L'histoire nous conditionne à accepter l'idée que les gagnants réecrivent l'histoire des vaincus. Cette phrase est peut-être futile, mais la véracité de ces mots sont choquants. La preuve, il est préferable de parler d'Hitler en évoquant les massacres juifs; que de parler du fort dévellopement économique de l'Allemagne durant son regne. Ou encore, il est d'actualité de designer les Islamistes comme des terroristes, plutôt que de considerer les familles tués sous les bombardements Americains. même actuellement, en France, tous les médiats pusent l'essentiels des informations internationaux dans une seule agence financé par le gouvernement et une société d'éxploitation pétrolière. La seule vision du gouvernement Français constitue donc la ligne éditoriale de ces chaines. Ayant vécu certaines pages de l'histoire de mon pays, notament son accession à l'indépendance, je voudrais attirer l'atention sur une date méconnue mais importante de son Histoire: le 29 Mars 1947.
Ce jour fut la veille d'un réferundum sur l'indépendance du pays. Le problème est que le mouvement MDRM, favori de la prochaine éléction présidentielle etais profondément nationaliste. il était donc primordial pour la Françe d'éliminer ce mouvement, pour garantir ces intérets post indépendance. c'est là que l'histoire est devenue différent sur papier et sur le terrain. Une fausse insuréction à été provoqué par le colon, et les participants à cette insuréction furent massacrés. les plus érudits des lécteurs ne connaissent peut-être que celui du wagon de moramanga, mais j'ai vu de mes yeux mes compatriotes jettés depuis un avion, ou attachés au sol et ecrasés par un camion(de l'armée française). Les colons ont donc trouves une bonne raison pour eliminer le mouvement. En consequent, Madagascar a eu son indépendance par voie diplomatique en 1958, mais depuis l'ors, les chefs d'Etats qui s'y sont succedés ont tous étés des pions français. le seul président qui c'est mis les français à dos viens de...........subir un coup d'Etat. comme quoi, la FrançeAfrque existe encore!

Ce n'est pas exact, voici un extrait pris sur la toile:
" Mais l'opposition critique un régime jugé néo-colonialiste et en 1972 la contestation étudiante se généralise, provoquant la chute de cette 1ère République. S'ouvre alors une période de transition, qui aboutit en 1975 à l'instauration d'une République Démocratique de Madagascar inspirée d'un socialisme révolutionnaire : étatisation de l'économie, malgachisation de l'enseignement, parti unique. " C'est l'époque où l'URSS installe une base navale sur la grande Ile, je crois bien.

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Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.

Oui, les Malgaches ne sont pas prèts d'oublier le régime pro soviétique de Didier Ratsiraka, qui n'était en aucun cas un "pion français".

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

Hola , hola !! Rien de plus FAUX

C'est seulement dans les premieres heures ca !!

Apres la Banque mondiale et le FMI sont intervenus et il y a eu libéralisme sauvage !!! et forcé
C'est comme en france en 1981 , étatisation

D'ailleurs c'est faux qu'il ya un parti unique, c'était un front "qui défendait la revolution"

Oui les malgaches ne sont pas pres d'oublier Didier R le pion des francais


Officiellement Madagascar pratiquait le TOUTAZIMUTISME : on est ami avec tout le monde!!!!
Bien sur il y a eu le "livre rouge", plan quinquenal, mais fin années 80 on allait directement dans le mur avec le liberalisme sauvage!

Je ne sais pas s'il est pion francais ou pas (Didier R) , mais en tout cas , il vit en france alors qu'il a été jugé a Madagascar !

J'aimerais bien savoir elle est située ou la

En outre la famille de sa femme appartient a celles qui ont combattu les résistants au colonialisme, autrement dit aux collabo !

Des militaires francais ont aidé : instruits les forces armées malagasy pendant le regne de Didier R.

Ah, ces bons vieux francais , toujours enclin a écouter et a gober tout ce que leurs medias leur disent et quand ca les arrangent pas on dit c'est faux.

Pendant le regne de Ratsiraka , la France est restée la premiere partenaire commerciale de Madagascar.

Je suis petit fils de MDRM et je comprends tout a fait le point de vue de RANTO.

Jusqu'a Marc Ra8, tous les dirigeants malgaches venaient des rangs des collabo !

Sauf Ratsimandrava (tué en 1975 par Ra...) et Ramanatsoa qui lui a demissionné.

Depuis, c'est Adry Rajoelina , le joujou des francais qui est u pouvoir!

Marc Ra8 ennuyait les francais car il cherchait justement d'autres partenaires(Japon,Allemagne,USA,Canada...)

Il y a eu coup d'etat et voila , nous revoila dansle bercail du france-a-fric et de la FrancAfrique.

Helas, tous ces criminels de guerre Francais de 1947 vont tous mourir dans leur lit et ne seront jamais jugés pour ce qu'ils ont fait a Mada !

La répression de l'insurrection de Madagascar du 29 Mars 1947 a été menée par le gouvernement socialiste de Paul Ramadier comportant 5 ministres communistes, dont Maurice Thorez, patron du PC, vice-président du conseil, avec Billoux du PC à la Défense. Ces cinq ministres communistes ne désavouent pas la répression de Madagascar. Le jeune Mitterrand UDSR est ministre. Le PC a 182 députés sur 619 députés à l' AN.
Une répression très dure, excessive bien sur, sans doute parce que les insurgés ont tué 150 colons, ce qui a du paniquer Ramadier, Thorez et Vincent Auriol Président de la République.

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Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.

Cette répression est un écho de Sétif dont on parle peu.

Quant aux présidents malgaches pions des Français, je n'y crois pas, ne serait-ce qu'avec l'alignement de l'île sur l'URSS durant la guerre froide dans les années 1970 ET 1980.

A la rigueur pourrait-on insinuer que les présidents malgaches ne sont les pions que de leurs folles ambitions personnelles et politiques, voire claniques et tribales.

D'un côté, la violence de l'invasion (1895, plus de 5.000 soldats français morts dont 25 dans les combats et le reste par maladie, peut-être autant de Malgaches tués) et de la répression (1947, plus de 100 Français tués et une estimation de plus de 50.000 Malgaches tués en représailles) françaises n'est pas secrète, même si elle pâlit en comparaison avec les autres conflits coloniaux français ou internationaux contemporains.

De l'autre côté, la société malgache porte sa constante de violences intra-insulaires qu'on ne peut imputer à des boucs-émissaires étrangers. Les troubles civils sont chroniques depuis 1971 (plus de 1.500 morts entre 1971 et 2009, dont le pittoresque conflit entre adeptes du kung-fu et le gouvernement dans les années 1980) et la cruauté de la reine Ranavolana Ie reste légendaire (estimation de plus de 800.000 sujets malgaches tués entre 1828 et 1861).

Ce n'est pas vrai pour Ratsimandrava (tué) ni pour Ramanatsoa (démissoinnaire)

Arretez de généraliser avec les confreres africains 30 40 ans aupovoir et amis de la france!

Comme tous les anciens chefs d'Etat Africains, Ratsiraka vit en France , jugé par contumace a Mada !
C'est pas parce qu'ils ont des ambitions qu'ils ne sont pas des pions francais.



On sait tres bien d'ou viennent ces voilences "intra-insulaires"

Les derniers conflits 2008-2009 , ou 2002 ne sont en aucun lieu xenophobes!

On ne peut généraliser le comportement de quelques éléments incontrolés et incontrolables à l'immense majorité de la société malgache actuelle lors ce ces emeutes de 2008-2009.

La tres grande pauvreté de la population, l'ignorance a cause d'une éducation nationale a la ramasse , l'opulence d'une classe dirigeante corrompue ont fait qu'il y a ces violences récentes.

Aujourd'hui ,il y a 25 000 francais a Madagascar, ils vivent en paix, et tranquilles et sont tres contents de leur sort.

Je suis francais, j'ai vecu 18 ans a Mada , donc je connais un peu la grande ile et les francais, expatriés.

Je ne peux pas dire que les etrangers sont les cibles des emeutiers depuis 2002 ,ni de 2008!

Les morts sont tojours a deplorer, mais relativment, par rapport aux pays a niveau de vie comparable,
est ce beucoup ?



Complètement farflelu, en 1947 le nombre de malgache est estimé a 4 millions!

En fait Ranavalona :

La reine Ramavo est donc couronnée le 12 Août 1828 à Andohalo et prend le nom de Ranavalona I. Afin d'écarter tout danger, les autres prétendants au trône furent éliminés ou exilés. Le roi Andrianampoinimerina rêvait d'une Grande Ile unifiée. Son fils, le roi Radama I, avait poursuivi ce rêve en anéantissant les petits royaumes et en faisant des roitelets des vassaux fidèles. Ranavalona I continue la pacification des régions hostiles au Royaume Merina, notamment les régions du Boina, le Menabe méridional ainsi que le nord-est de l'île. Elle se méfie des étrangers par peur de perdre l'indépendance de son pays. L'agressivité inopinée des Français, par le biais de l'attaque de l'est de l'île par l'Amiral Gourbeyre en 1829, confirme ses craintes. Elle tente alors de détruire les symboles de l'influence étrangère, en particulier le christianisme qui commence à prendre racines au sein du peuple. Elle dénonce le traité anglo-malgache en 1820 et suggère aux missionnaires britanniques d'arrêter l'évangélisation. Cependant, elle veut que ces missionnaires continuent l'éducation populaire à laquelle elle tient particulièrement. Suite à leur refus, elle les chasse de l'île en 1835.


Pensant que le christianisme n'est qu'une forme maligne de lavage de cerveau instaurée par les occidentaux pour installer insidieusement la colonisation, elle poursuit les convertis en les traitant de traîtres vis-à-vis de la patrie. Dans un discours prononcé en 1849, elle clame que les chrétiens, en la reniant, avaient renié leur patrie et comme ils ont renoncé à elle, elle renonce aussi à eux. Le sang de nombreux martyres macule le règne de la reine. Parmi ceux-là : Rasalama Martiora et Victoire Rasoamanarivo qui deviendront des icônes de l'église malgache plus tard.


Elle ferme les frontières aux étrangers mais en tolère quelques-uns, l'aventurier Jean Laborde en particulier, pour moderniser et faire avancer le royaume. Ce Français, à lui seul, dotera Madagascar d'une industrie métallurgique et chimique ainsi que de plusieurs structures essentielles dont le palais de Manjakamiadana et les lacs artificiels de Mantasoa. Il se verra récompensé par un domaine et une demeure située sur la Ville Haute. La consolidation du Royaume Merina étant toujours d'actualité, elle envoi des expéditions onéreuses, tant pour la situation économique que pour la situation démographique qui sont déjà critiques, dans les régions côtières. Cette manoeuvre est surtout destinée à endiguer toute tentative de percée étrangère dans ces régions.

Une attaque combinée des marines françaises et britanniques, en 1845, force la reine à fermer les frontières malgaches au commerce européen pour une décennie. Pour pallier ce manque, le commerce entre le port de Mahajanga et Zanzibar est ouvert. Cet événement favorise alors la traite clandestine d'esclaves par l'intermédiaire des commerçants swahili et arabes. D'un autre côté, le commerce interne d'esclaves atteint son summum, les déportés étrangers s'incrustent au sein de la population Merina ce qui cause la séparation de la population en castes : les membres de la famille royale ou « Andriana », les chefs militaires ou « Hova » et les Mainty, considérés comme des esclaves. Le règne de Ranavalona I semble bien austère, les livres d'histoire font d'elle une reine étroite d'esprit et cruelle. En réalité, elle a su, malgré des difficultés assez importantes, continuer l'oeuvre d'Andrianampoinimerina et de son époux Radama I : en pacifiant les régions conquises et en préservant sa patrie d'une colonisation embryonnaire. Elle a aussi marqué de son empreinte la culture, l'industrie et les moeurs malgaches en faisant construire, par exemple, le Palais de la Reine sans l'aide d'aucun technicien. Il serait difficile de la comparer aux autres reines qui lui ont succédé, elle a apporté une touche occidentale dans l'île tout en fermant ses frontières aux européens. On retiendra surtout d'elle la phrase : « Je ne ressens ni honte, ni crainte concernant les coutumes de mes ancêtres ». N'en déplaise aux occidentaux et aux missionnaires de l'époque, Ranavalona I est considérée comme la plus grande patriote de Madagascar malgré le massacre de chrétiens qui s'est produit sous son règne. La reine meurt le18 Août 1861 et lègue le trône à son fils Radama II.

C'est exact, la xénophobie n'est pas un mal qui ronge la société malgache, bien heureusement.

Compte tenu la taille et des frustrations politiques de la population concernée, ça reste assez modeste.

Intéressante femme.