Le Franciscain de Bourges , un militaire Allemand qui , infirmier de la prison du Bordiau ou les Nazis torturaient les Résistants , s'est ingénié à apporter du réconfort à ces malheureux , au nez et à la barbe de ses supérieurs .

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Grand amateur des livres de la série "Master and commander"

et dans c est philippe auguste

Je vais surement paraître répétitif, mais il s'agit pour moi de Napoléon sans aucun doute possible.

Il aura tout fait: révolutionner l'art de la guerre, guerroyer sur la majeure partie de l'Europe, tenu tête à pas moins de 7 coalitions, il s'est sorti de situations dramatiques (en particulier à partir de la mi 1813 où il se retrouve vraiment seul face à l'Europe coalisée).

C'est surtout compte tenu du contexte que pour moi il force l'admiration. Etant donné le régime précaire qu'il avait installé en France, chaque bataille était pour lui un coup de dés où il pouvait tout perdre. Il aura eu une fin à la hauteur de sa grandeur.

Pour finir, je laisserai la parole au duc de Wellington, qui résume bien l'ardeur et le courage que le petit caporal insufflait à ses soldats.

"J'avais l'habitude de dire de lui (Napoléon) que sa présence seule sur un champ de bataille équivalait à 40 000 hommes de plus. "

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"Ce qui ne me tue pas me rend plus fort" Alexandre le Grand

"Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner" Napoléon Bonaparte

Liu Bei, chef militaire de la province du Shu.

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"Passant, va dire à Sparte que nous sommes morts ici pour obéir à ses lois"

D'où votre pseudo, Liu ?

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Il n'y a pas de littérature sans liberté politique

Memoriam quoque ipsam cum voce perdidissemus, si tam in nostra potestate esset oblivisci quam tacere

Bingo, additionné à un manque d'inspiration...

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"Passant, va dire à Sparte que nous sommes morts ici pour obéir à ses lois"

Je suis d'accord pour l'Empereur mais en 1813 il ne s'en est pas sorti malgré des coups de génie remarquable.



Le régime était stable mais dépendait trop de l'Empereur, il suffit de voir lorsqu'il est parti en espagne ou bien l'affaire mallet.
C'est surtout que le régime était trop récent pour être totalement légitime à l'intérieur (complot jacobin, royaliste ou seulement opportuniste) et qu'à l'extérieur il a déjà été très difficile de faire reconnaître l'Empire et ce n'était que sous la force des armes.
Je pense qu'il y avait une lutte à mort entre la France qui représentait malgré tout la Révolution et les monarchies européennes.

Attention de ne pas assimiler la France à Napoléon. Si on admet que la France de 130 n'était pas légitime, les réelles pertes territoriales sont moindres en 1814 et 15 qu'en 1871.
La mort de la France n'était manifestement pas un souhait majoritaire dans les cours d'Europe. La preuve en est qu'elle était bien présente au congrès de Vienne.

Je dis bien la France révolutionnaire, les coalitions sont successives et les 2 premières sont dirigées contre la France sans Napoléon au pouvoir. Pour les cours étrangère, l'Empire n'est pas un retour en arrière, tous les efforts de l'Empereur pour légitimer son trône, sa dynastie et les conquêtes ont échoués.

Peut être que la hollande et l'italie n'était pas légitime mais la question est bien plus discutable concernant la rive gauche du rhin et ne parlons même pas de la belgique.



Oui l'angleterre voulait l'affaiblir pour conserver un équilibre des puissances mais la prusse n'était de cet avis. Quand je parle de "lutte à mort" je ne veux pas dire par là qu'on allait rayer la France de la carte mais qu'on allait réinstaller la monarchie et la ramener à ses frontières. Nos velléités de revanche en sont que bien plus compromise avec des rois qui doivent leurs trônes aux ennemies de la patrie.

J'en ai trois :

Epaminondas. Deux mots : Ordre.Oblique. Il annonce l'austère vertu des Romains du début de la République avec le charisme et le raffinement grec.

Raymond de Saint-Gilles, l'un des chefs de la Première Croisade qui fut pour beaucoup en faire une campagne victorieuse, ce qui est rétrospectivement pas le plus probable. Il fut d'ailleurs reconnu comme tel par les chroniqueurs musulmans (Sanjil) et ne doit son peu de notoriété que par la volonté des autres grands de se promouvoir eux-mêmes, de manière plus efficace.

Villars. La capacité d'un général a retourner la situation par une bataille comme celle de Dinan est certainement l'un des marques du génie. Quand la personne elle-même, sa capacité à aller braver personellement le feu, elle est certainement héroïque.

lapsus calami :Denain

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" Je n'oublie pas le Colonel Arnaud Beltrame "

A l'époque d'Epaminondas, Rome est déjà une république (je vous taquine)

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Memoriam quoque ipsam cum voce perdidissemus, si tam in nostra potestate esset oblivisci quam tacere

Mais...Arrrh! Ça m'apprendra, tiens, à poster trop vite

Pour ce qui me concerne il s'agit incontestablement de Jacques Pâris de Bollardière (1907 - 1986).

Grand Officier de la Légion d'honneur
Compagnon de la Libération
Croix de guerre 1939-1945 (5 citations)
Médaille de la Résistance
Croix de Guerre (Belgique)
Distinguished Service Order and Bar
Officier de l'Ordre de la Couronne

Il est très connu pour avoir dénoncé la pratique de la torture en Algérie ainsi que pour son engagement dans le
Mouvement pour une alternative non-violente dont il fut un membre actif.

Il quitte l'armée en 1962 après le putsch des Généraux (1961).
A cette occasion il dont il déclare :

« le putsch militaire d’Alger me détermine à quitter une armée qui se dresse contre le pays. Il ne pouvait être question pour moi de devenir le complice d’une aventure totalitaire. »

Oui, assurément le personnage qui m'a permis de ne pas désespérer de notre armée.

Bonjour,
pour ma part :
- Subotaï (un des généraux de Gengis Khan). Plus d'infos: http://www.peuplescavaliers.be/peuplesc ... .php?t=151
- Cambronne Pas particulièrement pour ses faits militaires, mais plutôt ses paroles cinglantes. "Merde" et "La garde meurt mais ne se rend jamais". Pour ne citer qu'un maréchal d'empire sous Napoléon dans le fait purement militaire, pourquoi pas Davout
Le reste n'est que du très classique : Hannibal Barca, Alexandre le Grand.

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« Je veux croire qu'il n'y a pas de libération plus vaine que celle qui prétend nous arracher aux rigueurs du travail intellectuel ou aux fidélités que l'on doit à ses prédécesseurs, qu'il n’y a pas de générations plus tristes que celles qui ne se reconnaissent plus de maîtres [...] ».
Patrick Boucheron.