Bon...j'écris "ici",mais ce n'est sans doute pas l'endroit "idéal-idéal",j'en conviens ...

C'est une question de goût concernant les vins et plus encore les bières .

Quelqu'un aurait-il une explication sur le fait que le goût des vins et bières change du tout au tout en fonction de la cpacité de leur "flacon d'origine" .

Dans mon coin par exemple,on fait une bière extraordinaire en bouteille de 1 litre .
On ne la soutire que quand elle est arrivée à maturité .
Il n'y a donc plus rien qui se passe dans la bouteille prète à l'envoi .
Au soutirage,on soutire de la même cuve et n'importe quand ce qui deviendra tantôt une bouteille de 1 litre et tantôt une bouteille de 25 cl .

Bon: la bouteille de 1 litre est un régal .
La bouteille de 25 cl est imbuvable .

Idem avec d'autres bières,et également avec des vins .

Je n'en vois vraiment pas la raison .

Merci .

Question "goût-technique-économie..." .

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A Berthold le Noir,
Et Hiram Maxim ,

L'Humanité reconnaissante !

Je n'ai aucune réponse, mais je connais peut-être l'homme de la situation, je vais lui transmettre la question.
Pouvez-vous être plus précis sur le mot imbuvable ? Qu'est-ce qui diffère dans le goût, plus ou moins d'amertume, de tel arôme... ?

Cela dit, si l'on pose le problème d'un point de vue théorique :
Rien ne dit qu'il ne se passe plus rien dans la bouteille après son bouchage. En bouteille, les vins vieillissent, et de façon fort variable. Il y a même des vins comme le Gewurz, qui, si on attend vraiment longtemps vont donner, en gros, dans 80% des cas du vinaigre et dans 20% des cas un nectar des Dieux (ce pourquoi les vignerons mettent des bouteilles à vieillir mais ne peuvent les vendre).
Mais il est vrai que la bière est en général bue rapidement après mise en bouteille, pas dix ans après en tout cas ! Serait-ce une histoire de dépôt qui reste plus ou moins en suspension ?

Merci pour la réponse .

Non : "imbuvable" pour dire que ça n'a strictement rien à voir avec le gout de l'autre bouteille,mais c'est très "buvable" hein ...

Cette question me chipotte depuis longtemps à la fois d'un point de vue physico-chimique et d'un point de vue économique .

Merci .

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A Berthold le Noir,
Et Hiram Maxim ,

L'Humanité reconnaissante !

si le contenant est différent, on peut quand même espérer que le contenu est identique . Mais le conditionnement et le stockage se réalisent-ils dans les mêmes conditions ?

A ma connaissance (très limitée dans ce domaine), le temps de fermentation, la lumière et la température sont les facteurs critiques dans l'évolution du (mauvais) goût. Je ne vois donc que la gestion du stockage ...

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"Tout projet présuppose une vision optimiste", Karl Popper

J'ai eu une première réponse de l'ami en question. Voici :



Autre hypothèse, la couleur du verre : est-elle la même dans les deux cas ? La lumière pourrait alors modifier la transformation qui se poursuit en bouteilles.