummer/Commodo qu'il se termine avec la victoire du bon, Livio, au détriment du démoniaque Plummer (Commodo) qu'il meurt et il laisse l'empire au vainqueur, au moins celle-ci c'est la fiction...
Splendide par contre, et il n'est pas ce sera la seule au cours de sa carrière, l'interprétation du gladiateur Verulo de la part d'Anthony Quale, le sien est un camée très beau et vraiment et complètement centré, péché que ce ne soit pas un protagoniste du film.
Entendons-nous, le film est trop loin, plus dans la version anglaise qui dans cette Italienne, je ne sais pas en cette française, et par traits très ennuyeux, rouleau de viande toujours mais au moins il nous offre quelque belle scène en bon style romain et celui-ci est déjà suffisant pour sauver vu le les massacres achevés dans les kolossal américains des ans '30 / '50 et de celui-ci donnée mérite va au metteur en scène Mann qu'en il nous donne plus une société romaine différente, moins romane et plus influencée par provenances ethniques différentes.
A bientot.
Enrico
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