Bonjour,
peu importe je vous prie mon nom ... je suis en quête d'explications plus que d'avis ; brièvement je suis auteur et essayiste depuis des décennies et mes sujets principaux se portent sur les mystères de l'histoire et des sciences ...
J'aimerais communiquer ici avec un (ou des) historien qui connaît très bien la ville de Paris du XIXème siècle, un ingénieur de l'histoire. Une personne fiable pouvant me donner des explications. Mais je serai évidemment attentif aux messages de toute personne, laissez-moi le temps de répondre.
j'ai vu que votre forum était bien fréquenté, alors voilà : je connais bien les sciences techniques et l'histoire et au top. Je suis sur un article et je me suis interrogé en suivant mon sujet principal qui restera pour l'instant secret, ce qui ne devait pas poser de problème.
Mes éditeurs exigent pour tout article que je maîtrise parfaitement mes sujets.
Mon étude de recherches d'argumentations quasiment scientifique m'a amené à en venir à examiner avec la plus grande attention les photographies des lampadaires de l'ancien Paris, celui du 19e siècle, celui où ses rues et ruelles ont été détruites ou rénovées avant Haussmann.
(il y en a environ 430 photographies de C. Marville sur des thèmes différents.)
C'est en examinant de près les photographies de C. Marville que j'ai constaté qu'il y avait de "l'eau dans le gaz".
Durant plusieurs années Charles Marville photographie l'ancien Paris et les quartiers qui seront rattachés à Paris avant ses rénovations.
J'ai constaté que la ville (et quartiers futurs) n'était pas mal éclairée du tout, puisque chaque rue, ruelle, pont et passage possédait un lampadaire tous les 12 mètres, même parfois là où l'on s'y attendrait le moins, les photographies en témoignent.
On voit des lampadaires formidables en fonte digne d'orfèvre, sûrement inventés par de grands artistes (?) des lampadaires fixés, scellé sur un mur tout différent les uns des autres dans tout Paris, il n'y a aucun endroit n'ayant pas un éclairage, les photographies témoignent.
Je n'invente rien ! il y a des photos que tout le monde peut voir ces photographies sur des sites Internet.
(Je mets des liens à la fin)
Il y a des centaines de milliers de réverbères imaginez le nombre de personnes qu'il faudrait pour allumer chacun d'entre eux.
On nous dit que tous ces lampadaires fonctionnaient au gaz d'éclairage, l'histoire officielle prétendrait que les conduites de gaz d'éclairage étaient enterrés (?) ... mais tout Paris était éclairé ! dans ses moindres recoins de rues, dans des passages les plus difficiles....
Factuellement les distributions schématiques qu'ont nous montrent ne pourraient suffire par rapport aux photographies, à cause de la quantité de lampadaires, les plans ne donnent rien d'autre que l'emplacement de conduites principales, aucun détail sur des raccordements.
C'est bizarre on croirait un décor, le passage de canalisation serait impensable, surtout dit-on que ces lampadaires furent installés beaucoup plus tard que les constructions d'immeubles et de rues, des édifices et maisons existant depuis le moyen-âge.
Ce lampadaire est techniquement impressionnant.
On est en droit de questions .....
et celui-la ? 1 tous les 12 mètres sur des dizaines de mètres dans ce passage exactement tout identique à celui-ci.
Pourquoi on ne trouve pas de plan original (?) pas d'archive sur l'emplacement de chaque lampadaire (?) ni sur la technique employée (?) alors qu'on a tous les documents qu'il faut pour d'autres techniques bien plus anciennes.
Si ces dites canalisations étaient enterrées, quel fut le procédé pour encastrer ces conduites de gaz (?) des passages dans la pierre (?) dans des lampadaires même (?) impossible ! puisqu'ils sont en fonte pleine pour éviter un pliage du réverbère et autres incidents nous dit-on (?) . Mais on n'a aucun incident répertorié si ce n'est dans les endroits clos ouverts au public.
Il est à remarquer que les tubes de canalisations au gaz d'éclairage intérieur des salles et couloirs publiques (Opéras -
Théâtres - Musées ... etc ...) étaient apparentes ... étrange ... La technique était identique avec celle des rues.
On a des témoignages qui racontent que lors de l'allumage de ces lampadaires à gaz d'éclairage intérieur émanait une fumée et une odeur d’œuf pourrit et l'allumage devait s'effectuer quelques heures avant les ouvertures des salles. ... étrange ... non ?
On a des lampadaires situés à des endroits où une distribution de gaz d'éclairage paraît impossible, on remarque une grande partie de réverbères suspendu en horizontal carrément sur l'angle d'un mur (?) un nombre impressionnant de photographies montre des lampadaires verticaux installés sur de la pierre massive, d'autres sont à même sur le support forgé et amène à penser qu'une alimentation au gaz est irréalisable. Aucun système technique n'existait pour façonner un tel carottage pour introduire en plus des conduites de raccordement de gaz, on ne sait avec quels matériaux ... certainement pas en plomb.
C'est ainsi qu'on le voit sur toutes les photos !
Par quel moyen ce lampadaire est alimenté en gaz d'éclairage (?)
Une distribution de gaz d'éclairage pour chaque lampadaire semble techniquement irréalisable ; surtout à cette l'époque, qui n'a pas encore de connaissance des techniques de soudures, ni vraiment des systèmes d'étanchéité, alors qu'on a affaire à une énergie très difficile : le GAZ, ce n'est pas rien, la moindre erreur est fatale.
Nulle part on aperçoit sur une photographie un système de sécurité, on n'a rien, pas de vanne d'arrêt à proximité pour isoler un défaut, ni autres techniques apparente.
Les lampadaires sont scellés à même les murs et angles du coin de rue, on se demande comment on a fait pour leur raccordements, on n'aperçoit jamais sur les photographies un quelconque conduit de distribution de gaz (?) pas un tuyau d'alimentation, rien ! Les lampadaires ne sont même pas numérotés. On nous dit que Paris comptait plus de 27000 lampadaires et 11000 en plus sur les territoires qui seront adoptés par la ville de Paris, ainsi on arrive à quelque 30000 lampadaires.
Regardez bien ce lampadaire, c'est surprenant qu'il soit au gaz, aucune distribution ne semble l'alimenter.
Regardez ce lampadaire sur la gauche, ils sont des centaines posés ainsi sur l'ange du coin du mur de la rue.
Qu'est-ce-que cela veut-il dire ?
Y a t'il un ingénieur pour m'expliquer çà ?
Au début du lampadaire électrique mural (j'ai vérifié sur des photos) on voit qu'ils sont alimentés par des cables volants et attachés aux façades (?). Pourquoi on n'est pas passé par les dits passages du gaz ? Pourquoi ce principe n'a pas été prévu ?
Les photographies montrent une réalité, qu'il y a autre chose, voyez que sur toutes les photographies on retrouve exactement toujours le même principe (voir ci-dessous) vous pouvez le vérifier sur le web.
Ce même système d'éclairage (dit au gaz) est présent partout sur TOUTES les photographies de lampadaire.
La propreté du vitrage de tous les lampadaires est exemplaire, nickel chrome.
Comme pourrait-il être un lampadaire à Gaz d'éclairage (?) puisque les photographies montrent deux conduits, la tige verticale est de même longueur et épaisseur que celle horizontale, contrairement à ce qu'on nous dit, il ne s'agit pas d'une manette je l'ai vérifié attentivement à l'aide de plusieurs photographies.
On ne trouve rien pouvant expliquer ce genre de technique employée (?).
Y a-t-il un ingénieur qui pourrait m'expliquer ça ? Par exemple avec un schéma explicatif et arguments techniques.
Comme je vous l'ai dit précédemment je cherche à avoir une explication à ce phénomène.
J'attends SVP vos arguments expérimentés, de connaisseur, je ne demande pas un avis lambda, plutôt une explication
concrète.
Je ne vous demande pas non plus à quel endroit - "où" je pourrais trouver des renseignements ...
J'ai une réponse impossible et pourtant elle ne pourrait n'être que vraie, puisque j'en suis venu à ces fameux lampadaires ...
mais elle est totalement décalée par rapport à ce qu'on nous dit de l'histoire elle-même et sur les techniques des anciens.
En vous remerciant de ne pas copier/coller mon sujet pour un autre site sans mon consentement.
Cordialement bien à vous.
https://www.laboiteverte.fr/lumieres-de-paris-1870-charles-marville/https://www.unjourdeplusaparis.com/paris-reportage/charles-marville-photos-de-paris-avant-haussmann