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Message Publié : 02 Août 2006 2:35 
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Grégoire de Tours
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MAFIA BLUES

Comédie sur la mafia de New York.

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Date de sortie : 29 Septembre 1999
Réalisé par Harold Ramis

Avec Robert De Niro, Billy Crystal, Lisa Kudrow

Film américain. Genre : Comédie
Durée : 1h 43min. Année de production : 1999

Titre original : Analyze This

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Ben Sobel est un modeste psychiatre qui mène une vie paisible jusqu’au jour où débarque dans son cabinet un puissant mafioso de New York:Paul Vitti. Ce dernier a toutes les chances de devenir le prochain parrain de la côte Est. Mais depuis quelques temps, il souffre d’étranges symptômes: crises d’angoisse et de larmes incontrôlées. Ben ne dispose que de quelques jours pour guérir ce patient qui risque à tout moment de lui faire la peau...

Si le psychiatre new-yorkais Sobel ne croit plus guère à l'efficacité de son savoir sur des patients atteints de névroses d'une banalité consternante, il va changer d'avis quand Paul Vitti, connu comme l'un des gangsters les plus puissants de New York, franchit autoritairement la porte de son cabinet. Le redoutable malfrat souffre d'étranges symptômes : bouffées d'angoisse, blocage, accès de culpabilité, crises de larmes incontrôlées. Il ordonne à un Sobel terrifié de le guérir rapidement car l'élection du nouveau parrain de la côte Est approche.


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Message Publié : 02 Août 2006 2:36 
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Un flic dans la mafia

Série trés réaliste.

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Ken Wahl : Vinnie Terranova (saison 1 à 3)
Jonathan Banks : Frank McPike
Jim Byrnes (Highlander) : Dan "Oncle Mike" Burroughs
Ray Sharkey : Sonny Steelgrave
Joan Severance : Susan Profitt
Kevin Spacey : Mel Profitt
William Russ : Roger Lococco
Steven Bauer : Michael Santana (4ème saison)
Cecil Hoffman : Hilary Stein (4ème saison)
Martika : Dahlia Mendez (4ème saison)
Gerald Anthony : Père Pete Terranova
Elsa Raven : Carlotta Terranova (Aiuppo)
Ken Jenkins : Paul Beckstead
Dwight Koss : Mark Cermak

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Après une enfance passée à Brooklynn, Vinnie Terranova est devenu un agent de l'OCB, l'Organised Crime Bureau.

Un séjour en prison lui ayant procuré une solide couverture, il est chargé d'infiltrer diverses organisations criminelles. A commencer par celle dirigée par Sonny Steelgrave, à New York.

Il est aidé de son superviseur Franck MacPike et de son "ange gardien"-standardiste, l'"oncle Myke". Une excellente série, remarquable par sa construction en arcs ou cycles regroupant plusieurs épisodes. Le premier, l'arc Steelgrave, est de loin le meilleur. A noter aussi, les débuts de Kevin Spacey dans le rôle de Mel Profit.

Vincente Terranova (Ken Wahl) n'est pas un vrai "méchant". Il travaille sous couverture pour infiltrer le monde du crime et sa conscience professionnelle l'a mené à supporter la prison pour protéger sa nouvelle identité. Mais sa mère ne le sait pas et il n'a pas le droit de la lui dire.

Ses contacts sont Frank McPike (Jonathan Banks) et surtout l'oncle Mike (Jim Byrnes), tous les deux au service de l'OCB.

Au cours des quatre saisons, ses deux ennemis principaux sont Dave Steelgrave (Ray Sharkey) et Mel Profitt (Kevin Spacey) dont la sculpturale soeur Susan (Joan Severance) ne laisse pas Vinnie de marbre. Un indic du nom de Roger Lococco (Willian Russ) peut être considéré comme le seul "ami" de Vinnie et son frère, le Père Pete Terranova, est le seul dans le secret de Vinnie.

Prêt à tout, du pire au meilleur afin de sauver sa peau et sa mission, Vincente doit affronter en toute intelligence des monstres en col blancs, des financiers véreux et des mafieux sans scrupules.


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Message Publié : 02 Août 2006 2:37 
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Il était une fois dans le Bronx


[center]Image[/center]


Date de sortie : 20 Avril 1994
Réalisé par Robert De Niro

Avec Lillo Brancato, Robert De Niro, Chazz Palminteri

Film américain. Genre : Comédie dramatique
Durée : 2h 1min. Année de production : 1993

Titre original : A Bronx Tale

L'histoire de la communauté italienne des années 60 dans le Bronx à travers les yeux de Calogero, neuf ans, qui hésite entre la vie de son père, honnête travailleur, et celle des affranchis, qui semble plus prometteuse.

Le Bronx, début des années 60. Fils d'un modeste conducteur de bus, Calogero, 9 ans, est témoin d'un meurtre perpétré par Sonny, le caïd du quartier. A la police qui lui demande d'identifier l'assassin, l'enfant ne dira rien. Huit ans plus tard, alors que Calogero est devenu un adolescent rebelle, Sonny, reconnaissant, décide de le prendre sous sa protection.

Le jeune garçon, fasciné par ce gangster certes impitoyable mais généreux et respecté de tous, se laisse influencer, apprenant peu à peu les règles du Milieu. Cependant, Lorenzo, le père de l'adolescent, n'accepte pas de voir son fils mal tourner...

[center]Image[/center]


Adapté d'une pièce de Chazz Palminteri, le film marque les débuts de Robert de Niro en tant que metteur en scène. Au début, Palminteri avait conçu un monologue sur certains de ses souvenirs d'enfance. Peu à peu, l'ensemble s'est étoffé jusqu'à atteindre les dimensions d'une pièce qui tint l'affiche plusieurs mois à Los Angeles puis à New York. Pour interpréter tous ces visages qui émaillent la 187e Rue, De Niro fit appel à des comédiens non professionnels (pour la grande majorité d'entre eux) afin de leur conserver un aspect aussi réel que possible. Les seuls acteurs professionnels qui interprètent un rôle dans le film sont tous issus du milieu. "Ils comprennent ainsi de quoi il s'agit", avoue De Niro.

Si la plupart des scènes ont été tournées dans le Bronx même, certaines d'entre elles furent toutefois filmées dans le Queens, plus précisément dans les rues avoisinant les studios Astoria. Chazz Palminteri se souvient : "Jeune, je pouvais voir les affranchis au coin de la rue, avec leurs belles voitures et leurs costumes rutilants, et je me disais qu'ils étaient de vrais durs. Mais en vieillissant, j'ai réalisé que c'était le travailleur, celui qui se lève tous les matins pour faire un boulot qu'il n'aime pas vraiment mais qu'il accomplit pour sa famille, qui était le vrai dur. Ceci est l'histoire d'un gamin qui doit faire des choix. Des choix qui peuvent altérer sa vie pour toujours."


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Message Publié : 02 Août 2006 2:38 
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Romanzo criminale,
L'histoire vraie de la bande des Magliana à Rome




[center]Image[/center]


1975. Le Libanais a un rêve : conquérir Rome. Pour réaliser cette entreprise sans précédent, il met en place une organisation criminelle sans pitié. Pendant 25 ans elle se développera et son histoire sera indubitablement liée à la période la plus noire que l'Italie ait connue ces années-là : terrorisme, enlèvements et corruption au plus haut niveau politique.
L'inspecteur Scialoia ne cessera de traquer cette organisation, tout en conquérant le coeur de Patricia, la femme de l'un d'entre eux.



Cette bande a réellement existé, la bande des Magliana. Dans le film, on retrouve le Libanais, le Froid, le Dandy et Andrea. Dès le début, le petit Andrea disparait. Quelques années plus tard, les trois petites frappes accompagnés par les amis du village vont enlever le richissime baron Rosselini. Le rapt dérape et ils assassinent le baron, mais touche les millions tant attendues. Ils suivent alors le Libanais et mettent le jackpot au service de la création d'une organisation criminelle qui à pour but de faire main basse sur Rome, la capitale. Ils débarquent, investissent dans la drogue, tuent tout les bons traficants en place dans les instances dirigeantes et tout les hommes dangereux, et se retrouvent vite au pouvoir. Jusque là rien de très original pour un film noir, mais le film de Michele Placido est placé dans un contexte particulier, qu'il décrit merveilleusement : l'Italie des années difficiles, l'Italie qui a peur. Le Dandy prostitue Patrizia et monte une maison close, le Libanais devient l'empereur du trafic de drogue, comme il aime s'en expliquer, le Froid, plus pieds-sur-terre, poursuit l'aventure avec ses amis d'enfance mais garde un pied dans la "vie minable" : celle des gens "normaux". Il tombe même amoureux d'une amie de son jeune frère et souhaite s'évader de cette vie. Ses associés doutent alors de lui mais, tout pourrait aller pour le mieux pour l'instant si seulement il n'y avait pas un vaillant commissaire pour essayer, à tout prix, de faire chuter l'organisation : le Commandant Scialoia. Il est seul contre tous, même contre le système qu'il défend : la corruption déteint sur ses enquêtes, mais c'est un incorruptible : il y arrivera. Il fait tomber le Libanais, qui ressortira grâce à des appuis politiques. Scialoia enquête sur Dandy mais tombe dans une relation ambïgue et intense avec Patrizia, la putain du gangster. Seulement, dans ce milieu, on peut mourir pour un mot ou un regard, qui que l'on soit, et le Libanais est poignardé, après l'attentat de Bologne. Le Froid veut venger son ami avec qui il était brouiller, il reprend les affaires en main, avec fermeté. Mais, il tombera lui aussi en cellule, avec tout les autres sauf un: le Dandy. Il devient donc le patron de l'organisation et s'installe avec Patrizia : il le jure, il ne tuera pas Scialoia. Le Froid apprend la mort de son frère, un junky, et il s'empoisonne pour sortir de prison, pour enfin revoir l'amour de sa vie, ne plus la décevoir, sa madone, Alberta (superbe Jasmin Trinca), la seule dose de pureté buccolique et quotidienne dans sa vie de bandit, il laisse le pouvoir au Dandy et s'installe en France. Désormais, cette vie de voyou le dégoute mais son empoisonnement le condamne. En Italie, le Dandy est assassiné et les affaires ne tournent plus. Scialoia et la loi triomphe, et le Froid, juste avant de mourir, décide de rentrer à Rome pour régler un dernier compte et expliquer toute l'organisation à Scaloia, mais il n'en aura pas le temps. Un tireur masqué l'abat : surement un de ces barbouzes qui ne désirait pas laisser le Froid raconter tout ce qu'il savait des activités doubles de certains officiels italiens, ceux-là même qui avait aidé le Libanais a sortir de prison et qui ne voulait pas que ces méthodes s'éfritent dans le bureau de Scaloia. Le réalisateur italien Michele Placido expose ici son Italie noire des années 70 sur une toile digne d'un tableau de maître, Modigliani ou Vinci. Ayant été policier dans les années 60, ce film pourrait etre présenter comme un témoignage de ce réalisateur, qui s'appuie aussi sur le livre éponyme de Giancarlo de Cataldo et sur les faits racontés par les membres encore vivants de ce clans de truands.


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Message Publié : 02 Août 2006 2:38 
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Le Chacal
Un gang Russe engage un super tueur solitaire pour assassiner la femme du président des états unis


Date de sortie : 28 Janvier 1998
Réalisé par Michael Caton-Jones

Avec Bruce Willis, Richard Gere, Diane Venora.

Film américain, britannique, allemand, japonais. Genre : Policier
Durée : 2h 4min. Année de production : 1997

Titre original : The Day of the Jackal

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Le FBI est sur les dents. Un tueur implacable a été engagé par une organisation criminelle Russe pour supprimer l'une des plus importantes personnalités politiques des Etats-Unis. Sunomme le Chacal, cet homme reste insaisissable, changeant constamment d'identité. Carter Preston, directeur adjoint du FBI, affronte la plus difficile mission de sa carrière. Pour la circonstance, il fait équipe avec Valentina Koslova, major des services de renseignement russes. Ils demandent à Declan Mulqueen ancine membre de l'IRA, un familier de l'espionnage et du terrorisme ayant cotoyé le Chacal, de s'associer avec eux.

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Message Publié : 02 Août 2006 2:39 
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A suivre :wink:


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Message Publié : 02 Août 2006 2:55 
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Plutarque
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Un très bon film d'Abel Ferrara, Nos funérailles, aborde ce sujet aussi, en toile de fond seulement...


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Message Publié : 02 Août 2006 6:31 
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exact grand film avec l'immense Chritopher Walken, mais le topic n'est pas finit. :wink:

Nos funérailles


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Nos Funérailles
The Funeral
USA, 1996
De Abel Ferrara
Scénario : Nicholas St-John
Avec Christopher Walken, Chris Penn, Annabella Sciorra, Isabella Rossellini, Vincent Gallo, Benicio Del Toro
Photo : Ken Kelsch
Musique : Joe Delia
Durée : 1h39




New York, années trente. La famille Tempio se réunit pour pleurer un de ses membres, Johnny, qui vient d’être assassiné. Il y a là Ray, le chef du clan, qui n’attend que le moment propice pour venger la mort de son jeune frère. Il y a aussi Chez, l’autre frère, dévoré par une maladie mentale qui le rend incontrôlable. Et puis il y a les femmes, veuves noires à la dignité opaque. Ensemble, tous se souviennent de Johnny. Mais vient l’heure de la vengeance, suivie du cortège de haine et de folie qui l’accompagne.


Dans la filmographie d’Abel Ferrara, The Funeral fait suite à The Addiction (1995). Les points communs entre ce dernier, qui traite du vampirisme contemporain, et le suivant, sur la dérive d’une famille mafieuse à l’époque de la prohibition, sont nombreux, même si cela peut paraître surprenant. Il faut dire que l’œuvre d’Abel Ferrara se distingue par une cohérence d’ensemble remarquable autour d’un thème, qui pourrait être résumé ainsi: la chute de l’homme.


FILM NOIR

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Nos Funérailles donne l’étrange impression au spectateur de se retrouver devant un film en noir et blanc. En effet, tout y est noir: les costumes des personnes endeuillées, les limousines, la nuit qui enveloppe les scènes extérieures et les salles de cinéma… La seule couleur vive est celle du sang, synonyme de mort et de souffrance. Ce rougeoiement au milieu des ténèbres symbolise à merveille l’état crépusculaire du film. Mais il s’agit bien d’un polar, d’un film de genre ou plutôt qui va jusqu’au bout de son genre. Nos Funérailles porte alors vraiment bien son nom, puisque Ferrara enterre le mythe des gangsters flamboyants de façon plus cruelle et plus définitive encore que ne l’ont fait Coppola ou Scorsese. Et d’une manière tellement brillante. Maîtrisée à l’extrême, la réalisation épate par son élégance chez un auteur à qui on a souvent reproché son côté foutraque. La lenteur du rythme en fait un film austère, mais parfaitement adapté au s*c*r*i*p*t* de Nicholas St-John, scénariste attitré de Ferrara, qui a ciselé des dialogues fabuleux. Une seule phrase de Jean (Annabella Sciorra), l’épouse de Ray (Christopher Walken), résume l’essentiel: "Ce sont des criminels, et il n’y a absolument rien de romantique là-dedans".


LA NUIT DES MORTS-VIVANTS


Christopher Walken n’a jamais autant ressemblé à un mort-vivant, plus encore que dans Le Roi de New York, déjà sous la direction de Ferrara. Véritable vampire, il suce le sang de sa famille, qu’il mène à sa perte. Son frère, Cesarino, dit Chez, prend conscience de cette impasse. Chris Penn habite ce personnage. Découvert chez Tarantino dans Reservoir Dogs, il est l’absolue révélation du film, qui lui offre le rôle de sa carrière. Toute la douleur de son âme transpire dans sa magistrale interprétation d’un blues. Vincent Gallo est le jeune frère assassiné. Passionné de cinéma, il ne s’intéresse pas vraiment aux "affaires" de la famille. Mais est-il vraiment l’innocent injustement frappé? Quant aux actrices, aux noms prédestinées de veuves siciliennes (Annabella Sciorra et Isabella Rossellini), elles jouent à merveille l’impuissance et la détresse devant la violence masculine. Mais cette fois leur amour ne suffira pas à la rédemption. Car la mort recouvre tout de son voile noir: elle ouvre le film par un enterrement, et le clôture par un massacre.


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Message Publié : 07 Août 2006 19:40 
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Salluste
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J'adorai la série un flic dans la mafia! c'était en quelle année déja qu'elle passait? Et sauriez-vous si elle est sortie en DVD, j'aimerai la revoir!


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 Sujet du message : Mafia et cinéma
Message Publié : 08 Août 2006 5:34 
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Eginhard
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Localisation : guilers - brest métropole océane
Il ne faut pas oublier celui-là quand même ! :D

http://dvdtoile.com/Film.php?id=763


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 Sujet du message : Cinéma et mafia.
Message Publié : 08 Août 2006 5:37 
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Eginhard
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Inscription : 08 Mars 2005 22:10
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Localisation : guilers - brest métropole océane
Et celui-là :

http://dvdtoile.com/Film.php?id=11908


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Message Publié : 14 Août 2006 23:00 
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Hérodote
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Inscription : 08 Mai 2006 13:19
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En tout cas merci pour cette compilation de film, je suis moi même italien et je suis un adepte de ce genre de cinéma.
Pour ma part j'ai était bercé par certain de ces monstre cinématographiques, notamment par la cultissime trilogie du parrain et par "il était une fois dans le Bronx", je suis heureux d'avoir pu apprendre dans ton post le nom d'un film que j'avais vu il y a de cela pas mal d'année et dont j'avais totalement oublié le nom (casino).

_________________
Pardonnez mon orthographe exécrable, mais j'y travaille


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Message Publié : 17 Août 2006 16:25 
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Eginhard
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Il y a aussi le premier Scarface de Howard Hawks (1932), qui s'inspire de l'histoire d'Al Capone.

[img=http://img293.imageshack.us/img293/7870/scarfacezs9.gif]

_________________
« Le luxe [...] corrompt à la fois le riche et le pauvre, l’un par la possession, l’autre par la convoitise ; [...] il ôte à l’État tous ses citoyens pour les asservir les uns aux autres, et tous à l’opinion. »


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Message Publié : 17 Août 2006 16:33 
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Eginhard
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Inscription : 09 Mai 2006 21:43
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Désolé pour l'erreur de manip précédente !

J'ajouterais deux films qui portent sur Jimmy Hoffa, président du Syndicat des camionneurs américains, soupçonné de blanchir l'argent de la mafia et disparu mystérieusement en 1975 :

F.I.S.T. de Norman Jewison avec Sylvester Stallone dans le rôle titre (1978) (le personnage s'appelle Johnny Kovak mais l'histoire est très fortement inspirée de celle de Hoffa).

Hoffa de Danny DeVito avec Jack Nicholson (1992).

_________________
« Le luxe [...] corrompt à la fois le riche et le pauvre, l’un par la possession, l’autre par la convoitise ; [...] il ôte à l’État tous ses citoyens pour les asservir les uns aux autres, et tous à l’opinion. »


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Message Publié : 17 Août 2006 22:13 
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Salluste
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On peut également citer deux séries que je trouve pour ma part formidable et qui traitent dans certains de ses épisodes au cours des saisons de la mafia:
-Law and Order (New york police judiciaire pour la version française)ainsi que son spin-of (New York section criminelle) où il y'a eu de très bons épisodes sur la mafia dont le scénario était digne d'un film du genre.

-Third Watch (New York 911) dont le réalisme souvent très frappant par la qualité de ses scénarios et de ses acteurs, traite souvent du sujet de la mafia avec des épisodes qui nous font plonger dans l'univers du crime organisé!
Vraiment pour ceux qui ne connaissent pas je conseille vivement ces séries intelligentes et réalistes!


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