Le bâton à feu en 1490 ? c'est de l'hitoire ancienne L'arquebuse est à méche lente lourde d'une précison douteuse Oui mais elle perce la grande armure plate et si Machiavel écrit c'est pour un prince l'arquebuse c'est l'arme de la démocratie Dieu créa les homme Colt les rendit égaux . En 1550 la platine à rouet n'est plus une raretè annoçant dèjà la platine à silex.
La poudre à cette époque entraîne une série de mutations le cavalier perd de son importance en tant qu'arme de choc pour devenir simple éclaireur ou protection de la colone contre les cavaliers adverses
Les fortifications doivent s'adapter face à des canons de plus en plus puissants et fiables.

En parlant de poudre d'ailleurs, il est intéressant de noter que le rapport entre les trois éléments (salpêtre, charbon de bois et souffre) commence, par tâtonnements à devenir de plus en plus précis, à tel point que le ratio idéal est approché de très près sans moyens de précision moderne (je n'ai plus les chiffres en tête mais je vais essayer de remettre la main dessus...). De plus les hommes apprennent rapidement le moyen de produire de la poudre en grains afin d'éviter la séparation des ingrédients durant le transport.

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.

A mon grand désarroi moi aussi La poudre noire est un des composé explosif les plus dangereux à produire elle est à peine plus stable que la nitro plus elle est fine plus elle est sensible aux frictions et échauffement de tous genres Et c'est l'une des raisons de la lenteur du tir à l'arquebuse il faut deux charges de poudres La propulsive qui peut être plus ou moins grosse et le pulvérin poudre très fine qui sert à amorcer le bassinet ou va tomber la mèche. La raison en est simple si le canal entre le bassinet et le canon est trop large une bonne part de la puissance va passer par la et ne pas propulser la balle.
J'ai retrouvé 12.5% de chabon de bois de coudrier de préférence ? 12.5 % de soufre et 75 de salpètre pour la granulositè et les divers indices je vais voir ce que j'ai en version papier Le site de la SNPE ayant disparu

Merci pour ces précisions Mauser. Cela démontre bien l'instabilité de ces nouvelles armes. Elles pouvaient en outre subir des incidents de tirs assez "gênant" pour son porteur... Et je n'arrive toujours pas à remettre la main sur ce que j'avais lu sur les ratio des ingrédients...

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Au fait, petite précision sur le légion du XVIe siècle ; j'ai remis mon nez dans André Corvisier, Histoire militaire de la France, et il y a un chapitre passionnant sur cette réforme d'ampleur, mais qui à cause de coûts très élevés est restée quasiment lettre morte après des débuts prometteurs. Je vous invites donc à consulter cet ouvrage et notamment les pages 250 à 253.

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Pour l’arquebuse j’eu la chance de tirer une fois avec une réplique le moins que je puisse dire c’est déconcertant temps écoulé entre le basculement du porte mèche et le départ du coup
Poids et encombrement conséquent l’engin faisait dans les 10 kg pour ceux qui on fait l’armée quasiment le poids de l’AA52 ou d’une mitrailleuse légère occidentale
Le rechargement est long 1 à 2 coups minute maximum
Pour la précision une seule aide à la visée un grain d’orge au bout du canon mais jusqu’à la guerre de sécession us les armes règlementaires étaient dépourvues de hausse et l’ensemble cheval chevalier fait une belle cible.
Mais je pense que la hallebarde perfectionnée des suisses reste le facteur décisif de la fin des chevaliers.

Je pense que c'est un "concert" d'armes qui finit par en venir à bout. La hallebarde est une arme extrêmement efficace, elle tranche, pique et désarçonne le cavalier, mais elle n'a pas l'allonge de la pique. C'est d'ailleurs cette dernière qui a la destinée la plus longue en combat et sous Louis XIV les compagnies de piquiers existent encore alors que la hallebarde et autres armes d'hasts servent alors dans les gardes d'apparat.
Ces formations d'infanterie sont couplées avec des arquebusiers qui "utilisent" la protection offerte par les gens de pied pour délivrer leurs volées meurtrières à l'abri des piques. C'est la tactique des Tercios et même des Suédois de Gustave Adolphe, sous un modèle plus souple il est vrai. Ces véritables blocs rendent inopérant les charges de cavalerie, tendance amorcée depuis la fin du Moyen Âge (cf Courtrai et emploie de piques et de godendags).

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Gustave Adolphe c'est plus tard et l'arquebuse est remplacé par le mousquet à platine C'est d'ailleur ce roi guerrier qui va inventer la cartouche en papier rassemblant la balle et la charge de poudre d'un bloc .
Ses cavalier armè de deux pistolets semblent être les seul à l'époque capable de casser les carrè
Remarquez c'était une armèe nationale régulièrement soldé et soumise à une discipline de fer .
Mais l'on séloigne des guerres d'Italie .

Je voulais simplement parler d'une "paternité" des formations d'infanterie de la Renaissance. Leur aspect massif et la synergie entre les les différentes armes rendent inopérantes les charges fougueuses de la cavalerie.Son rôle est de toute façon bien moindre depuis la guerre de Cent Ans.
Il est intéressant de noter qu'à Marignan François Ier utilise à merveille son artillerie pour fracasser les blocs d'infanterie suisses, qui très compacts, offrent des cibles de choix. En absorbant la charge des piquiers et en reculant son parc, il oblige l'ennemi à avancer sous le tir nourri des canons qui laissent tuent beaucoup et sapent le moral. C'est le problème inhérent à ces formations, trop lourdes, qui ne fonctionnent pas suffisamment avec des unités rapides.

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